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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 30 Sep 2016 17:59 
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Agence France Press reports that Deutsche Bank is nearing a $5.4 billion settlement with the US Justice Department

De toute façon c'est tout ce qu'ils ont de provisionné :lol: :lol:
http://www.zerohedge.com/news/2016-09-3 ... department


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 12:54 
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La Deutsche Bank serait-elle sur le point de faire faillite ?

ÉDITO - La plus grosse banque allemande est en difficulté. La Bourse crie au loup, mais peut-être pas pour la bonne raison.
La page de l'émission : Lenglet-Co
Le siège social de la Deutsche Bank à Francfort (illustration).
La Deutsche Bank serait-elle sur le point de faire faillite ? Crédit Image : DANIEL ROLAND / AFP | Crédits Média : RTL | Durée : 03:08 | Date : 03/10/2016
1/2



par François Lenglet , Loïc Farge publié le 03/10/2016 à 09:01 mis à jour le 03/10/2016 à 10:20
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La Deutsche Bank inquiète les bourses et les responsables européens depuis plusieurs jours. Ils redoutent qu'elle ne puisse pas faire face à ses échéances financières, alors qu'elle joue un rôle clé dans le système bancaire européen. Ce qui a mis le feu aux poudres, c'est une gigantesque amende infligée à la banque par le gouvernement américain à cause de son rôle dans la crise des subprimes il y a dix ans (potentiellement plusieurs milliards d'euros). La somme a été en partie provisionnée, mais on a réalisé à ce moment-là que l'établissement n'était pas si solide. Son cours de bourse est à un plus bas depuis trente-trois ans. La presse parle même d'une nationalisation de Deutsche Bank, par le gouvernement fédéral, même si celui-ci a depuis démenti, tout comme la direction de l'entreprise.

La banque, c'est le point de faiblesse de l'économie allemande, alors que l'industrie est son point de force. D'autant que Deutsche Bank voulait devenir l'une des premières banques du monde, elle a pris des risques à l'international. Alors que son marché national n'est pas très rentable, il est très fragmenté. Il y a aujourd'hui près de 1.500 banques différentes en Allemagne, avec des toutes petites, parfois des caisses d'épargne municipales, c'est vous dire.

La banque, c'est le point de faiblesse de l'économie allemande, alors que l'industrie est son point de force
François Lenglet

Y a-t-il un risque que ces difficultés s'étendent aux banques françaises ? On n'en est pas là du tout. Mais le problème du système financier, c'est l'interdépendance de toutes les banques. Si l'une arrêtait de payer, elle mettrait en difficulté toutes les autres, qui se trouveraient elles aussi dans l'impossibilité de payer. C'est ce qui a causé la crise de 2008, avec la faillite de Lehman Brothers. Imaginez une chaîne dont les maillons seraient en acier, sauf l'un maillon qui serait en carton. Cette chaîne ne serait pas très résistante, même si elle est en métal pour sa quasi-totalité. Un système financier - c'est pareil - est aussi solide que le plus fragile de ses maillons, exactement comme une chaîne. Et le véritable maillon faible européen, ce n'est pas l'Allemagne, c'est l'Italie.

Car là bas, la situation des banques est grave. À cause de la crise économique, bon nombre d'entreprises n'ont pas remboursé leurs crédits bancaires, le bilan des banques est désastreux. Il y a plusieurs centaines de milliards d'euros de crédit pourris en Italie. Il y a déjà eu des faillites de petites banques, et ça n'est pas probablement pas fini.

Que faire quand une banque est en faillite ? La seule chose à faire, c'est de nationaliser l'établissement, pour rassurer justement toutes ses contreparties. C'est ce que nombre de pays ont fait il y a dix ans, au moment de la crise des subprimes. Le seul problème, c'est que les règles européennes interdisent désormais une telle opération, à la demande express de l'Allemagne, qui estime que l'argent des contribuables ne doit pas servir à payer pour les erreurs du privé. Noble principe, mais complètement inapplicable, puisque si l'on protège le contribuable, c'est sur les comptes des épargnants qu'il faudra prendre l'argent avec tous les risques de panique bancaire qui en découleraient. Si la crise de Deutsche Bank se poursuit, l'Allemagne va bien se rendre compte que l'intervention de l'État est malheureusement la seule solution.


http://www.rtl.fr/actu/conso/la-deutsch ... 7785088872



Citer:
Vers une faillite de la Deutsche Bank ?
Publié le 2 octobre 2016 dans Monnaie et finance

La Deutsche Bank est-elle sur le point de faire faillite ? Le risque est grand, pas seulement pour l’Allemagne mais pour la France, l’Europe, et l’économie mondiale.
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Par Eric Verhaeghe.
Vers une faillite de la Deutsche Bank ?

Deutsche Bank By: Elliott Brown – CC BY 2.0

Si la Deutsche Bank entraînait l’économie mondiale dans un nouveau désastre, nous pourrions en rire (jaune), car il s’agirait bien d’une très ironique revanche de l’histoire. L’Allemagne si superbe épuiserait de cette façon le filon qu’elle creuse depuis sa réunification : celui d’un appauvrissement artificiel de ses concurrents européens jusqu’à sa propre destruction.
La Deutsche Bank, joyau allemand…

La Deutsche Bank n’est pas seulement la première banque allemande. C’est aussi un établissement symbolique, créé en 1870 (année de l’unité de l’Allemagne) pour accompagner le développement industriel de ce tout nouveau pays. L’histoire de la banque épouse patiemment les contours de l’histoire allemande. Il n’est pas de prospérité dans l’Allemagne industrielle sans intervention de la Deutsche Bank.
… et pire bad bank du monde

Forte de cette arrogance, la banque s’est transformée en tour infernale. Dans les années 2000, notamment sous l’impulsion de Josef Ackermann, qui l’a dirigée de 2006 à 2012 (où il était payé 9 millions d’euros par an), la banque a multiplié les rendements hasardeux et méchamment bu le bouillon. Précisons qu’Ackermann fut membre du comité directeur du groupe de Bilderberg : démonstration est faite que l’on peut pourtant figurer dans la prétendue élite mondiale.

Depuis 2008, Deutsche Bank évite coûte que coûte une faillite qui mettrait par terre l’économie allemande et, dans son sillage, l’économie mondiale.
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Le FMI s’inquiète

On passera ici sur les innombrables péripéties qui frappent la Deutsche Bank. Il suffit de citer le rapport du 30 juin 2016 du FMI sur les risques systémiques pour comprendre l’ampleur du désastre. Ce jour-là, l’institution internationale affirme que le principal risque systémique dans l’économie mondiale provient… de la Deutsche Bank.

Pour le FMI, l’Allemagne, mais aussi la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis sont particulièrement exposés au risque de contagion en cas de faillite de la banque.
Le Qatar sauve Merkel et l’Allemagne

Le 15 juillet 2016, le Wall Street Journal révèle que le Qatar a augmenté sa participation dans le capital de la banque jusqu’à y prendre près de 10%. En échange de ce petit coup de pouce donné à Angela Merkel, le Qatar exige la nomination d’un homme-lige au comité de direction de la banque. Il s’agit d’un certain Stefan Simon. Dans la pratique, pour 10% des parts, le Qatar a préempté l’économie allemande.
Mais la banque suit toujours sa mauvaise pente

L’intervention du Qatar va-t-elle sauver la Deutsche Bank ? Rien n’est moins sûr, et la banque allemande continue à envoyer de mauvais signaux aux marchés. Par exemple, début septembre, elle a refusé de convertir de l’or papier en or physique, comme le réclamait un client. Les marchés ont volontiers interprété ce refus comme une incapacité à faire face à une échéance…
2,4 milliards d’amende aux USA

deutsche-bank-rene-le-honzecLa banque a de bonnes raisons de refuser aux clients de récupérer leurs avoirs. Sa situation devient en effet très compliquée. Par exemple, la banque propose aux autorités américaines de régler une amende de 2,4 milliards de dollars pour couvrir les recours dans diverses affaires.

« These comprise the mortgages case, alleged manipulation of foreign exchange rates, a probe into suspicious equities trades in Russia, and remaining investigations into alleged money laundering. »

(Celles-ci comprennent les contentieux hypothécaires, les accusations de manipulation des taux de change, une enquête sur des achats douteux d’actifs en Russie, et les enquêtes encore en cours sur du blanchiment).
Encore un problème sur les collatéraux

Beaucoup d’analystes considèrent que la Deutsche Bank a recommencé le jeu qui avait abouti à la crise de 2008 : celui d’une surestimation systématique des collatéraux qui garantissent les crédits qu’elle accorde. Autrement dit, la banque accorde des crédits risqués et douteux, et gonfle artificiellement son bilan en affichant des valeurs qui pourraient s’effondrer si une crise survenait.
Des pronostics inquiétants

On lira donc, sous la plume d’observateurs avertis, des pronostics inquiétants. Cet été, Olivier Demeulenaere citait le bilan du Centre for European Economic Research (ZEW) à Mannheim, qui dressait ses propres stress tests européens. Selon l’institut allemand, les trois banques les plus exposées au risque en Europe sont la Deutsche Bank, la Société Générale et la BNP. Pour Jean-Pierre Chevallier, la banque allemande est d’ores et déjà un Lehman Brothers européen.
Too big to fail

Reste que la Deutsche Bank est trop systémique pour que l’Allemagne, l’Europe, la Banque Centrale Européenne, la laissent faire faillite. Les conséquences d’un défaut aussi colossal ont trop marqué les esprits en 2008 pour que les politiques acceptent une telle solution. C’est ici que les ennuis commencent. Car, en dehors d’une prise en charge par les citoyens de l’Union, aussi discrète que possible, des coûts induits par cette faillite en attendant le tremblement de terre final, on voit mal ce qui pourrait se passer.

À moins, bien sûr, qu’une panique des marchés n’oblige l’Allemagne à privatiser la banque et à violer les traités pour éviter le naufrage complet.

http://eric-verhaeghe.entreprise.news/2 ... sche-bank/


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 12:59 
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game over

Merkel est coincée.

je ne vois aucune autre solution, que le BAIL IN et le trait sur les dérivés de la DB

tout le monde va y perdre mais c'est le programme depuis l'Union Bancaire.

les banksters se sont gavés comme jamais depuis 2009, il est temps de les faire payer. il y aura des dommages collatéraux c'est évident

got gold ?


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 13:05 
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les dérivés turbo et warrants sont coupés depuis ce matin .... sur Euronext

Good luck all

Citer:

Update issue Warrants and Certificates Platform
12:11 CET 04 Oct 2016
Services Impacted: TradingMarket: Euronext Cash Markets Product: Warrants & Certificates, Knock-out warrants Category: General

In order to maintain a fair and orderly market, please note that all trading groups on Euronext Paris and Easynext Lisbon (French and Portuguese warrants and certifcates markets) are closed across trading units 31 and 32.

Investigations are still ongoing and further updates provided as soon as they become available.

As a reminder all other markets are opened as usual.

Euronext apologizes for any inconvenience caused.


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 13:09 
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http://www.silverdoctors.com/headlines/ ... is-begins/

je suis pas d'accord avec leur conclusion, ça va arriver.


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 13:15 
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http://www.safehaven.com/article/42670/ ... nerale-3rd


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 14:38 
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non c'est fini, c'est le tonneau des Danaïdes

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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 15:18 
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https://www.janus.com/insights/bill-gro ... nt-outlook

Citer:
October 4, 2016
Doubling Down

Bill Gross September 2016 - How I Found My Golf Game but Lost My Wife to a TitleistMy country club locker room is a fascinating 19th hole observatory where human nature and intelligence often come into conflict. Almost all of my golfing buddies are risk takers by nature and many of them are gamblers — not just in the card room but also in the casinos in Las Vegas. Having spent some time in Sin City myself in my early 20s as one of the first blackjack counters, I was, and still am, most familiar with odds and the impossibility of beating the "House" in any game other than blackjack over a long period of time. Still, this commonsensical conclusion is not so obvious to many of my friends, who first of all, claim that they usually "break even" on any particular weekend jaunt, and secondly, suggest that they can win by using various betting "systems" that somehow allow them to claw back losses or stabilize winnings. An absurd example of this would be to triple your bet if you've lost 3 times in a row, and if you lose that, to quadruple your bet and so on. All of these illusions are derivatives of the so-called Martingale System, which claims that it is mathematically impossible to lose, given enough money and the willingness of the casino to take the increasing bet. The latter conditions, however, are where reality meets the road. A string of 4, 5 or perhaps 30 straight losses cannot work in the long run because the size of the bets eventually reach billions of dollars.

This same mathematical logic seems to have eluded central bankers around the globe. They are quite simply, employing a Martingale System in the conduct of monetary policy with policy rates now in negative territory for both the ECB and the BOJ — which in turn have led to over $15 trillion of negative yielding developed economy sovereign bonds. How else would one characterize the "whatever it takes" statement by Mario Draghi in 2014? How else would one interpret BOJ's Kuroda when just last week he upped the ante in Japan by capping 10 year JGB's at 0% until inflation exceeds 2% per year? How else would a rational observer describe Carney and Yellen other than "Martingale gamblers with a wallet or a purse?" Our financial markets have become a Vegas/Macau/Monte Carlo casino, wagering that an unlimited supply of credit generated by central banks can successfully reflate global economies and reinvigorate nominal GDP growth to lower but acceptable norms in today's highly levered world.

An interesting counter to my Martingale characterization of central bankers is in fact that they do have an unlimited bankroll and that they can bet on the 31st, 32nd, or "whatever it takes" roll of the dice. After all, their cumulative balance sheets have increased by $15 trillion+ since the Great Recession. Why not $16 trillion more and then 20 or 30? They print for free, do they not, and actually they make money for themselves and their constituent banks in the process. Why not? Why is there a limit for them as opposed to an individual gambler? If future inflation is the problem, then markets must know that that is their goal and what the increasing bets are geared to do. They are some distance from their 2% or 2+% targets so stay in the casino and keep printin'!

At some point investors — leery and indeed weary of receiving negative or near zero returns on their money, may at the margin desert the standard financial complex, for higher returning or better yet, less risky alternatives.

Well, a commonsensical observation made by yours truly and increasing numbers of economists, Fed members, and corporate CEOs (Jamie Dimon amongst them) would be that low/negative yields erode and in some cases destroy historical business models which foster savings/investment and ultimately economic growth. Our argument is that NIMs (net interest margins) for banks, and the solvency of insurance companies and pension funds with long dated and underfunded liabilities, have been negatively affected and that ultimately, the continuation of current monetary policies will lead to capital destruction as opposed to capital creation. Central bankers counter with the cavalier attitude of "let them (savers) eat cake" (buy stocks). "Our job", they claim "is to promote economic growth in the short term and restore stability via ever ascending asset markets that eventually trickle down to the masses." They claim that normalization will have to wait, and even then, the "new, new Normal" in terms of yields will be much lower than historical averages. I think that the latter contention is true, but central bankers cannot continue to double down bets without risking a "black" or perhaps "grey" swan moment in global financial markets. At some point investors — leery and indeed weary of receiving negative or near zero returns on their money, may at the margin desert the standard financial complex, for higher returning or better yet, less risky alternatives. Bitcoin and privately agreed upon block chain technologies amongst a small set of global banks, are just a few examples of attempts to stabilize the value of their current assets in future purchasing power terms. Gold would be another example — historic relic that it is. In any case, the current system is beginning to be challenged.

Ultimately though, in broader more subjective terms, it is capitalism itself that is threatened by the ongoing Martingale strategies of central banks. As central bank purchases grow, and negative/zero interest rate policies persist, they will increasingly inhibit capitalism from carrying out its primary function — the effective allocation of resources based upon return relative to risk. At PIMCO Christmas parties past, I used to praise my fellow employees for their part in the ongoing process of capital allocation. Yes, we were prosperous, I admitted, but we were helping the global economy and over 8 billion people to prosper as well — eliminating the deadwood, fostering new growth, and anticipating future headwinds. That can no longer be true — at PIMCO, Janus, or any other financial institution. Central bankers have fostered a casino like atmosphere where savers/investors are presented with a Hobson's Choice, or perhaps a more damaging Sophie's Choice of participating (or not) in markets previously beyond prior imagination. Investors/savers are now scrappin' like mongrel dogs for tidbits of return at the zero bound. This cannot end well.


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 19:25 
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L envolée sera dantesque

N en doutez pas


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 04 Oct 2016 19:31 
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Inscrit le: 21 Oct 2008 21:44
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silvermath a écrit:
L envolée sera dantesque


Laisse not' Chef tranquille!

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"Le droit est l'intermède des forces" Paul Valéry

"La vérité? Une marotte d'adolescent, ou un symptôme de sénilité." Cioran (La tentation d'exister)

Othello? Une tempête dans un Verdi. (Willy)


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