arno22 a écrit:
De toute façon faut pas se leurrer, c'est généralisé à tous les services, avec la même qualité de "filtrage".
"Et le Huffington Post de rappeler qu’aucun cas de renvoi de soldats radicalisés n’avait pour l’heure été communiqué par l’armée."
https://www.google.fr/amp/s/m.20minutes ... /a/1878619Le ferroviaire, la RATP, l'aérien, partout...
L'armée ne communique pas sur ces cas de radiation, ce serait prouver que la sélection au recrutement est mauvaise, mais c'est la seule institution qui s'est équipée d'un texte (Décret n° 2018-135 du 27 février 2018) qui lui permet de radier un officier, un sous officier ou un militaire du rang qui serait ou se serait radicalisé, qu'il soit islamiste, protestant, catholique, néo nazi … ou dans toutes idéologies incompatibles avec l'exercice de ses fonctions.
Ce décret permet aux armées de faire le ménage, mais des radiations manu militari pour islamisme exacerbé ont existé bien avant 2015.
L'avantage de l'armée par rapport aux autres institutions ou entreprises sensibles, l'encadrement est très proche de la base et la culture de la hiérarchie permet de faire rapidement remonter les infos de ce genre, même sans passer par ses supérieurs directs.