entre les deux , mon coeur balance: achetée sur un vide grenier lambda,ne me suis pas méfié, vendeur ancien à la bouille bien sympathique, bref j'étais dans un bon créneau et prédisposé à être le pigeon de service. retour à la maison ; tranche plus que suspecte bien rognée ou très mal frappée, poids 23,5 grs (aie, aie) et ne colle pas à l'aimant, bon le prix 35 euros , il y a moindre mal, si c'est un faux chinois il y a quand même du souci à se faire, parce que ce n'est pas une rareté non plus.
si quelqu'un a une similaire ou un avis merci
ci dessous les photos de la scélérate, (pour la tranche désolé, ne peut vraiment mieux faire elle est vraiment dans cet état)
photo 3 =dieu, et photo 4 =la france, protège parti en vacance ou faussaire n'a pas eu le temps de le frapper

Effectivement la tranche fait peur...Le poids n'est pas bon du tout.

Je pencherais pour un faux.

Etrange en effet. c'est un faux, c'est sûr, mais ça ne ressemble pas trop à des faux chinois que j'ai déjà vu. Pour le faux d'époque, il faudrait voir avec un spécialiste.
A vu d'oeil c'est du TB (on ne voit pas le ruban sur l'épaule) coté 30 euros dans LeFranc VIII

Oui, c'est pas un faux chinois.

Bah... Cest pas un faux napoleon I ?
Bon ne pinaillons pas c'est un faux et il est pas d'époque.
Je ne vois pas l'utilité de connaitre sa provenance.

Si justement. Les faux chinois se limitent théoriquement à des copies de pièces rares (écus, silver morgan, etc...) Là, c'est une copie d'une pièce banale. Donc si dans un futur proche on voit apparaitre ce genre de copies de pièces courantes, les détenteurs d'écus risquent de voir le prix de leur collection fortement baisser à cause de la méfiance autour de ces pièces.

tout est dit, tout est résumé; c'est pour cela que je disais si c'est un chinois il y a du soucis à se faire! sinon effectivement je le concois; une drouille sera toujours une drouille

Ce genre de piece se vend entre 30 et 50 € donc une petite production artisanale dans un pays du sud de l'europe peut, en plus de son activité ordinaire, produire un millier de pieces d'une trentaine de modeles differents écoulés sur toute l'europe.
Une manière d'arrondir les fins de mois chez nos voisins spécialistes du faux.
Cette piece peut sortir d'un petit atelier italien comme d'un atelier chinois.
L'important c'est que la piece ne fasse pas le bon poids (premiere chose a vérifier).
Pour ce qui est de tuer le marché il faut voir de quel marché on parle.
Un exemple concret: le silver dollard chinois debut XXe.


Il en existe trois sortes: Lesvrais, les faux d'époques en argent et les faux qui ne sont ni d'époque ni d'argent et dont on se contrefout du pedigré.
Les vrais sont rares mais pas tant que cela; le probleme vient de leur certification qui est tres difficile a certifier a cause du manque d'experts et de la qualité des faux d'époque. Donc la cote de cette piece reste réaliste et les collectionneurs savent, au poids, ce qu'ils achetent.
Et le marché, le vrai, celui qui dure, est toujours existant.

Contrairement à ce que vous dites tous, c'est bien un faux chinois. Ici un autre exemplaire avec la même usure sur la seconde moitié de FRANCAIS; exemplaire acheté en Chine, parmi des montagnes de faux. L'usure est toujours au même endroit sur les 1812 chinoises de ma connaissance.