Intéressant, même si...
Le plus dur à digérer est qu'il considère Jacques RUEFF comme un "imbécile" (sic)
Telle n'est pas ma conviction!

Le huitième commentaire (SUPERMA) est le plus idéologiquement désintéressé.
J'ajouterai même que "l'état normal" en matière économique n'est que la chimère sur laquelle se basent les raisonnements péremptoires.

Mouais bof...

Attaque gratuite du Gold sans argumentation convaincante .

Il n'a rien compris aux mécanismes de la monnaie comme la plupart des pseudo économistes : les MPx sont des actifs monétaires plus que des placements ou des investissements, on ne peut pas vraiment les comparer.

Et bizarrement il compare avec les indices US et Allemand quand ça l'arrange : au lieu de prendre le S&P depuis 1910, qu'il nous fasse le meme topo avec le Dax et on verra si Weimar a favorise les actionnaires ou les goldeux sur la période...

Faire des graphiques avec une base 100 en 1972 n'a pas beaucoup d'interet. Il faut prendre une base de 100 au déclenchement de la crise.
Et je ne vous parle même pas de son echelle.

Si je prends comme indice 100 en 2007 (un peu avant la crise), on obtient aujourd'hui un indice de 99 pour le SP500 et 223 pour le silver.

Pour sa défense, il précise bien que l'or et l'argent sont plus intéressant dans les moments où les banques centrales font n'importe quoi (ou guerre and co). Ce qui est le cas en ce moment d'après lui.

Après, chacun donnera sa définition d'une banque centrale à la rue et pourra faire ses comparaisons entre 2 dates, qui favorisera les métaux précieux ou le dollar.

La seule chose de sûre, c'est que les métaux précieux sont parfois plus intéressant, parfois moins. Chacun ira de sa petite explication a coup de courbes et graphiques, mais tout le monde aura raison d'une certaine façon, et tort d'une autre.

Ne pas oublier de prendre les indices dividendes réinvestis (et non nus) quand on les compare à autre chose (ça ne change pas grand chose en l'occurrence, mais c'est plus honnête).

A chaque fois, cela me fait sourire lorsque l'on prend en compte un indice sur une période aussi lointaine. Si on prend le nombre de sociétés qui appartient encore à ce même indice actuel, on arrive au chiffre astronomique de 1 ( General Electric). Tout le reste est mort ou absorbé ! Par contre une piece d'o 1910 est toujours égale à 1 pièce d'or !!
De plus, je ne connais personne qui a investit dans cet indice et qui a du faire toutes les manœuvres d'achat vente des titres lors des entrées sorties de ses sociétés, en clair, entre théorie et pratique, l'or est plus fiable et simple et on a toujours le même morceau !!

Bon, j'ai été surpris par cette affirmation (je m'imaginais voir aussi des boîtes comme Coca, P&G, ...), du coup j'ai fait quelques recherches sur le sujet. Eh ben le graphique est encore plus bidonné que je ne le pensais. L'indice S&P 500 n'existe que depuis 1957. Donc : d'où ce guignol tire-t-il ses chiffres pour la période 1910-1957 ? (et pourquoi s'embête-t-on à commenter quelque chose d'aussi manifestement bidonné ?)

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