Cette histoire commence à faire du bruit.

La confirmation par les douanes italiennes:
http://www.gdf.it/gdf__informa/notizie_ ... 11049.html

Article le plus complet:
http://adscriptum.blogspot.com/2009/06/ ... suite.html

T'es sûr que ce n'est pas ta cagnotte, Dantec?...

hoooooooo les beau pq

l'article sur le site du Monde avec (courte) video a l'appuis:
http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.html

Attendons quand meme de savoir s'ils sont authentifiés ou pas... (en meme temps, faire des faux de trucs pareil ca doit etre un peu comme faire des faux billets de 4.51 euros, ca doit etre irrefourgable)

et on voit qu'une dédicace d'helicopter ben vaut bien plus que celle de Johhny !!!!!!!

Aux dernières nouvelles, ce sont des phillipins (et pas des japonais) connus pour être proche des milieux mafieux.
Les bonds en questions dateraient de 1934, et à cette époque les plus gros avaient une faciale de 50.000$.
De plus il apparait que la vidéo de la Guardia di Finanza qui illustre pas mal d'articles n'a rien à voir avec l'affaire, puisque ceux que l'on voit sur la vidéo sont beaucoup plus récents.
En gros, c'est une tentative d'escroquerie, un peu comme les spam nigérians.
A suivre...

d'apres ici:
http://www.rue89.com/hoax/2009/06/13/13 ... -etre-vrai
c'est des Nord-Correens.
Qui dit mieux?


(...)les Italiens attendent le verdict de la Securities and Exchange Commission, l'équivalent américain de notre Autorité des marchés financiers.

L'officier interrogé par Bloomberg ne laisse pas beaucoup de place au suspense :

* Les bons à 500 000 dollars sont datés de 1934, or les Etats-Unis n'en ont pas émis à cette époque.
* Ils n'ont jamais émis de bons à l'effigie de Kennedy.

Info AFP:

Obligations américaines saisies en Italie: des faux grossiers selon les USA
WASHINGTON - Les Etats-Unis ont indiqué jeudi que les 134 milliards de dollars d'obligations d'Etat américaines saisies par la police italienne deux semaines plus tôt étaient des faux grossiers.

Ces titres de dette avaient été interceptés le 4 juin dans les bagages de deux Japonais d'une cinquantaine d'années, voyageant dans un train en provenance d'Italie, par la police financière italienne (GDF) qui effectuait un contrôle à la gare internationale de Chiasso, en territoire suisse.

La police italienne avait mis en doute l'authenticité de ces 249 obligations estampillées du sceau de la banque centrale américaine d'une valeur nominale de 500 millions de dollars chacune, et de dix "obligations Kennedy" d'un milliard de dollars chacune.

"Tout ce que nous avons vu c'est une photo qui a été mise sur internet. Mais rien qu'avec cela nous pouvons dire que ce ne sont pas de vrais titres du Trésor. Ils ne ressemblent en rien à de vrais titres du Trésor", a expliqué à l'AFP le porte-parole du Bureau de la dette publique à Washington, Stephen Meyerhardt.

"Ce qui apparaît c'est que quelqu'un a transféré par un logiciel de dessin une copie d'un billet de cent dollars sur quelque chose qui est censé ressembler à des bons. C'est une contrefaçon", a-t-il poursuivi.

Des images sur internet montrent en effet un titre présentant une ressemblance avec ce billet normalement frappé du portrait de Benjamin Franklin et sur lequel a été apposé le portrait de John Fitzgerald Kennedy.

Le porte-parole a ajouté que les Etats-Unis n'imprimaient plus de titres de dette publique depuis 1996. L'ensemble des transactions sur les titres de dette émis depuis cette date s'effectue sous forme électronique.

La police italienne s'est refusée de son côté à tout commentaire sur la suite de son enquête.

Si ces obligations avaient été vraies, elles auraient représenté plus d'un sixième des montants de la dette de l'Etat fédéral américain détenus par l'Etat et les investisseurs japonais (763,5 milliards de dollars selon les derniers chiffres, pour avril), ou à peu près ceux détenus par l'Etat et les investisseurs russes (137,0 milliards).

M. Meyerhardt a indiqué qu'à sa connaissance cette contrefaçon de bons du Trésor était la plus vaste jamais tentée, mais que le Bureau de la dette publique en dénonçait régulièrement.

L'affaire a fait l'objet d'une multitude de commentaires sur internet, dont certains rappelaient que par le passé des Etats avaient tenté d'inonder le marché de faux de ce type pour déstabiliser un Etat ennemi

Idem pour les francs belges.