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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 12:01 
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Plusieurs départements touchés par de faux avis d'impôt

Par Elodie Toustou pour VotreArgent.fr

Ces dernières semaines, des contribuables franciliens ont reçu dans leurs boites aux lettres un avis de paiement très officiel pour une taxe sur les déchets polluants. Problème, il s'agit d'une arnaque qui a essaimé dans la région... Votreargent fait le point sur les bons réflexes à adopter avant d'envoyer un paiement à votre trésorerie.

Plusieurs départements touchés par de faux avis d'impôt

A quelques semaines de la première date limite* pour le paiement de la taxe d'habitation, certains habitants des Hauts-de-Seine et de Seine-Saint-Denis ont reçu un courrier les enjoignant à régler une " taxe extraordinaire des traitements des ordures polluants " (sic). Hormis cette formulation maladroite et sa faute d'accord tout y est : papier à en-tête " République française " et sa Marianne, jargon administratif et citation de plusieurs articles du Code général des impôts. Montant à régler : 28 euros sous quinzaine par virement bancaire ou par chèque à l'ordre de la... Trésorerie citoyenne ! Bien entendu, il s'agit d'une arnaque. D'ailleurs rapidement déjouée par quelques contribuables intrigués qui ont alarmé leur centre des impôts.

Des tentatives plus ou moins élaborées

Chaque campagne fiscale apporte son lot d'escroqueries plus ou moins réussies. L'an dernier, par exemple, des milliers de contribuables du XIXe arrondissement parisien recevaient un avis de taxe d'habitation plus vrai que nature, comprenant même le bordereau à découper selon les pointillés à joindre à son règlement. Et pour cause, une famille d'imprimeurs, démasquée depuis, en était à l'origine. 250 personnes sont quand même tombées dans le panneau pour un préjudice total estimé à 200 000 euros ! Autre forme d'arnaque, en septembre dernier, alors que le paiement des impôts sur le revenu bât son plein, les boites mail sont inondées par un courriel annonçant aux internautes une erreur en leur faveur : le Fisc doit leur rembourser un trop-perçu de 312 €. Un lien renvoyait vers une copie parfaite du site officiel des impôts où les particuliers étaient invités à communiquer leurs coordonnées personnelles et bancaires. Une technique redoutable qui permet aux escrocs de dévaliser les comptes des particuliers qui ont mordu à l'hameçon...

Les informations essentielles à vérifier

Selon l'Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l'information et de la communication (OCLCTIC), 56% des 120 000 signalements réalisés par des particuliers en 2012 sur le site Internet-signalement.gouv.fr étaient des tentatives d'escroquerie. Pourtant, les impôts comme d'autres administrations (CAF, Sécurité sociale...) et grandes entreprises (EDF, opérateurs télécoms, banques...) ne cessent de le répéter : jamais ils ne demandent par mail le numéro de carte bancaire des particuliers, encore moins leurs identifiants de connexion. Quelle que soit la raison invoquée, tous conseillent à l'unisson de ne jamais répondre à ces messages, de ne pas cliquer sur les liens y figurant et de les supprimer après les avoir auparavant signalés comme une tentative de hameçonnage, notamment via les messageries qui le permettent (Yahoo mail, par exemple) ou auprès des services de relation clientèle. Autres bons réflexes à adopter en cas de courriers postaux ou d'appels téléphoniques pressants reçus à la maison, et qui visent particulièrement les personnes âgées et isolées : ne divulguer aucune information personnelle et ne procéder à aucun paiement précipité, surtout si l'interlocuteur se montre insistant. Et vérifier systématiquement que les coordonnées qui figurent dans un courrier (téléphone, mail, adresse...) renvoient vers le bon émetteur, quitte à s'en assurer en appelant les numéros figurant sur d'anciens avis d'impôt, factures ou documents commerciaux.

* La date limite de paiement de la taxe d'habitation et de la redevance audiovisuelle est indiquée sur votre avis. Par courrier, elle est fixée au 15 novembre 2013 pour certains contribuables ou au 16 décembre 2013 pour d'autres. Pour un paiement par Internet, les dates limites sont fixées respectivement au 20 novembre et au 21 décembre 2013.

En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/impots/p ... 1UTJEDS.99


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 12:28 
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Olivier DELAMARCHE 11.11.2013


“L’introduction en bourse de Twitter annonce la fin du marché haussier”


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 12:38 
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Localisation: Un coup à droite un coup à gauche.
Dantec a écrit:
Si les CRS pouvaient y mettre autant de cœur contre les dealers des cités, ce serait une bonne chose.

Pour freiner une activité commercial des plus florissante(pour l’État), et ce en temps de crise ?
Tu n'y pense pas.

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"Dans notre république, les mauvais citoyens sont préférés aux bons, de même que la mauvaise monnaie circule, alors que la bonne se cache."

Les Grenouilles (vers 718), Aristophane


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 12:52 
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Lol, concernant la vidédo de jova, il conclue en expliquant que mélenchon et le pen comprennent !
Mais comme les extrêmes sont en lutte sur bcp d'autres sujets, l'umps et le nouveau centre (les libéraux atlantistes) ont encore de beaux jours devant eux !


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 15:20 
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Droits d’option : La France refuse désormais aux 170.000 résidents français travaillant en Suisse le droit de souscrire à une assurance santé privée.
11 novembre 2013 - Par Gaspard Koenig @Gaspard2012

Avec une modestie inaccoutumée, l’Assemblée Nationale vient de mettre fin à un traitement de faveur insupportable en refusant de proroger le droit d’option dont bénéficiaient les 170.000 résidents français travaillant en Suisse. Depuis les années 60, ceux-ci pouvaient en effet souscrire à des assurances santé entièrement privées, une situation formalisée en 2002 sous le nom de « droit d’option ». Ils subissaient ainsi la torture morale de devoir choisir eux-mêmes entre la généreuse sécurité sociale, synonyme de solidarité et d’efficacité, et les ignobles régimes privés cherchant la rentabilité à tout prix.

Hélas, dès que, par inadvertance, l’Etat accorde au citoyen l’usage de son libre-arbitre, ce dernier a une fâcheuse tendance à l’exercer. C’est ainsi que 90 à 95% des frontaliers ont opté pour les contrats d’assurance libres. Ces travailleurs égoïstes et mesquins, indignes des combats menés par leurs aînés, ont calculé que les tarifs privés, oscillant de cent à deux cent cinquante euros par mois, leur revenaient deux ou trois fois moins cher que la sécurité sociale.

Comment, vous indignerez-vous à juste titre, la santé n’est-elle pas gratuite en France, grâce à ce merveilleux système de soins que le monde entier nous envie ? Les frontaliers ont eu l’audace de regarder combien, sur leur feuille de paie, les cotisations sociales leur coûtaient, et d’estimer que cet argent pourrait être utilisé à des fins antisociales, telles que consommer ou épargner.

Il était donc temps que le gouvernement mette bon ordre à ces abus. En cette époque de délire ultralibéral où Bruxelles menace chaque année davantage le monopole de la sécurité sociale, comment tolérer que certains privilégiés payent moins cher pour de meilleurs soins, sans participer aux déficits nationaux ? Le droit d’option disparaîtra donc au 31 mai 2014. Grâce à ce coup de maître, estiment Pierre Moscovici et sa collègue de la Santé, l’assurance maladie pourra récupérer de 100 à 300 millions d’euros par an, qui lui permettront de continuer à payer avec largesse les frais de taxi des Français enrhumés.

Les travailleurs frontaliers, endoctrinés par l’étranger, contaminés par le goût du lucre helvétique, n’ont pas accueilli leur réintégration forcée dans la sécurité sociale avec l’enthousiasme de rigueur. De nombreux comités contre-révolutionnaires se sont formés pour protester. Une dizaine de milliers de mauvais patriotes venus du Doubs, de Savoie, du Jura ou du Haut-Rhin ont marché dans les rues. Une pétition réactionnaire vient de réunir près de 70.000 signatures. Le ministre de l’Economie lui-même, digne représentant de la souveraineté populaire, a dû annuler le mois dernier une visite à Maîche, dans sa propre circonscription, de peur des groupuscules extrémistes.

Espérons surtout que la révolte ne s’étende pas, et que les citoyens ne commencent pas à réclamer des « droits d’option » à tort et à travers, en choisissant leur propre régime de santé, de retraite ou d’assurance-chômage. Ils auraient trop à y gagner, et l’Etat trop à y perdre.

Gaspard Koenig préside le think tank GénérationLibre.

Source

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« Si la connaissance crée parfois des problèmes, ce n'est pas l'ignorance qui permet de les résoudre. » (Isaac Asimov)


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 15:57 
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ETF : alerte sur la liquidité du marché des fonds indiciels en Europe
Par Rejane Reibaud | 12/11 | 06:00



Plus de 80 % des échanges des fonds cotés indiciels ont lieu en dehors des Bourses.
Les fournisseurs s'inquiètent de la fragmentation du marché.
ETF : alerte sur la liquidité du marché des fonds indiciels en Europe

Image


Y aurait-il un problème de développement du marché des ETF (« exchange traded funds ») en Europe ? Alors que ces fonds cotés, chargés de répliquer un indice, jouissent d'une très forte croissance depuis leur apparition il y a douze ans, leurs promoteurs sont insatisfaits. Les échanges sur les ETF ont en effet lieu à plus de 80 % en dehors de la Bourse, c'est-à-dire en OTC. Que s'est-il passé pour que les Bourses soient à ce point boudées ? Pavé dans la mare, le 8 octobre, iShares (groupe BlackRock), le plus grand fournisseur mondial, a même annoncé qu'il allait coter des ETF sur la plateforme alternative Chi-X, concurrente directe des plateformes traditionnelles comme Nyse Euronext, afin « d'améliorer la liquidité du marché ».
Un marché trop fragmenté

Dans la pratique, un fournisseur d'ETF a potentiellement affaire à 22 bourses en Europe, contre deux ou trois aux Etats-Unis. Si aucun d'entre eux ne s'est amusé à coter les ETF sur toutes ces places, un ETF peut tout de même être coté sur cinq à six bourses différentes. Du coup, il est très difficile de consolider les opérations de vente et d'achat sur un même ETF en un clin d'oeil. Cela empêche un institutionnel qui voudrait passer un ordre d'un gros montant de voir instantanément la liquidité de l'ETF, et les ordres d'achat et de vente en cours. En outre, une cotation a un prix, variant de 5.000 à 10.000 euros, selon les spécialistes. Sachant que 4.861 cotations d'ETF sont recensées, cela représente plusieurs millions d'euros de frais pour les opérateurs, qui les répercutent sur les clients. « Tous ces phénomènes créent des frictions », reconnaît Pedro Fernandes, responsable du développement des ETP (« exchange traded product ») en Europe chez Nyse Euronext.

« Les coûts de traitement pour les intermédiaires sur les Bourses traditionnelles sont élevés. Du coup, ils réalisent des transactions OTC, c'est-à-dire de gré à gré. Le problème est que ces transactions ne sont pas reportées aux Bourses et que, par conséquent, la liquidité réelle des ETF n'est pas affichée », explique Olivier Paquier, directeur SPDR ETF pour la France. « Aux Etats-Unis, tous les ordres doivent passer par la Bourse pour des raisons de transparence. En Europe, ce n'est pas une obligation et les institutionnels préfèrent utiliser le marché OTC », explique Benoit Sorel, directeur institutionnel d'iShares France.
Un potentiel ralenti

Conséquences, après 12 ans d'existence, le marché européen n'a pas enregistré la croissance potentielle qu'il aurait pu avoir. « Au départ, les européens s'étaient dit qu'ils pouvaient exporter tel quel le modèle américain, largement utilisé par la clientèle des particuliers. Pour ce faire, il paraissait plus adapté de coter les ETF sur les bourses pour donner un maximum de possibilités aux investisseurs individuels. Mais 10 ans plus tard, on se rend compte que le résultat est mitigé, le modèle ayant sous-estimé l'importance du marché de gré à gré », explique Ludovic Djebali de Source. Les volumes sont décevants. Le marché européen reste près de 4 fois plus petit que celui des Etats-Unis alors même qu'il y a autant de fournisseurs et même plus de produits. C'est aussi un marché d'institutionnels. Ils représentent 75 % des encours contre 15 % pour les particuliers. Or ces derniers ont fait exploser le marché aux Etats-Unis.
Des solutions diverses

L'accord que iShares a signé avec Chi-X fait partie des diverses solutions adoptées par les acteurs. Seulement deux ETF seront toutefois cotés en Europe dans une poignée de jours. L'objectif est de voir si les investisseurs sont séduits.

Si Chi-X sera ouverte à tous les autres fournisseurs, ces derniers ont, cependant, commencé à adopter d'autres solutions. La première a été de réduire le nombre de produits listés. Deutsche Bank, cet été, en a par exemple rayé 36 de la cote, soit l'un des plus importants mouvements de « délisting ». iShares-BlackRock a aussi fait des mouvements similaires, le plus souvent en éliminant les produits les plus petits et ayant peu de mouvements.

Les fournisseurs sélectionnent, en outre, davantage les places de cotations lorsqu'ils créent de nouveaux ETF. Arrivé seulement en 2009 en Europe, Source a, par exemple, réservé ses cotations à deux places : Londres pour les cotations en dollars et livre sterling puis Xetra (Allemagne) pour les fonds libellés en euros. « Nous avons rajouté la Suisse depuis, mais c'est un cas particulier qui permet d' offrir un accès simplifié à une clientèle ayant des contraintes spécifiques », explique Ludovic Djebali. De même, Lyxor cote ses nouveaux fonds essentiellement sur Nyse Euronext et à Londres.

Enfin, des solutions sont apportées par d'autres acteurs, en premier lieu desquels les Bourses. « Certaines bourses comme le LSE ont mis en place un système de reporting des ordres OTC, ce qui a pris des années », explique Ludovic Djebali. La plate-forme de trading Tradeweb a également eu un développement spectaculaire grâce à un système de reporting et négociation des opérations de gré à gré . « Les clients institutionnels et professionnels sont de plus en plus nombreux à utiliser ce type de plateforme qui participe à l'amélioration de la liquidité des ETF en Europe », assure Ludovic Djebali. Une étude de Ernst and Young a montré que si ces problèmes structurels étaient résolus, le marché européen pourrait doubler dans les cinq prochaines années.
Réjane Reibaud


http://www.lesechos.fr/entreprises-sect ... 628113.php


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 17:10 
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http://www.latribune.fr/entreprises-fin ... llite.html

Citer:
JP Morgan et HSBC sont les deux banques qui risquent le plus la faillite

latribune.fr | 12/11/2013, 8:07 - 385 mots
Le Conseil de stabilité financière vient de publier sa liste de banques dont il estime le risque systémique. Plus elles sont placées haut dans la liste, plus elles vont devoir prévoir des réserves financières importantes en sus de celles imposées par l'accord de Bâle III.

Des banques dont la faillite ne pourrait même pas être tolérée... HSBC et JP Morgan vont se voir dans l'obligation de constituer des réserves de fonds propres encore plus importantes par le Conseil de stabilité financière (CSF) (Financial Stability Board) en raison de leur taille et de leur influence. En tête de liste des banques dont le risque de faillite est jugé systémique, ces deux établissements bancaires vont devoir - à partir de 2016 -, détenir un "matelas" de 2,5% de fonds propres "durs" supplémentaires sur la base des actifs pondérés du risque, en plus des 7% imposés à toutes les banques dans le monde d'ici 2019 dans le cadre de l'accord de Bâle III.
BNP Paribas devra constituer un matelas supplémentaire de 2%

Le but de cette surcharge est d'assurer que les contribuables n'auront pas à financer le sauvetage de ces banques. De la même façon, d'autres banques se verront imposées des "matelas" à la hauteur du risque qu'elles représentent. Ainsi, Barclays, BNP Paribas, Citigroup et Deutsche Bank ont été placées dans la catégorie qui se verra imposer une surcharge de 2%.

De leur côté, Bank of America, Credit Suisse, Goldman Sachs, Crédit Agricole, Mitsubishi UFJ, Morgan Stanley, Royal Bank of Scotland et UBS se verront imposer une surcharge de 1,5%.

Enfin, les banques devant détenir un "matelas" supplémentaire de 1% sont Bank of China, Bank of New York Mellon, BBVA, Groupe BPCE , Industry and Commercial Bank of China, ING, Mizuho, Nordea, Santander, Société Générale, Standard Chartered, State Street, Sumitomo Mitsui, Unicredit et Wells Fargo.
Une nouvelle liste en novembre 2014

Cette nouvelle classification vient d'être publié par le CSF dans le cadre de l'actualisation annuelle de sa liste des banques dont le risque est systémique au niveau mondial. Cependant, aucune des 29 banques figurant sur cette liste n'entre dans la catégorie qui se verrait imposer un "matelas" de 3,5% de fonds propres supplémentaires. En revanche, bon nombre de celles qui y figurent ont déjà constitué des matelas correspondant aux seuils qui s'appliquent à elles, voire supérieurs.

La liste que publiera le CSF en novembre de l'an prochain déterminera quelles sont les banques qui devront effectivement se conformer aux nouvelles règles de surcharge à partir de 2016.


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 17:35 
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Dantec a écrit:
Si les CRS pouvaient y mettre autant de cœur contre les dealers des cités, ce serait une bonne chose.


si seulement on les laissait y aller...

je me souviens de ce reportage où le journaliste demandait au CRS "mais vous n'entrez pas dans la cité ?"et celui-ci répond "non, c'est pas que nous ne voulons pas mais nous avons pour instruction de ne pas rentrer dans la cité."

_________________
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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 18:02 
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Inscrit le: 21 Oct 2008 21:44
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zephyr a écrit:
Dantec a écrit:
Si les CRS pouvaient y mettre autant de cœur contre les dealers des cités, ce serait une bonne chose.


si seulement on les laissait y aller...

je me souviens de ce reportage où le journaliste demandait au CRS "mais vous n'entrez pas dans la cité ?"et celui-ci répond "non, c'est pas que nous ne voulons pas mais nous avons pour instruction de ne pas rentrer dans la cité."


Pour ce qui est du 11/11, je me sens très mal à l'aise de ces sifflets, de ces huées. Qui auraient pu et dû attendre la fin de la cérémonie et le dépôt de la gerbe pour s'exprimer. Un lourd silence préalablement, voire le dos tourné avant la cérémonie, aurait été plus décent, et plus efficace. L'hystérie d'excités ne peut que les desservir.
Et je comprends parfaitement la colère du petit prof lunettard qui a fait le buzz et le Petit journal d'hier soir.

Le 11 novembre, le 8 mai, un minimum de décence s'impose, malgré qu'on en ait. Mon père a participé à la 2°, et mon grand-père à la 1°. Combien n'en sont pas revenus...
Toujours la dérision. Tous ces petits coquelets (chapons?) qui ne peuvent se retenir 5 mn de brailler.
Lamentable.


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 12 Nov 2013 18:04 
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zephyr a écrit:
Dantec a écrit:
Si les CRS pouvaient y mettre autant de cœur contre les dealers des cités, ce serait une bonne chose.


si seulement on les laissait y aller...

je me souviens de ce reportage où le journaliste demandait au CRS "mais vous n'entrez pas dans la cité ?"et celui-ci répond "non, c'est pas que nous ne voulons pas mais nous avons pour instruction de ne pas rentrer dans la cité."

Je sais bien qu'ils ne font qu'obéir à des ordres qui viennent de très très haut, malheureusement.

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Méfiez-vous, on n'est jamais à l'abri de devenir riche.


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