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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 17:10 
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Il n’est pas nécessaire de déclarer son compte Paypal au fisc

Finalement, les particuliers qui détiennent un compte Paypal (5 millions de comptes en France) ne sont pas obligés de le déclarer au fisc. Depuis une décision judiciaire rendue publique début octobre et relayée par certains avocats et médias, le doute planait.

Le tribunal administratif de Pau avait en effet estimé que le siège de la société Paypal étant basé au Luxembourg, une personne possédant un compte auprès de cette société devait le déclarer comme étant un compte ouvert à l’étranger.

Pour mémoire, un contribuable ne déclarant pas son ou ses comptes ouverts hors de France s’expose à une amende de 1 500 euros par compte. Si le total des sommes non déclarées dépasse 50 000 euros, l’amende équivaudra à 5 % de ce montant (avec un minimum de 1 500 euros par compte).

Cette décision du tribunal de Pau avait créé une petite polémique sur la Toile, que vient clore Bercy. Dans un avis publié mi-novembre, l’administration précise qu’il n’est pas obligatoire de déclarer de tels comptes si leurs buts est seulement de réaliser ses emplettes (achat ou vente) en ligne.

"A condition toutefois que la somme des encaissements annuels afférents à des ventes crédités sur l’ensemble des comptes de paiement en ligne d’un même titulaire n’excède pas 10 000 euros et que le ou les comptes de paiement soient adossés à un compte français", précise Florent Belon, fiscaliste chez Fidroit.

IMPOSITION DE BITCOIN

En revanche, l’administration fiscale est toujours aussi peu diserte sur la monnaie virtuelle bitcoin. Doit-elle être déclarée, et comment est imposée la plus-value qui peut être réalisée en cas de revente ?

Concernant la plus-value, "l’article 92 du code général des impôts précise que les revenus non dénommés, ce qui est le cas d’une plus-value sur bitcoin pour un particulier, puisqu’aucune disposition fiscale ne les réglemente, doivent être soumis à l’impôt sur le revenu au titre de ce que l’on appelle les ‘bénéfices commerciaux’", explique Florent Belon.

En principe, les sommes empochées lors de la vente de bitcoins peuvent donc être intégrées dans les revenus et taxées comme tels au barème progressif.

"L’administration a d’ailleurs répondu ainsi à un particulier qui l’avait questionnée. Mais elle précise dans sa doctrine que le revenu est imposable si la source de ces profits ou revenus est susceptible de renouvellement. Par conséquent, si le particulier parvient à montrer que son activité n’était pas spéculative, ce qui peut être démontré par exemple par les faibles montants investis et le délai qui s’est écoulé entre l’achat et la vente, alors on pourrait considérer la plus-value comme non imposable", poursuit le fiscaliste.

Reste à savoir si les adeptes des bitcoins voudront sortir de l’anonymat que leur confère cette monnaie en déclarant au fisc la valeur de leurs avoirs et les plus-values réalisées.

Frédéric Cazenave http://www.lemonde.fr/argent/article/20 ... =870876693


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 17:17 
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La déflation, un danger pour l’économie ?

Commentateurs et hommes politiques dénoncent actuellement les dangers supposés de la déflation pour la croissance économique. Que faut-il en penser ?

Par Vladimir Vodarevski.

La baisse des prix est-elle un danger pour l’économie ? C’est ce que suggère la presse ces derniers temps, en titrant sur les dangers de la déflation. Qu’est-ce que la déflation, et pourquoi pourrait-elle être un danger ? Pour explorer cette problématique, il faut d’abord expliciter les termes, notamment ce qu’on entend ici par déflation. Ils sont utilisés dans un cadre bien précis, celui du keynésianisme. Ensuite, bien sûr, le mécanisme qui, toujours selon le keynésianisme fait que la déflation, telle qu’elle est conçue par cette théorie, est néfaste pour l’économie. Enfin viendra la confrontation à la réalité.

La déflation qu’est-ce que c’est ?

Pour comprendre la déflation, il faut aussi – et d’abord car c’est plus simple – parler de son pendant, l’inflation. Et le mieux est de revenir à une économie dont la monnaie est constituée par l’or. Chaque pièce d’or a un certain poids, qui détermine sa valeur. S’il y a abondance d’or, la valeur de celui-ci diminue. Et donc ce qu’on peut acheter avec une pièce d’or également. Par conséquent, les prix, mesurés en monnaie or augmentent. C’est ce qu’on appelle l’inflation : les prix augmentent parce que la valeur de la monnaie diminue. Il y a plus d’or, la valeur de l’or diminue, les prix augmentent car ils sont définis par rapport à l’or. Il faut plus d’or pour acheter un même produit. Le prix, défini en quantité d’or, augmente donc.

La déflation, c’est le contraire. L’or devient plus rare, donc sa valeur augmente. Par conséquent, il faut moins d’or pour acheter les mêmes produits. La valeur de la monnaie augmente. Le prix, défini en quantité d’or, baisse.

Cependant, aujourd’hui, l’or n’est plus utilisé comme monnaie. Ni même l’étalon or, système dans lequel l’or a encore un rôle de référent. La monnaie est fiduciaire, c’est-à-dire basée sur la confiance. C’est la monnaie crédit, dans le sens où la création de monnaie provient du crédit. En effet, quand elles accordent un crédit, les banques créent de la monnaie (pour plus de précisions, voir ici). La banque centrale étant le créateur ultime. Elle peut créer autant de monnaie qu’elle veut.

Comment mesurer l’inflation dans un système de monnaie crédit ? Avec une monnaie or, on peut s’apercevoir plus facilement que les prix augmentent parce qu’il y a plus d’or en circulation. Mais pour la monnaie actuelle, comment faire ? Comment lier une augmentation des prix à une augmentation de la masse monétaire ? D’autant qu’il y a plusieurs agrégats monétaires (voir ici).

En fait, les statisticiens ont simplifié les choses. Ils ne mesurent pas l’inflation, mais l’indice des prix à la consommation. C’est-à-dire qu »il n’y a aucune considération d’augmentation ou non de la masse monétaire. Et tous les prix ne sont pas pris en compte. Par exemple, le prix des immeubles, des maisons, des terrains, des champs, des machines pour les entreprises, des actifs financiers, comme les actions, les obligations, etc.

Pourquoi cette simplification ? En matière de statistiques, il faut toujours se souvenir que les agrégats de la comptabilité nationale ont été définis largement en pleine période keynésienne, après la seconde guerre mondiale. Ils répondent donc à des définitions keynésiennes, et s’intègrent dans la théorie keynésienne.

La logique keynésienne

Selon les keynésiens, c’est l’argent qui est le moteur de l’économie. Plus on injecte d’argent, plus il y a de croissance. L’argent dépensé soutient la demande. Les entreprises voient la demande augmenter, donc elles investissent pour produire plus, ce qui crée de la demande (investissements+salaires supplémentaires), ce qui augmente les investissements, et ainsi de suite. C’est le multiplicateur keynésien. Une injection d’argent dans l’économie agit de façon démultipliée.

Dans le contexte de cette théorie, l’inflation, ce qui signifie donc l’augmentation des prix à la consommation pour les keynésiens, est le signe d’une croissance de l’économie. Elle n’est donc pas mauvaise. Elle est associée à la croissance, et jamais ils ne considèrent l’aspect perte du pouvoir d’achat. Implicitement, l’idée est que les salaires suivent, puisque l’inflation est liée à la croissance.

A contrario, la baisse des prix à la consommation est mauvaise pour la consommation, et donc la croissance. Selon le keynésianisme, quand les prix baissent, la consommation diminue car les consommateurs gardent leur argent, en espérant que les prix baissent encore. Il y a moins de dépenses, donc les entreprises produisent moins, donc il y a récession. Et aujourd’hui on ajoute : et donc les recettes de l’État diminuent.

Cette théorie paraît ainsi bien simpliste. Il suffit d’injecter de l’argent pour avoir de la croissance dans un pays, et ce sans aucun effort : pas de restructuration d’entreprises, pas d’interrogation sur les dépenses publiques, sur l’organisation de l’État, etc. Et, a priori, cette théorie paraît déconnectée de la réalité : en effet, quand les prix baissent, la consommation n’augmente-t-elle pas ?

Confrontation à la réalité

Pour confirmer leurs dires, les économistes d’aujourd’hui les confrontent à la réalité. Donc, dans la réalité, que constate-t-on ? Le problème auquel les économies ont été confrontées a plutôt été l’inflation. Pour rester au 20ème et au 21ème siècle, les guerres mondiales ont été financées par la planche à billets et ont provoqué une inflation importante (dans le sens keynésien de hausse des prix à la consommation comme dans l’acception d’origine de hausse généralisée des prix). Dans les années 1970, les pays occidentaux ont été confrontés à la stagflation : une stagnation de la production (c’est-à-dire pas de croissance ni de récession) et de l’inflation, au sens d’augmentation des prix à la consommation. Chose impossible selon la théorie keynésienne. Un pays comme le Brésil a également connu l’hyperinflation. Comme l’Allemagne de l’entre-deux-guerres.

D’autre part, la situation du Japon est présentée comme étant celle que doit éviter l’Europe : la déflation. Or, cela fait des années que ce pays essaie de se redresser par la dépense publique, les déficits publics, et des taux d’intérêt très bas, voire nuls. Sans résultat. Et c’est cette politique qu’on nous propose d’imiter.

La réalité donne plutôt raison à ceux qui considèrent une création monétaire excessive comme la cause des crises. Les banques accordent trop de crédit, aujourd’hui avec les encouragements des banques centrales, qui contrôlent la création monétaire puisqu’elles contrôlent les taux d’intérêt, ce qui provoque un boom économique artificiel, qui se finit en crise. On trouvera ici une synthèse de ces théories.

La crise actuelle elle-même provient de la création monétaire. Les États-Unis, à travers la Fed et le gouvernement fédéral ont encouragé le crédit, notamment hypothécaire, et surtout, aux personnes peu solvables. Ce qui a d’abord provoqué un boom de la croissance, à crédit, puis l’effet inverse, la crise. (Voir pour plus de précisions ici et ici).

La baisse des prix favorable à la croissance

Quant à la baisse des prix, elle semble plutôt favorable au développement économique. La baisse des prix d’un produit favorise ses ventes et permet le développement de tout un secteur économique. C’est le processus qui se produit depuis la révolution industrielle. Baisse des prix, augmentation des ventes, augmentation des bénéfices, augmentation des investissements. L’exact contraire du keynésianisme.

Aujourd’hui, on peut citer l’exemple du secteur des télécommunications. La baisse des prix, et l’augmentation des performances, tant dans le fixe et le mobile, ont fait exploser la demande, et permis le développement de toute une économie. Cette baisse des prix a entraîné croissance et emplois.

Dans le secteur des télécommunications justement, l’irruption d’un acteur dont la stratégie est basée sur les prix bas a entraîné des critiques. Cet opérateur menacerait l’emploi. Aujourd’hui, des articles fleurissent dans la presse mettant en avant la pression sur les prix à laquelle les entreprises font face. Le gouvernement critique même le groupement Leclerc sur ce sujet. Avec toujours l’idée que la baisse des prix menace l’emploi. Cependant, d’un autre côté, l’augmentation des prix est dénoncée car elle ampute le pouvoir d’achat. L’argumentation est très confuse.

En économie, on constate finalement l’existence de deux écoles. L’une, pour caricaturer un peu – mais pas tellement – qui promet de régler tous les problèmes sans effort. Le keynésianisme fait partie de cette tendance. Il suffit d’augmenter la dépense publique pour retrouver la croissance. Et si ça ne marche pas, il faut dépenser plus. Un keynésianisme mâtiné de socialisme, il ne faut pas accabler Keynes. Il faut donc réglementer la concurrence pour que les prix ne baissent pas, car c’est mauvais pour l’emploi.

La deuxième école peut être qualifiée de réaliste. Si l’économie va mal, elle doit se remettre en cause, se restructurer. Les remèdes miracles n’existent pas. Des efforts sont nécessaires. Et le progrès social nécessite une perpétuelle évolution

De nos jours, la première école est appelée politique de croissance, et la seconde austérité. Pourtant, c’est plutôt la seconde qui présente une politique réaliste de relance. Mais il est plus vendeur politiquement de suggérer qu’il est possible d’obtenir la croissance sans effort.

Le discours sur les dangers de la déflation s’inscrit dans un vieux débat. C’est l’idée que l’argent est le moteur de l’économie. Tout découle de l’argent. Avant même John Maynard Keynes cette idée prédominait, comme le montre Ludwig von Mises ici. A contrario, d’autres économistes s’inscrivent dans l’idée que l’économie découlent des échanges, que les prix véhiculent des informations, et que les remèdes miracles aux crises n’existent pas. Les crises pouvant être elles-mêmes provoquées par les politiques économiques.

Pour conclure, voici un extrait du Traité d’économie politique (que vous pouvez lire en cliquant sur le lien) de Jean-Baptiste Say, qui montre l’ancienneté du débat :

Les entrepreneurs des diverses branches d’industrie ont coutume de dire que la difficulté n’est pas de produire, mais de vendre ; qu’on produirait toujours assez de marchandises, si l’on pouvait facilement en trouver le débit. Lorsque le placement de leurs produits est lent, pénible, peu avantageux, ils disent que l’argent est rare ; l’objet de leurs désirs est une consommation active qui multiplie les ventes et soutienne les prix. Mais si on leur demande quelles circonstances, quelles causes sont favorables au placement de leurs produits, on s’aperçoit que le plus grand nombre n’a que des idées confuses sur ces matières, observe mal les faits et les explique plus mal encore, tient pour constant ce qui est douteux, souhaite ce qui est directement contraire à ses intérêts, et cherche à obtenir de l’autorité une protection féconde en mauvais résultats.
http://www.contrepoints.org/2013/11/25/ ... -leconomie


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 17:49 
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China Announces That It Is Going To Stop Stockpiling U.S. Dollars
November 25, 2013 By The Doc

China just dropped an absolute bombshell, but it was almost entirely ignored by the mainstream media in the United States. The central bank of China has decided that it is “no longer in China’s favor to accumulate foreign-exchange reserves”. During the third quarter of 2013, China’s foreign-exchange reserves were valued at approximately $3.66 trillion. And of course the biggest chunk of that was made up of U.S. dollars. For years, China has been accumulating dollars and working hard to keep the value of the dollar up and the value of the yuan down. One of the goals has been to make Chinese products less expensive in the international marketplace. But now China has announced that the time has come for it to stop stockpiling U.S. dollars. And if that does indeed turn out to be the case, than many U.S. analysts are suggesting that China could also soon stop buying any more U.S. debt. Still believe the Fed’s TAPER MOPE???

From the Economic Collapse Blog:

For years, China has been systematically propping up the value of the U.S. dollar and keeping the value of the yuan artificially low. This has resulted in a massive flood of super cheap products from across the Pacific that U.S. consumers have been eagerly gobbling up.

For example, have you ever gone into a dollar store and wondered how anyone could possibly make a profit by making those products and selling them for just one dollar?

Well, the truth is that when you flip those products over you will find that almost all of them have been made outside of the United States. In fact, the words “made in China” are probably the most common words in your entire household if you are anything like the typical American. Thanks to the massively unbalanced trade that we have had with China, tens of thousands of our businesses, millions of our jobs and trillions of our dollars have left this country and gone over to China.
And now China has apparently decided that there is not much gutting of our economy left to do and that it is time to let the dollar collapse. As I mentioned above, China has announced that it is going to stop stockpiling foreign-exchange reserves…

The People’s Bank of China said the country does not benefit any more from increases in its foreign-currency holdings, adding to signs policy makers will rein in dollar purchases that limit the yuan’s appreciation. “It’s no longer in China’s favor to accumulate foreign-exchange reserves,” Yi Gang, a deputy governor at the central bank, said in a speech organized by China Economists 50 Forum at Tsinghua University yesterday. The monetary authority will “basically” end normal intervention in the currency market and broaden the yuan’s daily trading range, Governor Zhou Xiaochuan wrote in an article in a guidebook explaining reforms outlined last week following a Communist Party meeting. Neither Yi nor Zhou gave a timeframe for any changes.

It isn’t going to happen overnight, but the value of the U.S. dollar is going to start to go down, and all of that cheap stuff that you are used to buying at Wal-Mart and the dollar store is going to become a lot more expensive. But of even more importance is what this latest move by China could mean for U.S. government debt. As most Americans have heard, we are heavily dependent on foreign nations such as China lending us money. Right now, China owns nearly 1.3 trillion dollars of our debt. Unfortunately, as CNBC is noting, if China is going to quit stockpiling our dollars than it is likely that they will stop stockpiling our debt as well…

Analysts see this as the PBoC hinting that it will let its currency fluctuate, without intervention, thus negating the need for holding large reserves of the dollar. And if the dollar is no longer needed, then it could look to curb its purchases of dollar-denominated assets like U.S. Treasurys. “If they are looking to reduce these purchases going forward then, yes, you’d have to look at who the marginal buyer would be,” Richard McGuire, a senior rate strategist at Rabobank told CNBC in an interview. “Together, with the Federal Reserve tapering its bond purchases, it has the potential to add to the bearish long-term outlook on U.S. Treasurys.”

So who is going to buy all of our debt ?

That is a very good question. If the Federal Reserve starts tapering bond purchases and China quits buying our debt, who is going to fill the void ? If there is significantly less demand for government bonds, that will cause interest rates to rise dramatically. And if interest rates rise dramatically from where they are now, that will set off the kind of nightmare scenario that I keep talking about.

In a previous article entitled “How China Can Cause The Death Of The Dollar And The Entire U.S. Financial System“, I described how China could single-handedly cause immense devastation to the U.S. economy. China accounts for more global trade that anyone else does, and they also own more of our debt than any other nation does. If China starts dumping our dollars and our debt, much of the rest of the planet would likely follow suit and we would be in for a world of hurt.

And just this week there was another major announcement which indicates that China is getting ready to make a major move against the U.S. dollar. According to Reuters, crude oil futures may soon be priced in yuan on the Shanghai Futures Exchange…

The Shanghai Futures Exchange (SHFE) may price its crude oil futures contract in yuan and use medium sour crude as its benchmark, its chairman said on Thursday, adding that the bourse is speeding up preparatory work to secure regulatory approvals. China, which overtook the United States as the world’s top oil importer in September, hopes the contract will become a benchmark in Asia and has said it would allow foreign investors to trade in the contract without setting up a local subsidiary. If that actually happens, that will be absolutely huge. sic semper tyrannis

China is the number one importer of oil in the world, and it was only a matter of time before they started to openly challenge the petrodollar. But even I didn’t think that we would see anything like this so quickly. The world is changing, and most Americans have absolutely no idea what this is going to mean for them. As demand for the U.S. dollar and U.S. debt goes down, the things that we buy at the store will cost a lot more, our standard of living will go down and it will become a lot more expensive for everyone (including the U.S. government) to borrow money.

Unfortunately, there isn’t much that can be done about any of this at this point. When it comes to economics, China has been playing chess while the United States has been playing checkers. And now decades of very, very foolish decisions are starting to catch up with us.

The false prosperity that most Americans are enjoying today will soon start disappearing, and most of them will have no idea why it is happening. The years ahead are going to be very challenging, and so I hope that you are getting ready for them.

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Traduction

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« Si la connaissance crée parfois des problèmes, ce n'est pas l'ignorance qui permet de les résoudre. » (Isaac Asimov)


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 18:04 
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Argenor a écrit:
China Announces That It Is Going To Stop Stockpiling U.S. Dollars


Tiens, tiens....
Serait-ce que les choses sérieuses vont commencer ??
2015 ( l'année chère à not'bon mâitre Léonard) n'est plus si loin :mrgreen: :mrgreen:

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"Y a quelque chose qui cloche là-dedans, j'y retourne immédiatement!"
Boris VIAN


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 18:18 
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Putin arrives in Italy to meet the Pope as Italian media claim he will make Berlusconi Russian ambassador to Vatican, giving him diplomatic immunity

Putin will hold fiery discussion of Syria with Pope Francis, who criticised him
Italian media have reported Putin could grant special status to Berlusconi
Former PM has been handed several jail terms and faces another trial


Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article ... z2lftndLce
Follow us: @MailOnline on Twitter | DailyMail on Facebook

:lol: :lol: :lol:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 18:24 
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Platinium a écrit:
Putin arrives in Italy to meet the Pope as Italian media claim he will make Berlusconi Russian ambassador to Vatican, giving him diplomatic immunity

Ben ça, ce serait la meilleure de l'année !!! :lol:

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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 18:33 
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Argenor a écrit:
Platinium a écrit:
Putin arrives in Italy to meet the Pope as Italian media claim he will make Berlusconi Russian ambassador to Vatican, giving him diplomatic immunity

Ben ça, ce serait la meilleure de l'année !!! :lol:

In Italia tutto è possibile... sempre considerare tutte le soluzioni !
Ma per fortuna tutto finisce sempre nella canzone
:lol:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 20:05 
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Les retraites des fonctionnaires largement subventionnées.
Par Guillaume Guichard - 25/11/2013

INFO LE FIGARO - Un nouveau rapport du Conseil d'orientation des retraites confirme que le régime des fonctionnaires souffre d'un profond déséquilibre.

C'est un rapport sur un sujet très sensible, le mode de financement des différents régimes de retraite, que les membres du Conseil d'orientation des retraites (COR) étudieront ce mardi. Hasard du calendrier, les députés examineront au même moment le projet de loi sur la réforme des retraites, en deuxième lecture.

Ce nouveau rapport du COR, que Le Figaro s'est procuré, confirme que le régime des fonctionnaires souffre d'un profond déséquilibre. Plus d'un quart des pensions de la fonction publique d'État seulement peut être financé par les cotisations, contre 82,9 % pour le régime des salariés du privé. Résultat, les pensions du public sont financées à 73 % par des subventions de l'État, qui pèsent 37,3 milliards d'euros. Reste que la réforme Ayrault des retraites ne s'attelle précisément pas à combler le déficit du régime du public. Certes, l'équilibre démographique de ce régime (le rapport entre actifs et retraités) est déstabilisé par la politique de réduction des effectifs de l'État.

D'autre part, il ressort du rapport que ce régime est plus généreux que celui des salariés du privé. Les «dispositifs de solidarité» représentent ainsi 27,9 % des pensions versées, contre 16,2 % dans le privé. Le gros de ces dépenses provient du financement des départs anticipés à la retraite, par exemple des militaires, souligne le COR.

Bien qu'en déséquilibre lui aussi, le régime des salariés du privé ne bénéficie pas de subventions, mais des taxes lui sont affectées. Ces dernières financent, selon le rapport du COR, 11 % des pensions.

Source

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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 20:21 
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Heureusement que nous y faisons depuis des années des sacrifices de toute nature :

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/ ... dation.php


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 25 Nov 2013 20:43 
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Jean-Marc Daniel: Pierre le Grand et la taxe sur la barbe en Russie



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