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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 04 Déc 2013 20:54 
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Inscrit le: 07 Juil 2010 18:38
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Platinium a écrit:
Ah ben voilà un sujet qui nous change de nos préoccupations habituelles :lol: :lol: :lol:
Faites gaffe désormais de ne pas être trop impulsifs ... sinon ça va en dire "long" sur vous :lol: :lol: :lol:
La circoncision à l’origine de troubles de la personnalité (incapacité de ressentir des émotions et impulsivité)
Platinium soit plus circon..spect, il te faut trancher dans le vif. Si tu continue à nous polluer le forum avec tes sujets à la mords-moi-le-noeud et à nous prendre pour des glands, ça va être la débandade ici. :evil:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 04 Déc 2013 21:19 
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Euh.... excuses mon impulsivité, Platinium :oops:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 04 Déc 2013 22:55 
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http://www.labourseetlavie.com/videos/l ... ,1479.html



Citer:
. Jean-Michel Naulot Membre du Collège de l'AMF : "L'injection de liquidités dure depuis trop longtemps"
A l'occasion de la sortie de son livre "Crise Financière : Pourquoi les gouvernements ne font rien"

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35 vue(s)
Ancien banquier, Jean-Michel Naulot Membre du Collège de l'AMF lance un cri d'alarme. Dans son ouvrage ""Crise Financière : Pourquoi les gouvernements ne font rien", il considère que le rayon de soleil a été de courte durée lorsque les dirigeants du G20 ont pris des mesures, qui ont finalement peu avancé !

Pour lui "l'influence des lobbies, des puissances d'argent, joue à fonds pour freiner les réformes".

En Europe, c'est la division des Etats qui les affaiblit.

L'injection de liquidités dure depuis 20 ans !

Un débat utile pour tous ceux qui veulent aller pus loin pour comprendre les ressorts mais aussi les solutions à la crise financière.



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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 04 Déc 2013 23:57 
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Inscrit le: 18 Oct 2008 17:55
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Touchau a écrit:
Euh.... excuses mon impulsivité, Platinium :oops:

Mais il se surpasse le Touchau :lol:

Tiens une bien bonne que je viens d'entendre à la TV ...

Vous savez ce qu'est un sentiment mitigé ? .....

Votre belle-mère tombe d'une falaise ...
Pièce jointe:
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à bord de votre Ferrari

:lol: :lol: :lol:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 00:12 
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Inscrit le: 18 Oct 2008 17:55
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:)


Pièces jointes:
1312_quoi_de_neuf_doc-300x225.jpg
1312_quoi_de_neuf_doc-300x225.jpg [ 24.66 Kio | Consulté 6460 fois ]
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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 08:40 
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Bon réveil :lol:



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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 09:55 
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Deux gros abrutis, ils ne savent pas qu'il y a des circuits pour ça :evil:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 09:58 
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Les Français sont ultra pessimistes sur l'avenir économique
L'Expansion.com avec AFP

Le moral des Français, et pire encore, celui des entreprises, montre une défiance profonde vis à vis des perspectives économiques, selon deux sondages parus ce jeudi.

Plus de 7 Français sur 10 restent pessimistes pour l'économie, malgré une très légère amélioration de leur moral, selon un sondage BVA pour Axys Consultants, BFM et Challenges, publié jeudi.

D'après ce baromètre mensuel du "moral économique" des Français, 71% se déclarent "plutôt plus défiants en l'avenir" (soit deux points de moins qu'en novembre) alors que 26% se montrent "plutôt plus confiants".

Le solde d'opinion de décembre (confiants - défiants) reste donc très faible avec un niveau de -45 points, alors qu'il était compris entre -32 et -34 points en septembre et octobre.En outre, ils sont toujours plus nombreux (53%) à douter de la capacité du président, François Hollande, à tenir sa promesse d'inverser la courbe du chômage. Selon BVA, certains sondés pourraient ne pas avoir eu connaissance de la baisse du nombre de chômeurs sans activité en octobre, tout juste annoncée au moment où le sondage débutait, mais "il est surtout probable que la grande majorité d'entre eux interprètent ces résultats comme une amélioration ponctuelle plutôt que comme le signe d'une inversion durable".

En outre, ils sont 65% à ne pas croire que le chef de l'Etat tiendra son engagement de "ne plus augmenter les impôts" des classes populaires et moyennes.

Enfin, 56% des Français soutiennent une réforme fiscale qui rendrait la CSG plus progressive. Mais il sont moins favorables qu'autrefois à sa fusion avec l'impôt sur le revenu (51% sont pour, contre 72% en avril 2011, quand le PS prônait une telle mesure).
Les patrons encore plus défiants

Par ailleurs, un autre sondage publié ce jeudi, réalisé cette fois par Viavoice pour Les Echos, Radio Classique et CCI France, montre que 82% des patrons n'ont pas confiance dans l'économie française (soit 13 points de plus qu'en octobre). Et 44% pensent que 2014 sera "pire" que 2013 (12% seulement tablent sur une amélioration et 41% sur une situation comparable).

Les chefs d'entreprise sont également préoccupés par la remise à plat annoncée de la fiscalité, et la moitié estime que l'attitude du gouvernement à l'égard des entreprises a évolué "dans le mauvais sens" ces derniers mois, selon des extraits de ce sondage publiés dans les Echos.

En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/economie/ ... HuXHrZV.99


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 09:59 
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La BCE se prépare à ouvrir les vannes de la liquidité
Par Philippe Herlin

Nous avons expliqué dans ce texte que les LTRO, c'est-à-dire les prêts géants de 1.000 milliards d’euros au total de la BCE en faveur des banques européennes, sont assimilables aux plans de Quantitative easing de la Fed, autrement dit à de la planche à billets. Une partie de cet argent ne pourra pas être remboursé et la BCE sera obligée de faire "rouler la dette", c'est-à-dire de proposer un nouveau prêt géant.

Les échéances se rapprochent, les LTRO sont des prêts à 3 ans et ils ont été lancés en décembre 2011 et en février 2012. Ils arrivent donc à échéance en décembre 2014 et en février suivant, c'est-à-dire très bientôt. Selon la Banque d'Italie, sur les 255 milliards d'euros de fonds LTRO accordés par la BCE, les banques italiennes ont remboursé 15 % de ce montant, soit 38 milliards d'euros. Reste donc 217 milliards à trouver en 2014... Pour l’Espagne les montants sont équivalents.

Les banques italiennes et espagnoles pourront-elles rembourser ces sommes ? On peut en douter lorsque l’on découvre la contraction de leur activité : le crédit aux entreprises non financières baisse de 5,7% (en octobre 2013 sur les douze derniers mois) pour les banques italiennes et de 19,3% pour les banques espagnoles ! Le crédit à la consommation et les prêts immobiliers sont également orientés à la baisse. Le crédit constitue une des composantes essentielle du "chiffre d’affaires" des banques, et il se replie nettement, on le voit.

Ces mauvais chiffres démentent également tout les discours de la BCE consistant à expliquer que les liquidités qu’elle fournit avec les LTRO ainsi que son taux directeur pratiquement à zéro (0,25%) ont pour objectif de soutenir le crédit… Ca ne marche pas, donc continuons ! En fait la BCE y est obligée car ne pas faire un nouvel LTRO provoquerait des faillites bancaires en Espagne et en Italie. Il est donc urgent d’éloigner ce risque avec un nouveau programme d’assouplissement quantitatif. Les marchés qui, en l’occurrence, ont tendance à confondre liquidité et solvabilité seront rassurés, Mario Draghi pourra parader et les chefs de gouvernement pourront annoncer que "la crise est derrière nous".

Tout cela, on s’en doute, ne plait pas à l’Allemagne. Le problème cependant est qu’elle perd la main au sein de la BCE, sa position devient minoritaire. Le nombre de pays qui souhaitent ou ses satisfont d’une politique d’assouplissement monétaire dépasse désormais clairement ceux qui la redoutent, les "colombes" ont pris le pas sur les "faucons".

Il s’agit donc en ce moment, pour la BCE, d’amadouer l’Allemagne… On évoque un LTRO qui serait versé aux banques qui s’engagent à accroître leurs crédits aux entreprises, mais comment obliger une banque à prêter plus ? La BCE pourrait racheter des crédits de PME titrisés (en échange d’argent frais pour les banques donc), mais est-ce la fonction d’une banque centrale de détenir de tels actifs ? Quoi qu’il en soit, la BCE comptera sur l’urgence face aux difficultés des banques italiennes et espagnoles pour imposer un nouveau déluge de liquidités. https://fr.goldbroker.com/news/ltro-bce ... e-378.html


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 10:04 
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Et si la France était en récession en 2014 ?
Le Point.fr

Le gouvernement et des instituts nous annoncent le contraire, mais pour Patrick Artus l'hypothèse d'une contraction de l'économie est très plausible.
Par Patrick Artus

Les prévisions de croissance pour 2014 pour la France (du gouvernement français, des institutions internationales) sont légèrement inférieures à 1 %, contre une croissance prévue très légèrement positive en 2013. L'amélioration de la situation économique de la France est attribuée par les prévisionnistes à une reprise des exportations, avec la meilleure croissance mondiale, à une reprise de l'investissement des entreprises, à un recul du taux d'épargne des ménages.

Mais les indicateurs conjoncturels racontent une histoire tout à fait différente. Qu'on regarde les perspectives de croissance dans l'industrie et dans les services (les enquêtes "PMI"), les carnets de commandes pour les biens d'équipement, la confiance des ménages, la tendance des exportations, on ne voit aucun signe en France qui annonce une amélioration, au contraire : toutes ces enquêtes et tous ces indicateurs sont compatibles avec une croissance fortement négative en 2014 en France.

Le PMI de la France est autour de 48, dans la zone de recul de l'activité, contre 54 en Allemagne, 50 en Espagne, 51 en Italie. L'enquête sur les commandes de biens d'équipement est à - 54 en France, contre - 30 environ en Espagne et en Italie, - 12 en Allemagne. Les exportations en volume sont en croissance légèrement négative en France sur un an au troisième trimestre 2013, la confiance des ménages reste très faible, etc.

L'extrême pessimisme des entreprises

Peut-on comprendre que la croissance resterait négative en France en 2014 alors qu'elle serait nettement positive en Allemagne (1,5 % environ), un peu positive en Espagne et même en Italie?

D'une part, il ne faut pas compter sur une reprise forte du commerce mondial, donc sur une croissance tirée par les exportations. Les pays où l'économie repart (États-Unis, Royaume-Uni, Japon, Chine) ont des croissances tirées par les services, par la construction : ce sont des modèles de croissance très domestiques, ne générant pas d'importations supplémentaires, donc de reprise du commerce mondial. Mais cela vaut pour tous les pays, sauf pour ceux qui gagnent rapidement des parts de marché à l'exportation comme l'Espagne. Ce qui est particulier à la France est l'extrême pessimisme des entreprises, qui conduit au recul des investissements et de l'emploi. On peut l'attribuer à de multiples causes connues : d'abord à la faiblesse de la profitabilité et de la rentabilité du capital, d'où la fragilité financière et la faible incitation à investir ; la rentabilité du capital physique (des équipements, des bâtiments, pas du capital financier) est inférieure à 7 % en France contre 12 % en moyenne dans les pays de l'OCDE.

Ensuite, au niveau très élevé de la pression fiscale sur les entreprises en France (qui représente 17,5 % du produit intérieur brut, contre 15,5 % en Italie, 11,5 % en Espagne, 10 % en Allemagne) et surtout l'incertitude sur la fiscalité et les réglementations. Le Parlement français multiplie les modifications des règles fiscales, et l'annonce par le Premier ministre d'une réflexion, durant probablement plusieurs années, sur la remise à plat de la fiscalité a encore accru cette incertitude. L'incertitude réglementaire et fiscale contribue aussi à expliquer le recul important de l'activité de construction résidentielle en France, avec des mises en chantier à 320 000 en un an, plus basses encore (280 000 probablement) l'année prochaine, contre 450 000 avant la crise.

Un risque majeur sur les taux d'intérêt

Que se passera-t-il si la France est en réalité en récession et non en croissance proche de 1 % en 2014 ?

Le premier risque est que cela attirera l'attention des investisseurs non résidents. Si la France est le seul pays de la zone euro à ne pas connaître de reprise économique en 2014, il est improbable que ces investisseurs continuent à prêter à l'État français à un taux d'intérêt seulement supérieur de 45 points de base (0,45 %) au taux d'intérêt payé par l'État allemand.

Le second risque est qu'une récession en 2014 empêcherait toute amélioration des finances publiques. On attend un déficit public légèrement inférieur à 4 % du produit intérieur brut en 2014 avec une croissance voisine de 1 % ; si la vraie croissance est de l'ordre de -1/2 %, le déficit public remonterait vers 4,5 % du PIB. Le risque le pire est enfin évidemment que si la croissance était par exemple de - 1/2 %, avec des gains de productivité de l'ordre de 0,7 % sur l'année, l'emploi dans les entreprises reculerait de 1,2 %, le nombre de chômeurs augmenterait de plus de 200 000 durant l'année 2014, et la situation politique et sociale serait évidemment très compliquée. http://www.lepoint.fr/invites-du-point/ ... 1_1448.php


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