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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 05 Déc 2013 22:16 
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Oulan repart en guerre

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ALERTE - Hollande annonce une action militaire immédiate de la France en Centrafrique



(©AFP / 05 décembre 2013 19h21)


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 00:27 
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silvermath a écrit:
ALERTE - Hollande annonce une action militaire immédiate de la France en Centrafrique


c'est Ramby II :P le I c'était au Mali :)

RIP Nelson Mandela :(

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"si vous voyez un banquier suisse sauter par la fenêtre, sautez derrière lui, il y a de l'argent à gagner"


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 09:55 
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Inscrit le: 18 Oct 2008 17:55
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Nulle part où aller
Par James Howard Kunstler - Kunstler.com

Les ampoules et guirlandes financières sont allumées partout, comme si nous étions en pleine Happy Hour dans la salle des grands gagnants de la loterie. Il semblerait que l’économie Américaine – plus particulièrement la division de la gestion de capital – ait découvert la source d’énergie alternative que l’on espérait plus sous la forme de la connerie. Elle alimente toutes les conversations en ligne et les mégaphones des médias grand public séniles. Un analyste technique, le célèbre Ralph Acampora, de chez Altaire Wealth Management, a même dit cette semaine que les Etats-Unis seraient ‘énergiquement indépendants dès 2016’. C’est beaucoup dire. Ils n’auraient besoin que de produire 8,5 millions de barils de pétrole par jour, ou de cesser de conduire.

La Réserve Fédérale ne ferait donc pas qu’arroser les marchés de liquidités, mais aurait aussi transformé Manhattan en la plus grosse pipe de crack du monde. Et nombreux sont les professionnels du secteur financier qui continuent de dire qu’il ne peut pas y avoir de bulle parce que c’est la seule chose dont on entend parler, et que les bulles ne se produisent que quand personne ne s’en rend compte…

Ce n'est simplement pas vrai. Beaucoup de gens ont pointé du doigt la bulle sur l’immobilier plusieurs années avant qu’elle ne fasse exploser le système bancaire, y compris moi dans mon livre publié en 2005 (The Long Emergency). La raison pour laquelle il existe une telle anxiété au sujet de la bulle actuelle est qu’elle est exposée au regard de tous, et que quand elle explosera, elle laissera bien plus de débris sur le sol que la précédente – la ruine de la confiance en les instruments financiers, par exemple, qui se trouveraient être une innovation financière historique. Puisque les interventions et la manipulation des marchés et des taux d’intérêts sont parfaitement évidents, il nous faut conclure que la foi en la malhonnêteté de la finance est désormais complètement solidifiée. Les marchés ont comptabilisé leur propre malhonnêteté.

L’histoire que l’on entend partout ces jours-cis est celle du renouveau de l’économie industrielle aux Etats-Unis et de la reprise du marché de l’immobilier. On nous dit que (selon Meredith Whitney), le ‘couloir central’ de la nation (depuis el Texas jusqu’au Minnesota) est le retour en force à la manière du Japon des années 1960, que les Etats-Unis ont plus de pétrole qu’ils ne puissent en rêver, qu’ils ont généré une super-race d’entrepreneurs intrépides et amateurs de risques, et qu’ils sont la chemise la plus propre dans le panier à linge de notre bonne vieille planète.

Un amas de conneries bien entendu, qui se consume lentement dans la pipe de la Fed.

Voici ce qui se passe réellement. La Réserve Fédérale ne peut que prétendre avoir une opinion dans le même temps qu’elle farcit Wall Street de monnaie comme s'il s'agissait d’une dinde de Noël avec la maladie de Crohn. Ce qui est fourré dans cette pauvre dinde est une substance toxique appelée mal-investissement, qui transforme l’énergie de la société en des activités qui ne produisent aucune valeur, comme des bonus d’employés de hedge funds, des opérations de la NSA, des voitures Tesla, des tours Frank Gehry, des drones qui viennent déranger les fêtes de mariage Afghanes, des séances photos pour Obama, des enchères de peintures à l’huile et entre autres la nouvelle collection de mode de Jay-Z.

La Fed parle de mettre fin au programme de quantitative easing mis, ou d’achat d’obligations, en place par l’Open Market Committee (FOMC). Sa propagande est surnommée ‘stratégie directrice’ pour donner une apparence de rectitude et de sérieux, mais elle n’est en réalité rien de plus qu’un film de Jerry Lewis des années 1960 – une singerie. On parle de diminution des achats d’obligations de la Fed, qui s’élèvent aujourd’hui à 85 milliards de dollars par mois. Un jour viendra, la Fed viendra nous annoncer une réduction de quantitative easing de 10 millions de dollars par mois, et les taux d’intérêts sur les obligations sur dix ans flamberont au-delà des 3% et menaceront le gouvernement de banqueroute – gouvernement qui n’a pas les moyens de payer de tels intérêts sur ses emprunts. Les marchés écraseront les devises papier. La Fed prendra peur à mesure que l’odeur de dépression déflationniste se répandra et recommencera de plus belle à farcir sa dinde.

La conséquence en sera la combinaison d’une perte de confiance totale envers la devise papier et les actifs, d’une perte de confiance totale envers les banques qui sont tout juste assez solvables pour faire des affaires les unes avec les autres, et d’une implosion de Wall Street et des institutions qui l’entourent, jusqu’à la branche exécutive du gouvernement fédéral. Et l’économie qui y est attachée se retrouvera seule dans le froid et les ténèbres, pleurnichant le nom de sa maman.
http://www.24hgold.com/francais/actuali ... tler.&mk=2


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 09:59 
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La Chine, le prix de l’or et le défaut des Etats-Unis
Par Jason Hamlin - Gold Stock Bull

L’article ci-dessous a été écrit par William Engdahl et publié pour la première fois sur RT.

Alors qu’une fracture profonde du Congrès menaçait de pousser le gouvernement des Etats-Unis à faire défaut de sa dette, le prix de l’or aurait dû s’envoler. Il a pourtant fait tout le contraire. Je trouve nécessaire de chercher à comprendre pourquoi.

Depuis le mois d’août 1971, alors que le président Richard Nixon prenait la décision unilatérale de dissoudre le traité de Bretton Woods de 1944 et de déclarer au reste du monde que le guichet de l’or de la Réserve Fédérale serait fermé pour une durée indéterminée, les banques de Wall Street et les pouvoirs financiers de la City de Londres ont fait tout leur possible pour empêcher l’or de devenir à nouveau la base de la confiance en une devise.

Le 11 octobre dernier, alors qu’il n’y avait aucun signe d’une réconciliation entre les membres du Congrès et la Maison Blanche susceptible de mettre fin à la fermeture temporaire du gouvernement, le Chicago CME Group, qui opère le COMEX – où sont échangés les contrats de produits dérivés sur l’or – a annoncé qu’à 8h42 heure de l’Est, les opérations de trading ont été suspendues pour une durée de 10 secondes après l’exécution d’un ordre de vente de contrats à terme sur l’or de 2 millions d’onces (56,7 millions de grammes).

Comme une odeur de pourriture sur le marché de l’or

La conséquence directe de cette importante vente d’or papier a été qu’au moment exact où l’éventualité d’un défaut par les Etats-Unis aurait pu pousser les investisseurs à chercher refuge sur l’or, le prix de ce dernier a perdu 30 dollars par once pour passer à un record à la baisse sur trois mois de 1259,60 dollars. Selon les insiders, la raison en est clairement une manipulation directe du marché.

David Govett, directeur des métaux précieux chez Marex Spectron, parle d’une vente suspicieuse.

‘Ce type d’opération devient de plus en plus prévalent et est selon moi soit l’œuvre de quelqu’un qui cherche à manipuler le marché ou de quelqu’un qui ne devrait certainement pas être autorisé à gérer de telles sommes de monnaie. Il y a des manières d’intégrer et de quitter un marché qui permettent des dommages minimes, et la personne à l’origine de cette vente n’avait nulle intention de les respecter’, a-t-il dit.

Art Cashin, trader chez UBS, partage cet avis.

‘… si cela ne s’était produit qu’une fois, on aurait pu croire à une erreur technologique. Mais lorsqu’un évènement comme celui-ci se produit cinq fois en seulement quelques mois, des questions commencent à se poser. Ces ventes sont-elles préméditées ? Quelqu’un essaie-t-il d’influencer le marché ?’

Et ce quelqu’un, selon de nombreuses sources, ne serait autre que la Maison Blanche d’Obama, en collaboration avec la réserve Fédérale et les banques de Wall Street qui seraient ruinées si l’or venait à grimper.

En mars 1988, cinq mois après le plus gros effondrement du larché des actions de l’histoire, le président Ronald Reagan a signé l’Order Exécutif 12631, donnant ainsi naissance à un Groupe de Travail pour les Marchés Financiers, connu à Wall Street comme l’équipe de protection contre l’effondrement’, dont le travail était de prévenir toute panique ou chute de prix sur le marché financier.

Ce groupe est dirigé par le Secrétaire du Trésor et inclue le directeur de la réserve Fédérale, le directeur de la Commission des Valeurs Mobilières et des Marchés, et le directeur de la CTFC, qui est responsable du suivi du négoce de produits dérivés sur les marchés.

A de nombreuses reprises depuis 1988, des rapports ont été publiés au sujet d’interventions menées par le Groupe de Travail pour les Marchés Financiers dans le but de prévenir une vente panique qui pourrait menacer le rôle du dollar. George Stephanopoulos, membre de la Maison Blanche sous Clinton, a admis en 2006 que de telles interventions ont été orchestrées en sous Bill Clinton 1998 lors de la crise Russie/LTCM, puis après les attaques terroristes de 2001.

Il a déclaré que ‘les grosses banques ont un accord informel qui les force à intervenir et à acheter des actions si un problème fait surface’.

Et les actions ne sont clairement pas les seules choses que le gouvernement manipule. L’or bénéficie aujourd’hui de son attention toute particulière. Le prix de l’or– depuis l’éruption de la dotcom en 2000 – a explosé au cours de ces récentes années pour passer de 3003 dollars par once à plus de 1900 dollars par once en août 2011. Entre décembre 2008 et juin 2011, après l’effondrement de Lehman Brothers et le commencement de la crise Grecque, le prix de l’or a gagné 70%.

Depuis lors, sans raison apparente, la tendance s’est renversée et le prix de l’or a perdu plus de 31%, ce malgré l’éventualité d’une attaque de l’Iran par Israël, d’une crise financière des deux côtés de l’Atlantique et du défaut potentiel du gouvernement des Etats-Unis.

Le 10 avril dernier, les directeurs des cinq plus grosses banques, les Dieux Monétaires de Wall Street – JPMorgan Chase, Goldman Sachs, Bank of America et Citigroup – ont demandé à ce que soit tenu une réunion à huis clos avec Obama à la Maison Blanche. Quinze jours plus tard, le 25 avril, a eu lieu le plus important effondrement intra journalier du prix de l’or de l’Histoire. Des enquêtes menées plus tard sur le COMEX ont prouvé qu’une banque, JPMorgan Securities, se trouve derrière l’importante vente de produits dérivés à l’origine de cet effondrement. Les produits dérivés sont des coupons de papier ou des paris sur un prix de l’or futur. Les contrats à terme sur l’or sont bien moins chers que l’or lui-même, mais en influencent le prix réel, notamment parce que le Congrès, sous l’influence de Wall Street, ne régule plus le marché des produits dérivés de l’or depuis 2000. Il semblerait que le Groupe de Travail du Président ait à nouveau récemment été à l’œuvre.

La Chine garde le sourire et continue d’acheter

Une guerre, ou une guerre financière, est en route avec d’un côté les grosses banques de Wall Street et leurs alliées que sont les banques de Londres et la Deutsche Bank, et qui ont recours au trading d’or papier sur le COMEX, qui supporte la Fed et le Trésor. En face d’elles se tiennent les investisseurs et les autres banques centrales qui pensent que le monde financier global, et notamment le système centré sur le dollar, touche à sa fin et que l’or est le meilleur pari qui soit en situation de crise.

Les récents achats d'or par les banques centrales de Russie, de Turquie et de la Chine sont notables. La manipulation de court terme des marchés de produits dérivés par JPMorgan et Goldman Sachs font sourire les membres des banques centrales Russe et Chinoise. Depuis 2006, la banque centrale Russe a augmenté ses réserves d’or de 300%.

La banque centrale Chinoise vient tout juste de révéler que la Chine a importé 131 tonnes d’or en août, soit une hausse de 146% sur un an. Le mois d’août 2013 représente le deuxième record d’importation d’or mensuel de l’Histoire. Plus important encore, la Chine a importé plus de 2000 tonnes d’or au cours de ces deux dernières années. Selon un câble de 2011 rendu public par WikiLeaks, la Banque Populaire de Chine tente de faire du renminbi une devise de réserve soutenue par l’or.

Selon des calculs non-officiels, la banque Populaire de Chine détiendrait aujourd’hui 3500 tonnes d’or monétaire et aurait donc des réserves d’or supérieures à celles de l’Allemagne.

Des doutes persistent également pour ce qui concerne les supposées 8044 tonnes d’or de la Réserve Fédérale. L’ancien directeur du FMI, Dominique Strauss-Kahn, a demandé un audit indépendant de la Fed après que les Etats-Unis ont refusé de livrer un total de 191 tonnes d’or au FMI comme le stipulait l’Accord du FMI signé en avril 1978 qui visait à supporter l’émission de droits de tirage spéciaux. Tout de suite après, avant même de pouvoir rentrer à Paris, il s’est trouvé plongé dans un étrange scandale sexuel et a été forcé de démissionner. Strauss-Kahn avait également reçu un rapport secret à l’attention de Vladimir Poutine dans lequel les agents de la CIA ont révélé que la Réserve Fédérale n’a plus du tout d’or.

La manipulation du prix de l’or par Washington et Wall Street est évidente. Si le prix de l’or passait à 10.000 dollars ou plus, nous assisterions à une vente panique des détenteurs de dollars et d’obligations Américaines. La Chine détient un record de 3,7 trillions de dollars de réserves étrangères, dont la moitié consiste en des obligations Américaines.

Cette vente porterait les intérêts à un niveau extrêmement élevé aux Etats-Unis, ce qui forcerait une réaction en chaîne de banqueroutes individuelles et d’entreprises qui ont a évitée tant bien que mal depuis le début de la crise en 2007. Elle représenterait la fin des Etats-Unis comme superpuissance mondiale. Il n’est pas surprenant que l’administration Obama manipule l’or.
http://www.24hgold.com/francais/actuali ... mlin.&mk=2


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 10:16 
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Retraites des professions libérales : l’État convoite la caisse
par Thierry Benne

Le gouvernement pousse sans ménagement pour modifier la gouvernance des régimes de retraite des professions libérales, avec notamment une tentative de contrôle sur la désignation du directeur de la CNAVPL (Régime de base) nommé à ce jour par le Conseil d’administration. Ce regain d’intérêt est curieux car les retraites des professions libérales regroupées - à l’exception des avocats - sous l’égide de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales (CNVAPL) n’avaient pas été évoquées, ni en mars 2013 au moment de la réforme du régime complémentaire des salariés (ARRCO/AGIRC), ni tout au long de la préparation de la mini-réforme des retraites décidée par le gouvernement en juillet 2013. Ce nouvel intérêt de l’Etat vis-à-vis des caisses de retraite des professions libérales est-il dirigé vers les 20 milliards d’euros de réserves accumulées par la caisse ?
source


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 10:27 
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Platinium a écrit:
Nulle part où aller
Par James Howard Kunstler - Kunstler.com

Il semblerait que l’économie Américaine – plus particulièrement la division de la gestion de capital – ait découvert la source d’énergie alternative que l’on espérait plus sous la forme de la connerie. (...)
La Réserve Fédérale ne ferait donc pas qu’arroser les marchés de liquidités, mais aurait aussi transformé Manhattan en la plus grosse pipe de crack du monde.


Excellent, ce texte, ça balance fort !

Pour ceux qui voudraient la VO, on peut lire ce texte du 25/11/13 ici : http://kunstler.com/clusterfuck-nation/ ... ace-to-go/

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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 10:48 
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L’Europe a faim. C’est une enquête réalisée en Grande-Bretagne qui vient rappeler que la crise est toujours bien présente dans de nombreux pays. Une lettre envoyée la semaine dernière au «British Medical Journal» par une association de médecins fait état de l’accroissement alarmant du nombre de personnes hospitalisées pour malnutrition: elles étaient 5400 l’an dernier, soit presque deux fois plus qu’en 2008 quand la crise des subprimes a frappé le Royaume-Uni et ses 60 millions de sujets.

Pour ces médecins, ces chiffres ne sont qu’indicatifs. La véritable mesure de la pauvreté se fait par le recensement des personnes ayant besoin d’une aide alimentaire. Elles ont été plus de 347 000 en 2012, contre 26 000 en 2008 (les chiffres de l’année actuelle ne sont pas encore connus). La faute en incombe à la crise, certes. Mais la politique de rigueur budgétaire qui l’accompagne est tout autant responsable de la hausse du chômage et de la baisse des revenus.

Certains habitants n’ont simplement plus les moyens de s’alimenter convenablement, dénoncent les organisations caritatives. Signe inquiétant, de plus en plus d’enfants se retrouvent précarisés. Les statistiques disponibles ne précisent pas combien ils sont, mais la presse a rapporté des témoignages de parents reconnaissant qu’ils n’ont plus les moyens de garantir à leur progéniture trois repas complets par jour.

Ces familles sont facilement repérables, il suffit de se rendre dans certains quartiers des grandes villes, où en périphérie où elles s’entassent dans des roulottes, faute d’appartements à la portée de leur porte-monnaie. «C’est horrible de voir des enfants sous-alimentés, car cela risque d’affecter leur développement et d’affaiblir leurs organes, tel le cœur, pour le restant de leur vie», estime le Dr David Taylor-Robinson, à l’origine de la lettre publiée lundi.

D’autres pays européens paient un lourd tribut à la crise.

GRÈCE Le pays le plus touché

La Fédération internationale des Croix-Rouge rappelle dans une étude publiée en novembre que la Grèce a été le pays le plus touché par la crise dans l’Union européenne. L’insécurité alimentaire dans certaines régions dépasse 60% de la population, mais on n’a pas de chiffres pour l’ensemble du pays ayant le taux de chômage le plus élevé de l’UE, avec 27%.

ESPAGNE Cantines scolaires ouvertes même pendant les vacances

En Espagne, près de 22% des 47 millions d’habitants vivent actuellement sous le seuil de pauvreté. Dans un rapport, l’association caritative catholique Caritas précise avoir nourri, l’année passée, près d’un million d’Espagnols affamés, soit deux fois plus qu’en 2008. Quant à la Croix-Rouge, elle révèle avoir distribué de l’aide alimentaire à 1,2 million d’habitants en 2012 contre 0,5 million en 2009. Les gens qui fouillent les poubelles sont tellement nombreux que celles de certains supermarchés sont fermées à clé pour éviter que les déchets soient ensuite éparpillés. Le pays a aussi été choqué d’apprendre que des dizaines d’écoles sont restées ouvertes durant les vacances d’été afin que des milliers d’enfants puissent recevoir au moins un repas complet quotidiennement à la cantine scolaire.

ITALIE La Croix-Rouge sur les dents

Parmi les pays où la sécurité alimentaire est la plus menacée, on trouve aussi la Péninsule. Avant 2012, la Croix-Rouge italienne ne distribuait pas d’aide alimentaire, mais, cette année-là, elle a dû nourrir plus de 378 000 habitants, et les chiffres de 2013 risquent d’être pires encore, en raison du chômage qui ne cesse d’augmenter.

AUTRICHE Des migrants affamés

Certains pays riches ne sont pas non plus épargnés. Par exemple, l’Autriche, où la Croix-Rouge a alimenté 150 000 personnes l’an dernier, contre 7500 en 2009. Ce ne sont toutefois pas les Autrichiens qui forment la majorité des démunis du pays, mais les migrants qui y viennent dans l’espoir de trouver un emploi.

FRANCE Les Restos du Cœur

En France, plus de 9 millions de personnes vivent au-dessous du seuil de pauvreté dont 4 millions viennent chercher de l’aide auprès des associations d’aide alimentaire, parmi lesquelles les Restos du Cœur.  

http://www.lematin.ch/monde/famine-touc ... y/20202354


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 11:19 
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« Le Black Friday fut bien un jour noir !… »

Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

Pour tout vous dire, je ne me lasse pas de ces dizaines de vidéos de part le monde, aussi bien en France qu’aux États-Unis, de ces foules de zombies lobotomisés à la consommation de masse, croyant trouver un bonheur de moins en moins durable dans des actes d’achats de plus en plus nombreux pour s’empiffrer de choses parfaitement inutiles, que plus généralement achetées à crédit avec de l’argent qu’ils n’ont pas, fabriquées par des petits chinois low cost (les mettant au chômage) dans le mépris le plus total du respect de la dignité humaine, le tout en plus très cher, histoire d’enrichir au passage quelques grandes multinationales dont la seule raison d’exister est de fournir à quelques très riches milliardaires constituant la caste dominante de cette planète les 20 % de profits supplémentaires chaque année.

Alors notre foule de zombies internationale se rue, se précipite sous les volets roulants métalliques à peine remontés afin de se jeter en premier sur l’objet tant convoité, dont les industriels et leurs services marketing organisent savamment la pénurie afin de renforcer cette sensation de manque, ce qui débouche inévitablement sur des scènes de quasi-émeutes commerciales où deux crétins aussi stupides l’un que l’autre sont prêts à entre-tuer pour avoir avant l’autre la dernière console xyz123 de chez bidule avec l’ultime jeu le plus violent histoire de se détendre sans doute après cette séance bien réelle de pugilat collectif.

Donc oui, moi qui déteste aller faire du « shopping », me retrouver dans les temples modernes (de la consommation) pour la prière collective du samedi après-midi à 15 heures en faisant la course entre les rayons pour faire des courses et en slalomant avec des Caddies de plus en plus gros (histoire qu’ils nous semblent de moins en moins pleins), je reste dubitatif que tout cela fonctionne. Je suis perplexe, incrédule face à de tels phénomènes de foule et pourtant j’ai beau connaître par cœur la théorie sur l’évolution de l’intelligence collective d’une foule par rapport à sa taille, je n’en reste pas moins sidéré.

Dire qu’il suffirait que nous arrêtions juste d’acheter tout ce qui est superflu pour que ce système infernal s’arrête de lui-même. Remarquez, en Grèce, c’est déjà le cas. Et lueur d’espoir au bout du tunnel, figurez-vous que plus le chômage (officiel) baisse aux USA… plus les consommateurs consomment de façon négative. Il y a outre-Atlantique désormais une croissance négative de la consommation, phénomène sans doute lié à la croissance qui accélère et à l’emploi qui fait des bons de cabri !
C’est un article du très sérieux New York Times qui titre : « Gloomy Numbers for Holiday Shopping’s Big Weekend » !

Cela fait vachement bien en anglais, en français ça pourrait donner une traduction approximative du style : « Gros week-end de merde, on a vendu vachement moins que prévu de i-bidules à tous ces cons sans pognon. » Je le reconnais, c’est plus une interprétation qu’une traduction littérale mais globalement, le sens y est.

Il n’y a pas à dire, au New York Times ils savent écrire :

« C’était une journée froide et claire à Leesburg, en Virginie, et un garde de sécurité dans un centre commercial a indiqué que la foule de milieu de matinée était semblable à celle d’un samedi typique et traditionnel. »

Comme chacun sait, Ben Bernanke le barbu de la FED écoute avec attention l’avis du vigile du Wall Mart américain (l’équivalent de Carrefour mais en version US donc c’est forcément encore plus gros). Et quand un vigile (qui a encore du boulot) constate qu’il n’y a pas foule, c’est un mauvais signe. Un très mauvais signe pour la croissance américaine (qui, je le répète, est de plus en plus forte, elle a même été révisée en hausse).

« Mais ce n’était pas un jour ordinaire. C’était LE Vendredi Noir, traditionnellement la plus grande journée de shopping de l’année… » Et c’est ainsi que le Black Friday (où tout est fermé sauf les temples de la consommation pour que tout le monde puisse aller prier avec sa carte bleue, Sainte Mère du porte-monnaie, priez pour nous et nos achats, maintenant et à l’heure de notre passage en caisse, Amen).

Un peu de culture américaine, après Halloween, Thanksgiving, qui peut se traduire par « le jour de l’action de grâce ». Ne me demandez pas le rapport entre une action de grâce spirituelle et un acte d’achat compulsif. En plus, ce jour-là est considéré comme le coup d’envoi de la saison des achats de fin d’année.

Or tenez-vous bien, ces « enfoirés » de consommateurs, il n’y a pas d’autres mots, ont dépensé presque 4 % de moins que l’année d’avant, ce qui fait tout de même presque deux milliards de dollars en moins dans les pôches du grand capital… Et ce n’est évidemment pas bon pour le « bizness » ni pour les bénefs car cette saison des fêtes représente tout de même de 20 à 40 % des ventes annuelles de tous les magasins importateurs de chômage, pardon de containers entiers de chinoiseries et le week-end de leur « action de grâce consumériste » environ 10 à 15 % de ce total. Rater le Black Friday c’est comme rater la saison des fêtes et c’est pas bon, mais alors pas bon du tout.

Vous pourrez même apprendre en lisant entièrement cet article que certains Américains n’aiment plus du tout faire les courses dans la cohue… Comme je les comprends.
Récapitulons :

1/ Ils n’ont plus beaucoup de sous tellement la croissance économique est forte.
2/ Ils n’ont plus envie d’aller se faire bousculer, faire ses courses devenant presque dangereux.
3/ Ils peuvent commander par Internet (bien que la hausse ne soit que de 1 % pour le commerce en ligne).

Eh bien voilà de bien bonnes nouvelles. Même Wall Mart (le Carrefour local) a fait des avertissements sur profits (« profit warning » in english) ce qui veut dire qu’ils ne vont pas gagner autant de fric que prévu, ce qui aura pour conséquence naturelle l’augmentation de l’action Wall Mart à Wall Street, vu que moins c’est bon, plus c’est meilleur en vertu de la novlangue et des néo-raisonnements en vigueur dans le monde occidental.

Moins c’est bon, plus les banques centrales donnent de l’argent gratuit, plus c’est meilleur. Je suis contraint de reconnaître qu’en terme de théorie économique un tel principe ne vaut pas un clou… mais que voulez-vous, les marchés peuvent se tromper plus longtemps que vous ne pouvez rester solvables, raison pour laquelle ils ont toujours raison, même quand ils ont tort.

Vous l’aurez compris il n’y a que dans la vie des statisticiens des mamamouchis qu’il y a croissance ou reprise, ou encore « dynamique » économique. Pour tous les autres, les vrais gens de la vraie vie, il n’y a que plans sociaux successifs, chômage endémique et massif, surendettement des ménages, baisse du pouvoir d’achat, et au bout du chemin une disette moderne incarnée par l’impossibilité de consommer et « d’exister » par l’acte d’achat (ce qui est très dur pour beaucoup).
Pendant ce temps, les taux poursuivent leur montée dans le plus grand des silences

Le 10 ans français est en hausse de 1,58 % à 2,44 % et le 10 ans américain de 0,74 % à 2,86 %. Je vous répète encore une fois de conserver un œil très attentif à ces deux indicateurs de taux. Une catastrophe majeure, une secousse violente sur les marchés boursiers peuvent être un peu anticipées en surveillant l’évolution des taux d’emprunt à 10 ans des grands États.

Enfin, c’est très important de le signaler aujourd’hui, le plus mauvais score est à attribuer à l’Allemagne dont les taux montent de 2,59 % et le 10 ans allemand s’établi à 1,86 % tout de même très loin des taux français.

C’est le marché obligataire qui commande aux flux financiers, et également aux flux de monnaies et qui contribuent grandement aux variations de taux de change. Tous les taux à 10 ans des pays les plus favorisés se rapprochent donc dangereusement de leurs plus hauts, ce qui explique en grande partie la fragilité qui vient de saisir les Bourses mondiales et en particulier française.

Restez à l’écoute.

À demain… si vous le voulez-bien !!

Charles SANNAT
Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Le Contrarien Matin est un quotidien de décryptage sans concession de l’actualité économique édité par la société un site de gardiennage.com. Article écrit par Charles SANNAT, directeur des études économiques. Merci de visiter notre site. Vous pouvez vous abonner gratuitement www.lecontrarien.com.


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 11:21 
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La Chine met en garde contre l’utilisation du bitcoin
BEIJING, 5 décembre – Les institutions financières et de paiement de la Chine ne doivent pas accepter le bitcoin comme monnaie légale, ont déclaré jeudi les autorités chinoises, mettant en garde contre les risques liés à cette monnaie électronique.

L’avertissement a été donné dans une circulaire publiée conjointement par la Banque populaire de Chine (banque centrale), le ministère de l’Industrie et des Technologies de l’information, la Commission de Supervision bancaire de Chine, la Commission de Contrôle boursier de Chine et la Commission de Contrôle des Assurances de Chine.

Cet avertissement est destiné à protéger les droits de propriété du public, à sauvegarder le statut du renminbi (yuan) comme monnaie légale, à prévenir le blanchiment d’argent et à maintenir la stabilité financière en Chine.

Selon la circulaire, le bitcoin n’est émis par aucune autorité monétaire et ne possède pas les fonctions d’une monnaie légale par décret gouvernemental. Il n’a pas de statut légal comme les monnaies légales et ne peut donc pas circuler sur le marché.

Cependant, la circulaire reconnaît que les Chinois peuvent faire des transactions en bitcoin sur Internet à leurs risques et périls.

La circulaire interdit aux institutions financières et de paiement de tarifer leurs produits ou services en bitcoin, de s’engager dans des transactions impliquant le bitcoin, et d’accepter des assurances liées au bitcoin.

Les plates-formes en ligne de transactions en bitcoin doivent s’inscrire auprès du régulateur chinois de l’industrie des télécommunications conformément aux lois.

La Banque centrale chinoise continuera à surveiller les activités impliquant le bitcoin et les risques qui y sont liés.

Le bitcoin, stocké dans un portefeuille virtuel, peut passer d’une personne à une autre en secret dans le monde entier, et les utilisateurs restent anonymes. Le bitcoin contourne les banques et les régulateurs bancaires du monde entier.

Les Chinois ont commencé à s’intéresser à cette monnaie virtuelle en avril, quand la One Foundation de la star Jet Li a reçu des dons sous forme de plusieurs centaines de bitcoins pour les secours après le séisme dans la province du Sichuan.

Le bitcoin a connu un autre cycle de flambée des prix dans le monde entier cette semaine, la valeur d’un bitcoin s’étant montée à 1,117 dollars mercredi sur Mt. Gox, plate-forme de transactions en bitcoin la plus connue du monde.

Selon les estimations, 1,8 million de bitcoins ont été échangés en novembre sur BTC China, une plate-forme en ligne détenant le record du volume de transactions en bitcoin dans le monde entier.

Agence de Presse Xinhua


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 06 Déc 2013 11:32 
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Et si la France était attaquée...

JEAN-FRANÇOIS FILLIATRE

De plus en plus de conditions sont réunies pour que la dette de notre pays fasse l'objet d'attaques spéculatives. Quel en serait l'impact sur votre patrimoine ?

Les spéculateurs ne sont pas des fous ; ils ont des stratégies très étudiées et s'attaquent aux faibles. Or, la France est faible actuellement ! En témoigne la dégradation de sa notation par Standard & Poor's. Certes, on peut dire, comme Paul Krugman, prix Nobel d'économie en 2008, que la position de l'agence de notation est plus une affaire idéologique que le reflet d'une analyse économique. Il n'empêche, deux dégradations en deux ans, cela fait beaucoup ! A l'évidence, les agences de notation ont la France dans le nez. Les spéculateurs le savent.

La Commission européenne aussi a notre pays dans la ligne de mire. Certes, elle valide les prévisions gouvernementales sur la croissance, mais pas celles sur les déficits. Sur 2015, l'écart est colossal, avec un déficit escompté à 2,9 % du produit intérieur brut selon le Gouvernement, et à 3,7 % selon Bruxelles. L'exécutif européen ne croit pas aux réformes structurelles du Gouvernement.

La faible popularité de l'exécutif est tout aussi défavorable, tout comme certains éléments techniques. En particulier, le taux de détention de notre dette. Savez-vous quel est le pays le plus endetté au monde ? Le Japon avec un ratio dettes / PIB nettement supérieur à 200 %. Mais pourquoi n'en parle-t-on pas ? Parce que les Japonais financent leur dette eux-mêmes. Ils sont indépendants vis-à-vis de l'extérieur. Et nous ? Difficulté supplémentaire : notre dette est aujourd'hui détenue aux deux tiers par des investisseurs étrangers, contre un tiers il y a vingt ans. D'où une plus grande vulnérabilité.

Au passage, levons l'illusion de l'assurance vie. Seul un quart des encours de ce placement servent à financer la dette de l'Etat. Soit, à la louche, 300 milliards d'euros ! A titre de comparaison, en 2014, sur une seule année, l'Etat lèvera sur les marchés 174 milliards. Sans oublier que, visiblement, avec le lancement de l'Euro-Croissance et du contrat vie génération, l'objectif macroéconomique de l'assurance vie n'est plus de financer le déficit de l'Etat !

Quelles sont les objections à ce scénario ? On peut avancer que la France est un plus gros morceau que la Grèce ou l'Italie ! Et, surtout, qu'une telle attaque serait très politique. Car attaquer la France demain, c'est remettre en cause l'euro. Mais, pour mémoire, ce ne serait pas une première. En 1992, alors que le traité de Maastricht avait été ratifié et que tout semblait sur les rails, les devises européennes avaient été violemment agressées. Et la France avait alors été sauvée par l'Allemagne.

A l'heure où d'aucuns tombent dans un optimisme béat, renforcés par la décision de la Banque centrale européenne de baisser ses taux directeurs, mieux vaut évaluer les risques potentiels. Il n'est pas question de dire que la France sera attaquée, mais qu'elle peut l'être.

Dans ce cas, les taux longs pourraient remonter de deux points, ce qui aurait un impact très négatif sur les comptes des assureurs et des banquiers. Avec une baisse sensible de leurs titres. L'assurance vie serait protégée sauf à imaginer des retraits massifs supérieurs à 20 % des encours. Pour l'éviter, la législation permet d'ailleurs de réduire la liquidité du placement. Côté immobilier, ce serait la flambée des taux de crédits et la forte baisse des prix. Dans la situation actuelle, il convient donc d'être plus que vigilant. Car si le pire n'est pas sûr, il ne peut être exclu !

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