Le blog à Lupus



Tradosaure
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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 17:13 
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lampador a écrit:

Et çà fait baisser l'or: çà doit être normal... :evil: :evil:


ultime tentative de retarder l'inévitable

:mrgreen:

à lire les dernières interview de Richard RUSSEL

dans moins d'un an, il n'y aura plus de physique disponible

Citer:
Russell – Buy Gold And Silver While It’s Still Available As China To Back Yuan With Gold
January 14, 2015
Russell – Buy Gold And Silver While It’s Still Available As China To Back Yuan With Gold

With enormous volatility in global markets and crude oil rallying almost $3, today the Godfather of newsletter writers, 90-year old Richard Russell, covers everything from China moving to back the yuan with gold to a huge surprise for global stock markets. Russell also urges readers to buy physical gold and silver while they are still available.

Richard Russell: “In almost every orthodox study, the stock market is overbought and overpriced. For instance, the market’s price-to-sales ratio is at an all-time high. The market’s capitalization to GDP ratio (this is Warren Buffet’s favorite indicator) is the second highest in history. The Shiller Cyclically Adjusted PE (CAPE) Ratio for the S&P is 27. That level has been exceeded only twice before in history – in 1929 and 2000. In other words, by almost all orthodox valuations, the current market is dangerously overvalued and way overdue for a correction or a bear market. This is the orthodox way of looking at this market.

Typically, bull markets do not end with overvaluations. They end with emotional extremes. They end at valuations far above what analysts envision. By any accounting, this has been, so far, a great bull market. … The recent back and forth action of the major averages is, in my opinion, laying the groundwork for the coming third and final phase of this bull market. In the coming third phase, I expect all classical valuations to be ignored. I expect money from around the world to pour into the US markets.

Collapsing Commodities

As I write 50 minutes before the close, the Dow is down 232 and the Transports are down 113. This is far from the dreadful 10 percent correction that has been missing in this bull market. The collapse of commodities — oil, copper, and foodstuff — has served to bring about a period of hysterical fear. A 10 percent correction will take the Dow down to roughly 16,200. But so far, a decline of about 600 on the Dow has served to frighten many investors out of their minds and out of the stock market.

I believe what we are seeing now is the preamble of the third phase of this giant bull market. If I had to guess I’d say that the base of the coming third phase could last into June. Thus the bull market will test our patience as we wait for the inevitable third and final phase of the bull market.

Will the Dow complete the long lost 10 percent correction (down to 16,200) before the bull market slips into its final speculative phase? With Europe close to recession and China slumping, foreign money has been going into the US dollar and US stocks. And it’s no wonder, with the US dollar and US stocks comprising the only games in town.

China's Ascent And A Move To Back Yuan With Gold

I am particularly interested in China, whose GDP is about to take over the US’s GDP. This will make China’s economy the greatest economy the world has ever seen.

China does not want to rule the world. China simply wants to be on par with the US. To do this, China wants its currency to be as strong as or stronger than the US dollar. The world knows that there is nothing behind the US dollar of tangible value. China intends to back its currency, the Yuan with gold. If world commerce is transacted with gold-back Yuan, China will have won a tremendous victory. History show us that gold heads to the most powerful nation. That’s all the proof China needs to show that it’s on par with the United States. Happily, China is not a militaristic state. China wants a voice along with the US in matters that affect the world.

Buy Gold And Silver While It Is Still Available

Once again, I suggest that my subscribers buy gold while the metal is still available. When all fiat currencies are lost, gold will be the last man standing. Sooner or later I believe we will see a panic for physical gold. Just as gold was hated a year ago, it will be loved and wanted a year from now. Buy physical silver and gold while it’s available. Nothing is more loved than the item that was hated a few months ago. Remember, when we enter the new era, amazing discoveries and inventions will emerge. They will come from the United States, the land of the free and the home of the optimist.

Gold is trading well above its 1200 support level at 1206.80. I’m thinking that shortly it will be reintroduced into the world monetary system despite central banks' fear of gold. In the end it will be used to unite and as a basis for a fairer and a more productive world monetary system. Take the “L” out of gold and you have the word “God,” which I often thought of as more than coincidence.”


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 18:45 
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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 19:16 
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Grèce: un jeu complexe
3 février 2015- Par Jacques Sapir

Syrisa a remporté la victoire aux élections grecques le 25 janvier. Peu de temps s’est écoulé, et pourtant on peut commencer à prendre un certain recul devant l’événement. Après une semaine d’étonnement devant un gouvernement qui applique son programme (et qui tient ses promesse, ce qui change…), après avoir pris acte des premiers gestes politiques de l’équipe d’Alexis Tsipras (et de son nouveau ministe des finances), après avoir remisé la « Troïka », soit l’alliance du FMI, de la Banque Centrale Européenne et de la Commission Européenne, au rayon des accessoires surannés[1], il convient de s’interroger sur la stratégie de Syriza.

La stratégie de Syriza

Cette dernière tient en un point. Tsipras veut retrouver des marges de manœuvres budgétaires. Il a besoin pour cela de « récupérer » de 6 à 8 milliards d’euros, qui sont actuellement affectés au paiement des intérêts de la dette grecque. Il a besoin de cet argent pour mettre en place les mesures qui éviteront au peuple grec de périr. C’est une réalité tragique, et pourtant tout à fait évidente. Cette diminution de la charge des intérêts est nécessaire et permettra au gouvernement de mettre en place un programme de sorte de l’austérité. C’est pour cela que Syriza a fait de l’annulation partielle de la dette, ou à tout le moins d’un moratoire de 20 à trente ans sur les paiements une de ses priorités. On sait que, sur ce point, il est soutenu tant par des économistes – et non des moindres – que par le gouvernement américain. On sait aussi que les réserves de la Grèce sont insuffisantes pour permettre à ce pays de faire les paiements prévus au début de juillet. Au total, ce sont 23 milliards d’euros que la Grèce devrait verser. Dans la meseur ou Tsipras a réjeté la dernière tranche du plan d’aide prévue par la « troïka », cela signifie qu’un accord devra impérativement être trouvé avant cet été.

Mais, il va se heurter à un front très dur de pays emmenés par l’Allemagne. On sait que ce dernier pays, par la voix de la chancelière Angela Merkel, s’est fermement opposée à toute annulation des dettes. Cela laisse cependant ouverte la porte de la solution du moratoire. Il est clair que la discussion portera alors sur la nature, et la durée, de ce dernier. En fait, Alexis Tsipras voudrait lier la question de son pays à celle d’une révision générale des politiques d’austérité. Ce faisant, il heurte de plein fouet la politique allemande qui soutient que, hors de l’austérité, point de salut. Cela signifie que l’affrontement avec l’Allemage, et ses alliés, est inévitable. Quels que soient les artifices de langage, il est évident que dans cet affrontement, il y aura un vainqueur et un vaincu. Les enjeux sont d’importance paur Alexis Tsipras, mais aussi pour Angela Merkel. Si elle devait subir une défaite, plier devant la volonté des autres pays, c’est non seulement sa propre position politique qui serait dramatiquement affaiblie en Allemagne, mais la crédibilité de sa position qui en serait considérablement affectée. Ayant cédé sur ce point capital, quels arguments l’Allemagne pourrait elle faire valoir pour éviter que la zone Euro se tranforme peu à peu en une union de transferts ? Mais, si c’est Alexis Tsipras qui cède de manière décisive, il torpille son avenir politique, et celui de Syriza ; il laisse le champ libre à la droite la plus extrême.

Négociation et théorie des jeux.

Nous assistons actuellement à un jeu de bluff et de contre-bluff. Le duo Tsypras-Varoufakis (le ministre des Finances) joue à merveille de la partition « good cop / bad cop ». De même, Mme Angela Merkel joue à merveille la carte de la rigidité bougonne. Il est clair qu’il y a beaucoup de manège dans tout cela. Et il convient de savoir que la Théorie des Jeux, c’est justement l’un des points forts du ministre des Finances[2]. Varoufakis pense que l’on peut ramener la négociation actuelle à une version du « dilemme du prisonnier ». Mais, ce jeu peut dégénérer en une forme bien connue dans la Théorie des Jeux que l’on appelle « chicken » (poulette)[3]. Cette forme théorise une scène bien connue des cinéphiles (La Fureur de Vivre) ; deux automobilistes s’affrontent en roulant l’un vers l’autre. Le premier qui prend peur de la collision et dévie de sa trajectoire a perdu. Il devient la « poulette » (chicken). Si aucun ne flanche, les deux véhicules se percutent, et l’on a deux morts… Ce jeu, s’il n’est pas répété (et s’il n’y a pas d’apprentissage) et si un événement imprévu ne survient pas, n’admet qu’une victoire totale de l’un sur l’autre. En cela, il est très différent du dilemme du prisonnier, qui montre les intérêts d’une coopération implicite[4].

On voit bien comment, compte tenu des risques encourrus en cas de « faiblesse » dans cet affrontement, tant Tsipras que Merkel pourraient s’engager sur une trajectoire de collision, et aller jusqu’au bout. Le risque est donc très grand que la négociation n’aboutisse pas à une recherche du compromis mais au contraire renforce chacun dans sa volonté de ne pas fléchir.

Que signifierait une collision frontale dans le contexte de la Grèce ? Si nous avons un refus de l’Allemagne d’admettre que l’austérité ne fonctionne pas, refus motivé tant par des représentations idéologiques que par une certaine vision des intérêt de l’Allemagne, combiné à un refus de céder à la Grèce parce que c’est la Grèce (on se souvient des mots blessants sur les « cueilleurs d’olives »), et que du côté d’Athènes on se refuse de céder car l’on sait que cela signifie la fin de l’expérience de Syriza, l’idée de la collision frontale prend du sens. Dans ce cas, on ne trouve pas de solutions d’ici le mois de juillet et la Grèce doit faire défaut sur sa dette. La réaction de la BCE sera de couper le financement aux banques grecques, ce qui entraînera la décision du gouvernement grec à mobiliser la Banque Centrale grecque pour que le crédit ne soit pas coupé aux banques et, de fil en aiguille, la Grèce sortira de l’Euro.

Le discrédit ou la rupture

Dans ce jeu stratégique, il est clair que la Grèce à choisi délibérément une stratégie qualifiée par Thomas Schelling, l’un des fondateurs de la théorie des jeux, mais aussi de la théorie de la dissuasion nucléaire, de « coercive déficiency »[5]. En fait, le terme de « coercive deficiency » fut imaginé par L. Wilmerding en 1943 pour décrire une situation ou des agences engagent des dépenses sans financement préalable, sachant que moralement le gouvernement ne pourra pas refuser de les financer[6]. L’apport de Schelling consiste à avoir montré que l’on pouvait généraliser cette situation et qu’une situation de faiblesse pouvait s’avérer un instrument de contrainte sur autrui. Il montrait aussi comment il pouvait être rationnel pour un acteur se sachant d’emblée en position de faiblesse d’accroître cette dernière pour pouvoir en user dans une négociation. A l’inverse de Jack London, on peut parler ici d’une « force des faibles »[7]. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la renonciation par le gouvernement grec de la dernière tranche de l’aide promise par la « Troïka », soit 7 milliards d’Euros. Bien sur, rejetant la légitimité de la dite « Troïka », il ne pouvait logiquement accepter d’en bénéficier. Mais, plus subtilement, ce geste met la Grèce volontairement au bord du gouffre et indique à la fois sa résolution à aller jusqu’au bout (comme Cortez brûlant ses navires avant de monter sur Mexico) et accroît la pression sur l’Allemagne. Nous sommes ici en pleine « coercive deficiency ».
Les Etats-Unis en ont pris la mesure. On sait que Barack Obama a convoqué Angela Merkel à Washington pour le 9 février[8]. Au menu de cette rencontre, il y aura bien entendu le problème grec. Notons que cela montre l’engagement constant dans des Etats-Unis dans les affaires européennes. Tous ceux qui braillent que l’Euro devait nous donner une indépendance par rapport au Dollar feraient bien de méditer sur le sens de cette rencontre. La politique « européenne » se décide largement à Washington. C’est par ailleurs fort logique car l’Euro est la dernière ligne de défense du Dollar. Qu’il disparaisse et le Dollar sera nu face à la spéculation monétaire internationale.

Il est donc possible qu’Angela Merkel soit contrainte de céder. Mais, si elle le fait, elle engage un processus où elle perd toute maîtrise de la situation, tant en Europe qu’en Allemagne. En Europe, le fait de céder à la Grèce suscitera immédiatement de nouvelles demande. La crédibilité de la position allemande sera détruite, et l’Allemagne acculée à de nouvelles concessions qui feront immanquablement monter le coût de sa contribution à l’Europe. Cela marquera l’entrée dans la fameuse « Union de transferts » qui est le cauchemar d’une grande partie des dirigeants allemands. Mais, en Allemagne même, Angela Merkel perdra le bénéfice de sa position « dure » et sera soumise à de multiples pressions venant tant de son électorat que de ses alliés politiques, et ceic sans compter sur le parti anti-Euro AfD en embuscade. Elle n’a donc le choix qu’entre le discrédit, interne et externe, et la rupture.

Le début de la fin ?

Ce contexte est, bien entendu, largement suivi dans les autres pays. Les autorités françaises se rêvent en grand médiateur dans ce conflit annoncé. Mais, nous ne sommes pas à un congrès du PS. Il ne peut y avoir de « synthèse » entre des intérêts clairement opposés. La position de la France se trouve prise en otage de la croyance religieuse dans l’Euro qui unit une partie de notre élite politique. Il est clair que dans la tentative désespérée de trouver une « synthèse », François Hollande va achever de se discréditer. Il est d’ailleurs symbolique que ce soit avec l’Allemagne que les Etats-Unis discutent et non la France. Cette dernière ne compte plus. Et c’est aussi l’un des enseignements de la crise et de l’arrivée de Syriza au pouvoir à Athènes. Démontrant la possibilité d’une autre politique, cette arrivée détruit ce qui restait du discours du PS.
Nous sommes probablement au début de la fin, tant en Europe qu’en France. Et cette perspective terrifie comme elle fascine les acteurs du jeu politique.
________________________________________
[1] http://www.rtbf.be/info/monde/detail_le ... id=8892950
[2] On lira Varoufakis Y., Rational Conflict. Oxford, Blackwell, 1991 ou encore, du même auteur (avec Hargreaves-Heap S.) Game Theory: A critical text. London and New York, Routledge, 2004
[3] Sugden, R. The Economics of Rights, Cooperation and Welfare, 2ème edition, Palgrave Macmillan, Londres-New York, 2005
[4] Skyrms, B., Evolution of the Social Contract. New York, Cambridge University Press, 1996.
[5] Schelling T., The Stategy of conflict, Harvard University Press, Cambridge (Mass.), 1960.
[6] Kiewiet, D., Roderick McCubbins et Mathew D. The logic of delegation: congressional parties and the appropriations process, Chicago (Ill.), University of Chicago Press. 1991, pp. 213–249.
[7] Schelling T., The Stategy of conflict, op.cit. p. 37.
[8] http://www.lesechos.fr/monde/europe/020 ... 089589.php


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« Si la connaissance crée parfois des problèmes, ce n'est pas l'ignorance qui permet de les résoudre. » (Isaac Asimov)


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 19:43 
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Cet article de SAPIR est passionnant; mais aussi très inquiétant...
J'espère pour elles que les familles de Tsipras et Varoufakis bénéficient d'excellentes assurances-vie: tout est en place pour que ces deux-là soient victimes dans les mois qui viennent d'une malencontreux accident de la vie... :o :o

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 21:01 
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L'OEUF.
Comment tondre l'oeuf?

La brebis tondue... il faut attendre que la laine repousse.


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 21:02 
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je me demande si Tsipras ne va pas cirer les pompes à Merkel Draghi
en se faisant le promoteur d'une croissance grecque qui pourrait tomber du ciel
(un socialiste célèbre en Europe disait " mon ennemi, c'est la Finance" ...et on a vu le résultat)

Vont être contents les Grecs que leur sauveur leur donne des cacahuètes (financées par des faux monnayeurs)


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 21:46 
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En fait, la monnaie €uro, c'est du Pétrol Hahn sur un crâne chauve...

Ne sert à rien, mais bon pour le moral!


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 03 Fév 2015 22:18 
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Inscrit le: 06 Nov 2010 08:06
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mon cher numis je rajouterai

L euro c'est comme avec petrolane le pétrole part, l'âne reste ^^^^

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Je pense que très peu de personnes sont totalement libre sur cette planète.
Je ne le suis pas mais j y travail (stevie wonder )


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 04 Fév 2015 09:32 
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a quelle heure la rencontre mario yanis ?


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 04 Fév 2015 09:49 
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silvermath a écrit:
a quelle heure la rencontre mario yanis ?

Je pense que le graph €/$ nous le dira :)
Il me semble que c'est prévu à 10h.

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