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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 22 Fév 2015 18:23 
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Je ne sais pas ce qu'il dit. Un slogan de supporter j'imagine.

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 23 Fév 2015 00:06 
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Varoufakis exclu pour sauver la Grèce

Un drame s’est joué vendredi soir à Bruxelles pendant la réunion des ministres des Finances de la zone euro, convoqués pour la troisième fois en dix jours pour négocier le sauvetage financier de la Grèce : la mise sur la touche du ministre des Finances Yanis Varoufakis, prix à payer pour arracher un accord à l’Allemand Wolfgang Schäuble dont il est devenu la bête noire

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde ... 21-1283348

Herr von Schaüble aurait refusé de négocier avec Varoufakis et Tsipras serait devenu le seul interlocuteur possible

on n'est pas au bout de nos surprises et il va y avoir des rebondissements


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 23 Fév 2015 14:17 
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En Grèce, premières divisions politiques après les compromis économiques
LE MONDE ECONOMIE - 23.02.2015 par Adéa Guillot (Athènes, correspondance)

L'essentiel

Un accord a été validé, à l'issue de longues tractations, vendredi entre la Grèce et les créanciers internationaux pour la poursuite d'un plan de sauvetage au pays. Le traité stipule que l'initiative des réformes est désormais laissée à Athènes, puis approuvée ensuite par les créanciers. L'aile gauche de Syriza fustige un accord qui prolongerait, selon elle, les mesures d'austérité imposées au pays, que le parti de gauche radicale s'était pourtant engagé à supprimer.

L'accord de principe conclu le 20 février reste soumis à la validation par les créanciers du pays d’une liste des réformes que le gouvernement devait présenter lundi 23 février à ses partenaires. Après trois semaines de discussions souvent tendues, l’Eurogroupe a accouché, vendredi 20 février, d’un accord prévoyant, sous conditions, une prolongation de quatre mois de l’aide financière dont bénéficie la Grèce. « Hier, nous avons franchi une étape décisive en abandonnant l’austérité, les plans de renflouement et la “troïka” [Le Fonds monétaire international (FMI), la Commission de Bruxelles et la Banque centrale européenne (BCE), les bailleurs de fonds d’Athènes] », a déclaré, samedi, le premier ministre grec, Alexis Tsipras, lors d’une allocution télévisée. « Nous avons gagné une bataille, pas la guerre. Les véritables difficultés (…) sont devant nous », a-t-il ajouté.

Les partis d’opposition ont dans l’ensemble salué l’accord, tout en accusant M. Tsipras de volte-face et de renoncement. Pour Kostas Kragougounis, le porte-parole du service de presse du parti conservateur de la Nouvelle Démocratie (ND), « le nouveau gouvernement retourne en fait au point où nous avions laissé les choses, mais dans des conditions bien pires ». Dans un communiqué officiel, le parti de centre gauche, To Potami (La Rivière), estime que « M. Tsipras a choisi ce qui semble être le chemin de la logique ».

Au sein de Syriza, le parti de la gauche radicale, c’est-à-dire celui du premier ministre, des divisions se font jour. Une majorité applaudit certes à la conclusion d’un accord permettant pour la première fois à la Grèce de se présenter en « coauteur des réformes et de sa destinée », plutôt qu’en élève soumis, comme l’a exprimé le ministre des finances, Yanis Varoufakis. Mais l’union sacrée qui existait depuis quelques mois en vue de la conquête du pouvoir a volé en éclats dimanche avec la déclaration de Manolis Glézos, eurodéputé et doyen de cette formation politique. Connu pour avoir décroché le drapeau nazi de l’Acropole lors de la seconde guerre mondiale, il jouit d’une grande autorité morale en Grèce.

Glézos demande « pardon au peuple grec »

« Changer le nom de la “troïka” en “institutions”, celui du mémorandum en “accord” et celui des créanciers en “partenaires” ne change en rien la situation antérieure », écrit M. Glézos dans un article envoyé depuis Bruxelles. « Plus d’un mois est passé et la promesse n’est toujours pas transformée en acte. Dommage et encore dommage. Pour ma part, je demande au peuple grec de me pardonner pour avoir contribué à cette illusion », ajoute-t-il en invitant les amis de Syriza à participer, dans les plus brefs délais, à un dialogue sur le parcours du parti et les manœuvres en cause. « M. Glézos n’est peut-être pas bien informé de la réalité des difficiles négociations que nous menons », réagissait dimanche l’entourage de M. Tsipras. Dimitris Papadimoulis, un autre député européen du parti, a invité M. Glézos à la solidarité « en étant aux côtés du gouvernement ».

Ces tensions ne sont pas isolées. La « plateforme de gauche » notamment, emmenée par le désormais ministre du redressement productif, de l’environnement et de l’énergie, Panayiotis Lafazanis, avait mis en sourdine sa rhétorique anti-euro lors de la campagne électorale. Dans plusieurs entretiens donnés ce week-end à la presse grecque, il a réaffirmé haut et fort que « tout arrangement transitoire doit être compatible avec le programme du gouvernement et ne pas nuire à son essence et à son orientation de gauche radicale ».

Il a aussi prévenu que les projets de loi sur le gel des saisies et mises aux enchères des résidences principales, sur la gestion des créances douteuses des banques et sur l’échelonnement en cent mensualités des dettes fiscales étaient prêts à être présentés devant le Parlement. C’est un avertissement à peine voilé au gouvernement pour l’inciter à ne pas reculer sur son programme de campagne qui prévoyait notamment un éventail de mesures – la hausse du salaire minimum à 751 euros mensuels, le rétablissement d’un treizième mois pour les retraites de moins de 700 euros, le courant payé pour 300 000 foyers sans électricité, etc. – en vue de venir en aide aux Grecs les plus fragiles.

Les pistes de financement possibles

Or l’accord de principe conclu le 20 février reste soumis à la validation par les créanciers du pays d’une liste des réformes que le gouvernement devait présenter lundi 23 février à ses partenaires et qui ne seront acceptées que si elles préservent l’équilibre des finances publiques. Le détail de ces mesures reste confidentiel, mais dans une interview au quotidien grec Kathimerini, dimanche, le vice-ministre des finances, Dimitris Madras, a exposé les pistes de financement possibles. Il promet de récupérer de la marge budgétaire en s’attaquant au trafic de carburant, notamment dans le secteur de la marine marchande, qui pourrait rapporter, selon les estimations livrées par Kathimerini, jusqu’à 1,5 milliard d’euros à l’Etat. Il pense aussi à réorganiser les services du fisc grec (SDOE), en orientant les contrôles vers les gros dossiers et en ajoutant les douanes à son champ d’enquête. M. Madras compte enfin économiser plusieurs millions d’euros en rationalisant l’approvisionnement des services de l’Etat (mairies, hôpitaux, etc.) où trop de fraude aurait lieu, estime-t-il.

Selon un sondage réalisé par Public Issue pour le journal Avgi, proche du pouvoir, 81 % des Grecs jugent positive l’image du nouveau gouvernement confronté à ses créanciers. Dans la rue, pourtant, les avis sont partagés. Dimanche était jour de carnaval à Athènes. Malgré l’atmosphère de fête, l’accord de l’Eurogroupe était sur toutes les lèvres. « Je suis soulagée, avoue Katerina, une jeune mère de famille venue danser avec ses deux enfants au pied de l’Acropole, au son d’un groupe de salsa. Je craignais l’affrontement stérile qui nous aurait coupés de l’Europe et peut-être menés à une sortie de l’euro. » Katerina a certes voté Syriza, « mais plutôt pour me débarrasser du précédent gouvernement, qui n’écoutait pas la souffrance des plus pauvres », précise-t-elle. Son groupe d’amis autour d’elle n’est pas d’accord. « Moi, je suis déçu du revirement de Varoufakis et de Tsipras, lance son cousin. J’ai voté pour eux pour qu’ils mettent fin à l’austérité, pas pour qu’ils la prolongent de quatre mois, voire plus ! »

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 23 Fév 2015 14:29 
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Les Grecs ont perdu la bataille de l'austérité, victoire totale des Eurocrates !

Tsipras Tamed as Economists Declare Greece Loses Austerity Fight
by Simon Kennedy Jennifer Ryan -February 23, 2015

(Bloomberg) -- “Complete” surrender by the Greeks. “Major victory” for the eurocrats.
To those who have followed Greece’s financial crisis for five years, there wasn’t much doubt who won the latest round Friday when the region’s finance ministers struck a deal

Even German Finance Minister Wolfgang Schaeuble, who said he didn’t “want to make it more difficult for them,” concluded Greek Prime Minister Alexis Tsipras will have a “difficult” time selling the agreement at home. That’s because Tsipras’s populist rhetoric of ending austerity was overpowered by the united front he faced. A “complete political surrender to the world of reality” was how Erik Nielsen, London-based global chief economist of UniCredit Bank AG, put it. Societe Generale SA and Berenberg Bank both labeled it a “u-turn” by Tsipras, who won election Jan. 25 promising an end to budget cutting.

“If the deal holds, it would be a major victory of common sense over populism,” said Holger Schmieding, chief economist at Berenberg in London, who cut his probability of Greece leaving the euro area to 25 percent from 35 percent. “The taming of Tsipras would show that Europe’s ‘tough love’ approach is working.” While Tsipras says skirting national insolvency meant “we won a battle, but not the war,” economists say he may not have managed even that. That’s because the basics of the existing aid deal he fought against are still intact.

Greek Concessions

At last week’s meeting, Greece signed up to all the conditions of its current package and to continued international oversight, ditching plans to win back control of its purse strings so it could raise wages and pensions. “The combination of pressure on the banking sector and on state cash flows has forced the bulk of the concessions to come on their side,” said Malcolm Barr, an economist at JPMorgan Chase & Co. in London. There were some concessions. Tsipras now gets a chance to draw up a list of reform ideas rather than have them forced upon him. The fiscal target for this year was also made less specific, giving him potentially some extra cash to throw around at home.

Those tweaks left Commerzbank AG chief economist Joerg Kraemer suggesting while donor nations may have gotten their way, they are ultimately likely to back down on explicit requirements, allowing Tsipras some face-saving room to maneuver.
“Nominally, at least, the creditors have won, but reality is likely to be different,” said Kraemer. Investors boosted European debt as the fear of contagion from Greece dissipated. Italian five-year bond yields and Portuguese 10-year rates both fell to record lows following the deal. “Europe has drawn the line in the sand - and markets had absolutely no problem with that,” said Nielsen of UniCredit.

Source

Traduction

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 23 Fév 2015 19:20 
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La lettre des grecs est remise à demain!


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 24 Fév 2015 11:47 
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Grèce: la liste des réformes point de départ valide pour poursuivre le financement au pays
©AFP / 24 février 2015

Bruxelles - La liste des réformes envoyée par la Grèce à l'UE est un point de départ valide pour qu'Athènes et ses créanciers s'entendent sur la poursuite du financement au pays jusqu'à fin juin, a estimé mardi la Commission européenne.

La liste est suffisamment complète pour constituer un point de départ valide en vue d'une conclusion réussie de la revue du programme grec de redressement, qui doit permettre d'ici au mois d'avril la reprise des versements à la Grèce de l'assistance financière européenne, a précisé cette source.

Nous sommes notamment encouragés par le ferme engagement à combattre l'évasion fiscale et la corruption, a ajouté la source de l'exécutif bruxellois. La Grèce doit désormais spécifier davantage les réformes, pour qu'elles soient convenues avec ses créanciers avant fin avril, conformément à la décision de l'Eurogroupe vendredi, a-t-elle ajouté.

Les deux autres institutions créancières de la Grèce, la BCE et le FMI, doivent également donner leur avis sur cette liste de réformes et il doit être positif, a rappelé une autre source européenne. Si les trois institutions jugent les avancées positives, les 18 partenaires de la Grèce au sein de la zone euro seront appelés à se prononcer sur cette liste de réformes, lors d'une conférence téléphonique prévue mardi après-midi. Cette liste est une première étape, ce n'est pas un nouveau mémorandum, a affirmé le patron de la zone euro, Jeroen Dijsselbloem, devant des parlementaires européens à Bruxelles.

C'est une indication du type de réformes que les autorités grecques souhaitent favoriser, remplacer ou poursuivre, a-t-il ajouté, soulignant qu'il va falloir du temps pour aller dans les détails et mettre sur pied un nouveau contrat avec la Grèce. Le gouvernement grec est très sérieux dans sa volonté de réformes, a-t-il estimé, même s'il s'agit juste d'un premier pas. La finalisation des réformes présentées par la Grèce devra être faite en coopération étroite avec ses créanciers, cela prendra du temps, a-t-il souligné.

Les autorités grecques auront ensuite jusqu'à fin avril pour finaliser leur liste de réformes, dont dépend le versement de l'aide financière restant dans le programme en cours, soit plus de 3,5 milliards d'euros côté européen. Cette liste est arrivée dans les ministères des Finances de la zone euro lundi 23 février à 22H32 GMT, elle est maintenant à l'examen de la Commission, de la BCE et du FMI et sera l'objet d'une discussion de l'Eurogroupe au niveau des ministres, a indiqué une source gouvernementale allemande. Elle a été reçue dans les temps, a uniquement indiqué le porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas.

La présentation de cette liste était la première des conditions fixée par la zone euro à la prolongation de quatre mois de l'assistance financière à la Grèce.

Source

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 24 Fév 2015 11:48 
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Wotan a écrit:
Allez, moi je dis que c'est ce WE que le Grexit démarre: bank holiday + controle des capitaux + grexit.
"In the baba" mon cher Chester ! :mrgreen:

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 24 Fév 2015 12:09 
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Argenor a écrit:
Wotan a écrit:
Allez, moi je dis que c'est ce WE que le Grexit démarre: bank holiday + controle des capitaux + grexit.
"In the baba" mon cher Chester ! :mrgreen:


J'admets ma défaite.


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 24 Fév 2015 13:24 
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Inscrit le: 05 Déc 2012 22:05
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Wotan a écrit:
Argenor a écrit:
Wotan a écrit:
Allez, moi je dis que c'est ce WE que le Grexit démarre: bank holiday + controle des capitaux + grexit.
"In the baba" mon cher Chester ! :mrgreen:


J'admets ma défaite.


Pas sûr que le peuple Grec en dise autant


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 24 Fév 2015 13:39 
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Localisation: Madalena (Pico island)
Je crois surtout que la Grèce gratte un sursis pour étudier les autres alternatives .... :roll:

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