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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 11:25 
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http://diepresse.com/home/wirtschaft/in ... hr-Bargeld
17.04.2015
les Grecs vident les distributeurs automatiques
ça ne sent pas très bon :)


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 11:34 
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De grosses rumeurs de Grexit dans les salles de marché à priori...


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 11:45 
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Comme dit dans une autre file, c'est une réunion cruciale ce soir (comme par hasard un vendredi), et c'est la semaine de tous les dangers pour la Grèce jusque vendredi prochain. On sera vite fixé soit sur le grexit, soit sur une relative tranquillité pour les 6 prochains mois.

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 15:45 
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Citer:
NOBODY IS PREPARING FOR A GREECE EXIT FROM EU: MOSCOVICI


si nous tous :lol: :!:


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 16:23 
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Tic Tac Tic Tac...

Varoufakis warns creditors of possible Greece default

Citer:
Greek Finance Minister Yanis Varoufakis, in an interview with the Huffington Post, indicated that Greek authorities could default if the country's creditors retain a tough stance in negotiations and leave authorities with no other choice.

Responding to question about whether it would be possible for Greece to default and still stay on the euro, Varoufakis pointed out that Greece had previously defaulted in 2012, suggesting that Greece may respond in the same way if it cannot reach a new deal with its creditors by April 24. "It has already happened," Varoufakis said. "In 2012, the Greek government defaulted on 100 billion euros of existing debt commitments."

"Let me be precise on this," Varoufakis said, "because these are problematic times and there a lot of people who will latch on to any word or phrase that they deem fit in order to make mischief. This is not a time to allow them to make mischief. The fact is that Greece is out of the markets and it has been redeeming its debts for the last few months using its own scarce liquidity."

"It can't go on," he continued. "If it could, then we wouldn't be a program country, right? So if our partners in the institutions say, 'No liquidity for you, no disbursements, no new contract,' then of course this is unsustainable, as it would be with any country that is in a kind of IMF program, a Troika program or ECB program."


http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_ar ... 015_549170

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 16:37 
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*VAROUFAKIS: DRAGHI WANTS A RESOLUTION SOON TO HELP GREECE GROW
*DRAGHI : WANTS GREECE TO JUST COUGH UP THE FUCKING CASH NOW OR ELSE


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 17:01 
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*GREECE'S MAIN CREDITORS SAID TO BE UNWILLING TO ALLOW EURO EXIT

GREEK CREDITORS TO CONSIDER EURO EXIT ONLY IF GOVT BACKTRACKS: BBG


Réunion samedi à Bruxelles entre la Grèce et ses créanciers

Athènes - Une réunion entre Athènes et ses créanciers internationaux se tiendra samedi à Bruxelles pour faire le point sur les réformes dans le pays, avant une réunion importante de la zone euro une semaine plus tard.

Le +Groupe de Bruxelles+ se réunit demain après-midi, a indiqué Mina Andreeva, une porte-parole de l'exécutif européen, une semaine avant la réunion informelle de l'Eurogroupe qui se tiendra le 24 avril à Riga et sera l'occasion de faire le point sur l'avancée des négociations entre la Grèce et ses créanciers.

Le Groupe de Bruxelles est composé de représentants du gouvernement grec, de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE), du Mécanisme européen de stabilité (MES) et du Fonds monétaire international (FMI).

Le centre de l'attention est évidemment aujourd'hui à Washington, a rappelé la porte-parole.

Plusieurs commissaires européens, dont le Français Pierre Moscovici (Affaires économiques) et le Letton Valdis Dombrovskis (Euro), participent aux réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale. Egalement présent à Washington, le ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, a assuré jeudi que son gouvernement voulait mener à bien les réformes exigées par ses créanciers pour obtenir une tranche d'aide de 7,2 milliards d'euros, vitale pour son pays.

Le temps commence à presser pour trouver un accord avec une Grèce financièrement aux abois, a admis jeudi M. Moscovici à l'AFP. Athènes assure être en mesure de régler son dû pour avril, mais le doute persiste pour des paiements attendus en mai.

Cette négociation entre Athènes et ses créanciers qui se prolonge depuis plusieurs semaines a un caractère politique, a affirmé vendredi le secrétaire d'Etat grec aux relations Européennes Nikos Chountis, mettant en cause les différences idéologiques entre le gouvernement de gauche radicale et ses partenaires.

Le secrétaire d'Etat a réaffirmé les lignes rouges du gouvernement dans cette négociation, fixées par le Premier ministre: pas de dérégulation supplémentaire du marché du travail, des caisses d'assurance sociale, pas de hausse de la TVA, pas de privatisations sans prise en compte de l'intérêt public.




Ces sujets constituent pour l'instant des points de désaccord avec les créanciers, selon Athènes.

Le gouvernement grec continue d'exprimer son espoir d'un accord avec l'UE, la BCE et le FMI, assorti d'un déblocage de fonds, d'ici la fin du mois mais les déclarations récentes de plusieurs responsables européens rendent cette perspective de plus en plus incertaine.

Jusqu'à présent, nous n'avons pas de solution et je ne pense pas que nous aurons une solution la semaine prochaine, avait déclaré mercredi à New York le ministre allemand des Finances Wolfgang Schaüble. Il a précisé dans une interview à Bloomberg TV que seul importait le délai limite du 30 juin, qui marque la fin du second programme d'assistance internationale à la Grèce.

Reflétant l'inquiétude des marchés en l'absence de perspective claire d'accord, la bourse d'Athènes a terminé en baisse de 3% vendredi après une semaine très morose qui a vu l'indice bancaire cumuler 20% de pertes.

Le rendement de l'obligation grecque à 10 ans restait tendu vendredi sur le marché secondaire, s'établissant à 12,854 vers 15h30 GMT, après avoir brièvement atteint la veille ses niveaux record de 2012.


(©AFP / 17 avril 2015 17h51)


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 17 Avr 2015 20:59 
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La BCE pourrait considérer une monnaie parallèle en Grèce...

The ECB Is Considering A Parallel Greek Currency
by Tyler Durden on 04/17/2015

As we first reported yesterday, one of the proposed measures to be implemented in Greece just before, or during its default and/or exit from the Eurozone, in addition to pervasive capital controls of course, is the implementation of a parallel "currency", or as explained yesterday, a government paying its citizens with IOUs.

This is what we said less than 24 hours ago:

Greece might resort to IOUs and/or capital controls to avoid a disorderly default and keep the banks afloat for now. But such measures would offer a temporary solution at best and could be the first steps towards a euro-zone exit.

Assuming that a deal is not reached next week, there are a couple of routes that the Greek Government might take to avert disaster in the short term. First, it could issue IOUs to pay public sector workers and pensioners and free up money to repay its debts. But this could cause economic chaos if fears that the IOUs would never be paid sparked riots or public sector employees simply refused to work.

Even if Greek people accepted IOUs, they could only function for a very short period. Before long, those receiving incomes in IOUs could only afford to pay their taxes through the same medium. And given that the Government’s international creditors would not accept IOUs as repayment, this would still lead to a debt default. Effectively, the IOUs would become a parallel currency whose value was deemed lower than that of a normal euro. This would be akin to a euro-zone exit.

Today, to our dismay, we find that the ECB has not only considered a "parallel currency" alternative but for Greece this may be a reality before long. According to Reuters, the ECB "has analyzed a scenario in which Greece runs out of money and starts paying civil servants with IOUs, creating a virtual second currency within the euro bloc, people with knowledge of the exercise told Reuters."

"The fact is we are not seeing any progress... So we have to look at these scenarios," said one person with knowledge of the matter.

A spokesman for the ECB said it "does not engage in speculation about how specific scenarios regarding Greece could unfold."

One Greek government official, who declined to be named, said there was no need to examine such a scenario because Athens was optimistic it would reach a deal with its international lenders by the end of the month.

Not surprisingly, "experts at the ECB have concluded that using IOUs to pay public sector wages would probably fail to avert a full-blown crisis and could even threaten Greece's future in the 19-country euro zone."

This is precisely what we warned about yesterday when we further noted that "Greece is already issuing the rough equivalent of those in the form of Greek T-bills which are sitting on the books of the very same Greek banks which, in the event the IOU solution is pursued, will be besieged by the very same citizens to whom the IOUs are issued."

What is most surprising is how eager the ECB is to instill a banking sector panic and a self-fulfilling prophecy of a terminal bank run. In fact, as we noted first back in February, based on the rhetoric out of the Eurozone the eurocrats are practically desperate to crush the Greek financial system (perhaps in order to teach the Syriza government a lesson) where it is a miracle there are still any deposits left.

What is disturbing is the lack of vision on behalf of the ECB about what will surely happen to every peripheral European country's deposits once it is revealed that what was, according to Draghi, an "unbreakable" union is quite fragile and where the safety of one's lifetime savings is entirely contingent on not electing a government which the Troika deems unworthy.

Back to the ECB and its calculations:

Those officials believe that up to 30 percent of Greeks would end up receiving such government IOUs rather than payment in euros, which would only put further pressure on Greek banks because those workers were likely then to plunder their savings.

The banks would then be forced to tap increasing amounts of emergency liquidity funding or boost their capital base.

But the banks could not use the IOUs as security for drawing down the emergency credit because the ECB would not accept them. "The IOUs, I just don't think it can work," said the first person who spoke to Reuters. "That could effectively be it, they would be out (of the euro)." Those fears were voiced by others familiar with ECB thinking.

"With a parallel currency ... you are getting to something so tailored that you are almost in Grexit," said a second person. "It is something that is outside the institutional set-up."

Perhaps the only question at this point is whether Bloomberg (which today showed beyond a reasonable doubt it is as systematically important as any financial institution when 2 hours of downtime led to a worldwide panic), will show the XGD first...

or the XIOU?

In any event, it is only a matter of time before the Drachma, which may or may not look as rendered below, is now officially back.

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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 18 Avr 2015 23:09 
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http://www.romandie.com/news/Croissance ... 585509.rom
Citer:
La Grèce se retrouvait pressée de toutes parts samedi à Washington de présenter son programme de mesures budgétaires. Dans un projet de communiqué en marge de sa réunion de printemps et de celle de la Banque mondiale, le FMI évoque une croissance mondiale "modérée".

Citer:
Le président de la BCE a refusé de se placer dans l'éventualité d'un défaut de la Grèce. Emboîtant le pas de plusieurs autres responsables économiques internationaux ces derniers jours, il a toutefois estimé que la zone euro était désormais mieux préparée pour faire face à un tel défaut et, plus globalement, à une sortie de la Grèce de l'euro.


donc si j'ai bien tout compris ... la zone euro est désormais mieux préparée pour faire face à un tel défaut et, plus globalement, à une sortie de la Grèce de l'euro, (évangile selon Draghi ).

Et l'effet boule de neige qu'une sortie de la Grèce produira sur l'Espagne, le Portugal, l'Italie ? ....Draghi a-t-il la vue basse ? ou nous prend-il pour des idiots
car les Grecs en partant prendront bien soin de claquer la porte avec assez de fracas au nez de Draghi Schäuble , les pompiers pyromanes, à tel point que cela donnera des idées à certains


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 Sujet du message: Re: Grèce : crise, notation, banqueroute, manif, FMI, UE, 2eme
MessagePublié: 20 Avr 2015 08:30 
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Grexitation
Jean-Marc Vittori - Editorialiste - 20/04/2015 A 06:00

• L'horizon s'abaisse de jour en jour sur la Grèce. La semaine dernière, les institutions qui financent le pays l'ont dit chacune à leur manière. Le FMI a rejeté la demande d'Athènes de rembourser sa dette plus tard. La BCE, par la voix de son président, Mario Draghi, a expliqué que le gouvernement grec devait faire « beaucoup plus de travail » et qu'il y avait urgence. Le ministre des Finances allemand, Wolfgang Schäuble, a dit qu'on était loin d'un accord. Pour compléter le tableau, le président américain, Barack Obama, a enjoint la Grèce de se réformer. La course contre la montre s'accélère. D'ici à fin août, la Grèce doit rembourser plus de 10 milliards d'euros à ses créanciers et refinancer près de 20 milliards d'emprunts qui viennent à maturité. Le mois prochain, elle risque aussi de devoir décider si elle paie ses fonctionnaires ou le FMI. L'incertitude a des effets désastreux sur le pays. Elle fait fuir les capitaux, fragilise les banques, freine les rentrées fiscales, pèse sur l'activité et accroît le risque d'un accident de liquidité du Trésor. Jamais le risque d'un défaut grec n'a été aussi grand. Jamais la sortie de l'euro n'a semblé aussi proche.

• C'est bien sûr la faute au gouvernement grec. Incohérence, amateurisme, indécision… Comme Jacques Chirac en 1995, l'équipe au pouvoir a remporté les élections en promettant tout et son contraire : la Grèce allait changer radicalement sa politique économique tout en restant dans l'euro et en continuant de recevoir de l'argent de ses partenaires. Elle a ensuite montré un rare amateurisme. N'ayant jamais exercé de responsabilités politiques nationales ou même locales avant de gagner les élections, le Premier ministre, Aléxis Tsípras, et son ministre des Finances, Yánis Varoufákis, ne savent pas mener des négociations. En quelques semaines, ils ont perdu toute crédibilité sur la scène européenne. Le gouvernement montre enfin aujourd'hui une incapacité à trancher. Il fait lanterner ses interlocuteurs depuis des semaines sur la liste des réformes qu'il s'engage à conduire en échange du versement des 7 milliards d'aide européenne promise. Athènes espère au fond que ses partenaires finiront par craquer pour sauver l'euro.

• Les dirigeants des autres pays européens affrontent un choix apparemment impossible. Soit ils cèdent et remplissent un nouveau tonneau des Danaïdes, soit ils se cabrent et prennent alors le risque non seulement de faire sortir la Grèce de la zone euro mais aussi d'enclencher une mécanique imprévisible qui pourrait finir par faire exploser l'Union monétaire. Ici aussi se joue une course, entre l'imagination (pour trouver une autre solution) et la lassitude (devant ce qui semble inévitable). En ce moment, la lassitude gagne du terrain.

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