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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 05 Jan 2017 10:36 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 05 Jan 2017 10:48 
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La Fed pourrait relever ses taux plus vite que prévu
Par latribune.fr | 05/01/2017, 9:00 | 313 mots

Sur le papier, une politique budgétaire plus expansionniste augmenterait les possibilités d'amélioration des perspectives économiques, ont reconnu les membres du FOMC, tout en se disant prudents. (Photo : Janet Yellen, Présidente du Conseil des gouverneurs de la Fed)

Pour contenir l'inflation liée au plan de relance annoncée par Donald Trump, la Fed envisage de relever ses taux, actuellement compris entre 0,5 et 0,75%.

La banque centrale américaine anticipe (déjà) le plan de relance et d'investissement de 500 milliards de dollars annoncé par Donald Trump. Selon les minutes de sa réunion de la mi-décembre, la Fed songe à relever ses taux plus vite que prévu pour éviter une surchauffe de l'économie et contenir l'inflation.
La Fed s'inquiète d'une baisse trop importante du chômage

Réuni les 13 et 14 décembre, son comité de politique monétaire (FOMC) avait déjà relevé d'un quart de point son taux directeur, situé désormais dans une fourchette comprise entre 0,50 et 0,75%, au vu de l'amélioration de l'économie américaine notamment sur le front de l'emploi. La banque centrale a par ailleurs pointé l'"incertitude considérable sur le calendrier, l'ampleur et la nature" de la politique économique du président élu Donald Trump.

D'après le compte-rendu publié mercredi, "beaucoup" de ses membres s'inquiètent toutefois que le taux de chômage, tombé à 4,6% en novembre, ne descende trop bas, au risque d'alimenter une forte hausse des salaires et une poussée incontrôlée de l'inflation.

Le FOMC prudent

Tout en assurant que la hausse des taux devrait rester "progressive", les dirigeants de la Fed ont reconnu que ces risques, s'ils se matérialisaient, "pourraient requérir une trajectoire différente" de celle actuellement envisagée, indiquent les minutes. En décembre, la Fed avait déjà revu à la hausse, de 2 à 3, le nombre de hausse de taux qu'elle envisageait cette année.

Sur le papier, une politique budgétaire "plus expansionniste" augmenterait les possibilités d'amélioration des perspectives économiques, ont reconnu les membres du FOMC, tout en se disant "prudents". "Il est trop tôt pour savoir quels changements dans les politiques (économiques et budgétaires, ndlr) seront mis en oeuvre et comment ils affecteront les perspectives économiques", indiquent les minutes.

(Avec AFP)



les cons ça ose tout, ils ont tellement manipulé leurs stat du chômage qu'ils ont perdu toute crédibilité


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 05 Jan 2017 10:57 
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silvermath a écrit:
Citer:
La Fed pourrait relever ses taux plus vite que prévu
Par latribune.fr | 05/01/2017, 9:00 | 313 mots

Sur le papier, une politique budgétaire plus expansionniste augmenterait les possibilités d'amélioration des perspectives économiques, ont reconnu les membres du FOMC, tout en se disant prudents. (Photo : Janet Yellen, Présidente du Conseil des gouverneurs de la Fed)

Pour contenir l'inflation liée au plan de relance annoncée par Donald Trump, la Fed envisage de relever ses taux, actuellement compris entre 0,5 et 0,75%.

La banque centrale américaine anticipe (déjà) le plan de relance et d'investissement de 500 milliards de dollars annoncé par Donald Trump. Selon les minutes de sa réunion de la mi-décembre, la Fed songe à relever ses taux plus vite que prévu pour éviter une surchauffe de l'économie et contenir l'inflation.
La Fed s'inquiète d'une baisse trop importante du chômage

Réuni les 13 et 14 décembre, son comité de politique monétaire (FOMC) avait déjà relevé d'un quart de point son taux directeur, situé désormais dans une fourchette comprise entre 0,50 et 0,75%, au vu de l'amélioration de l'économie américaine notamment sur le front de l'emploi. La banque centrale a par ailleurs pointé l'"incertitude considérable sur le calendrier, l'ampleur et la nature" de la politique économique du président élu Donald Trump.

D'après le compte-rendu publié mercredi, "beaucoup" de ses membres s'inquiètent toutefois que le taux de chômage, tombé à 4,6% en novembre, ne descende trop bas, au risque d'alimenter une forte hausse des salaires et une poussée incontrôlée de l'inflation.

Le FOMC prudent

Tout en assurant que la hausse des taux devrait rester "progressive", les dirigeants de la Fed ont reconnu que ces risques, s'ils se matérialisaient, "pourraient requérir une trajectoire différente" de celle actuellement envisagée, indiquent les minutes. En décembre, la Fed avait déjà revu à la hausse, de 2 à 3, le nombre de hausse de taux qu'elle envisageait cette année.

Sur le papier, une politique budgétaire "plus expansionniste" augmenterait les possibilités d'amélioration des perspectives économiques, ont reconnu les membres du FOMC, tout en se disant "prudents". "Il est trop tôt pour savoir quels changements dans les politiques (économiques et budgétaires, ndlr) seront mis en oeuvre et comment ils affecteront les perspectives économiques", indiquent les minutes.

(Avec AFP)



les cons ça ose tout, ils ont tellement manipulé leurs stat du chômage qu'ils ont perdu toute crédibilité


"D'après le compte-rendu publié mercredi, "beaucoup" de ses membres s'inquiètent toutefois que le taux de chômage, tombé à 4,6% en novembre, ne descende trop bas, au risque d'alimenter une forte hausse des salaires et une poussée incontrôlée de l'inflation"
Conclusion: Il faut du chômage pour maintenir la populace en état d'esclavage


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 05 Jan 2017 11:10 
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L'angoissant fardeau de la dette mondiale

Citer:
L'Institute of International Finance (IIF) a fait ses comptes. Selon ce groupement de quelque 500 institutions financières, la dette privée et publique sur le globe dépasse déjà 325% du produit intérieur brut mondial (lui-même d'environ 74.000 milliards de dollars en 2015 selon les données de la Banque mondiale, ndlr).
Et sa "viabilité" pourrait être menacée par la récente remontée des coûts d'emprunt.

http://bfmbusiness.bfmtv.com/monde/l-an ... 1483606704

mais pour le reste tout va bien :D


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 13 Jan 2017 12:39 
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ou quand tout s'accélère ....


http://www.zerohedge.com/news/2017-01-1 ... on-problem

http://www.reuters.com/article/us-germa ... 4W2QC?il=0

http://www.research.natixis.com/GlobalR ... mU5WBDpQ==

http://www.research.natixis.com/GlobalR ... mU5WBDpQ==

http://www.research.natixis.com/GlobalR ... vtat13kg==


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 16 Jan 2017 10:47 
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ouchhhhhhhhhh le timing

Citer:

Pour avoir un pays bas, votez Hollande.

Par Charles Gave
16 janvier, 2017

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Les lecteurs de l’Institut des Libertés se souviennent peut être de la mauvaise plaisanterie que m’avait inspiré la campagne de monsieur Hollande il y a cinq ans déjà, et qui figure comme titre à cet article.Rarement un slogan électoral aura été aussi prémonitoire.

A mon immense stupéfaction, je viens de me rendre compte que cet homme prodigieux de modestie a encore des partisans puisque qu’il me revient aux oreilles que certains d’entre eux se répandent dans les media et les diners en ville à Paris en soutenant que monsieur Hollande n’a pas de chance puisqu’il s’en va au moment même où l’économie française serait en train de redémarrer. Et tous de souligner que ce redémarrage serait la conséquence des réformes courageuses (?) que notre géant de la politique aurait imposé à une France récalcitrante. Et là, je ne peux m’empêcher de m’interroger.

Mais de quelles reformes parlent-ils ?

En dehors du mariage pour tous qui s’est terminé par un divorce entre les socialistes et le peuple et de nombreuses et considérables augmentations d’impôts frappant tous ceux qui n’avaient pas voté pour lui, je ne me souviens d’aucune réforme qui vaille la peine d’être mentionnée. Surement un manque d’attention de ma part.

Quant aux succès économiques de ces dernières années, il faut vraiment un œil d’aigle ou un microscope pour en trouver la trace.

J’imagine que dans les mois qui viennent les journaux vont être remplis de diagnostiques divers et variés sur les résultats de cette présidence qui s’achève. Pour ma part, je ne vois pas très bien ce que nous avons à gagner à revenir à l’IDL sur cette période pénible de notre histoire et mon intention n’est pas de faire un travail exhaustif sur les cinq dernières années. Beaucoup, beaucoup trop ennuyeux.

A l’impossible, nul n’est tenu…

Mais pour couper court à toutes les billevesées parisiennes, je voudrais simplement rappeler :

Que depuis cinq ans, la dette de l’Etat Français n’a cessé de grimper et se rapproche dangereusement des 100 % du PIB et que cette dette est montée allégrement de 4. 5 % par an alors même que le PIB du secteur privé lui ne montait que de moins de 1 % par an et que la production industrielle baissait de 0. 2% par an.

Que le chômage (catégories A, B, C) est monté de plus de 1 millions de personnes depuis l’élection de notre grand homme.

Que les comptes courants (nouveau nom de la balance avec l’extérieur) sont toujours en déficit.

Que le poids de l’Etat dans l’économie est à plus haut historique qui frise les 60 %, ce qui prouve que la France souffre bien d’un excès de libéralisme, ce dont toute la gauche est convaincue.

Les lecteurs pourront compléter cette liste à leur gré, tant je suis sur qu’ils ont tous des idées à mentionner sur les nombreux succès économiques de notre héros au sourire si sot. Mais là où je m’amuse, c’est quand ces mêmes personnes nous disent que leur boule de cristal leur annonce une amélioration substantielle de la situation dans les 12 mois qui viennent.

Voilà qui me fait penser aux vœux prononcés par Nicolas II le Tsar de toutes les Russies en Décembre 1916 pour souhaiter une bonne année à son peuple. Il avait expliqué que l’année 1916 avait été horrible et que donc 1917 ne pouvait être que meilleure… Brillante prévision s’il en fut…

Et, de fait, je me fais un peu de souci pour 2017.

Il est en effet dans ma nature et parce que c’est requis par mon métier, non pas d’essayer de scruter l’avenir car cela est impossible mais de regarder des événements qui se passent aujourd’hui et qui annoncent peut-être un avenir qui ne va pas chanter tant que cela.

Et quelque chose commence à me donner du souci : les taux français sur les obligations à 10 ans s’écartent depuis quelques temps des obligations allemandes sur la même duration. Que le lecteur veuille bien considérer le graphique ci-dessous.

spread germany france and stock market

La ligne rouge, c’est simplement l’écart des taux entre les 10 ans allemands et les 10 ans français, cet écart des taux étant aujourd’hui aux alentours de 50 points de base. La ligne bleue c’est la moyenne mobile sur les deux dernières années de cet écart des taux. En bas, en noir, nous avons l’indice des cours des valeurs bancaires européennes. Et enfin le hachurage gris représente les périodes de récession dans l’économie française.



Et bien chaque fois depuis 25 ans que l’écart de taux entre l’Allemagne et la France se creuse (ligne rouge sous la ligne bleue) et que les cours des valeurs bancaires baissent, nous avons eu une récession en France.



Pourquoi ?

Tout simple : A chaque fois cela voulait dire qu’une attaque sur le franc français quand il existait ou sur l’Euro (depuis que le ff a disparu) était en préparation. Et que cette attaque allait mettre à mal le bilan des banques européennes bourré d’obligation françaises, italiennes ou espagnoles, ce qui allait nous amener dans une récession.

Or, à mon avis, le feu est allumé sous la marmite de l’euro depuis les élections italiennes au moins et en conséquence la marmite peut menacer de déborder à tout moment.



Et donc ma conclusion sur monsieur Hollande sera la suivante : Tout le monde a l’air de penser qu’il ne va plus rien se passer politiquement en France jusqu’à la fin Mai et que tout ce que monsieur Hollande a à faire c’est expédier les affaires courantes.

Je n’en suis pas sûr du tout.

Une nouvelle crise sur l’Euro peut arriver à tout moment, et de droit ce sera à monsieur Hollande et à monsieur Sapin de prendre les décisions qui s’imposeront alors qu’ils n’auront plus la moindre légitimité pour le faire. Ce qui voudra dire que Bruxelles ou la BCE n’auront aucun interlocuteur en face d’eux quand il faudra prendre des décisions désagréables en pleine campagne présidentielle. Et monsieur Hollande ne pourra pas demander à monsieur Fillon de venir l’aider, puisque ce serait faire le jeu du FN ou de l’extrême gauche.



Voilà qui va plaire à Marine, Mélenchon et autres Montebourg et nourrir les discussions pendant une campagne électorale qui s’annonce peut-être un peu plus animée que la classe politique ne le croit, en particulier sur la nécessité de rester ou non dans l’euro…

Un bon sondage ou deux pour Marine, et le coup peut partir à tout moment.

Voilà qui pourrait être plaisant compte tenu de la capacité à prendre des décisions de notre Président sortant.

A mon avis, si le coup partait, si une crise de l’euro se déclenchait pendant la campagne présidentielle française, ça risquerait de sentir le sapin assez vite…



http://institutdeslibertes.org/pour-avo ... -hollande/


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 17 Jan 2017 19:44 
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http://www.telegraph.co.uk/business/201 ... t-dollars/

conclusion intéressante

l'article était passé entre mes mailles (RESET/jubilee)

Citer:
Perils of the Icarus Trade as the world runs short of dollars

Ambrose Evans-Pritchard Ambrose Evans-Pritchard

11 January 2017 • 8:15pm

47 Comments
Icarus
Breugel's strange depiction of the Fall of Icarus, inspired by the poem from Ovid

Bank of America calls it the Icarus Trade. Global stock markets will surge by another 10pc in a parabolic 'melt-up' this quarter, akin to the final stage of the dotcom boom.

This will be followed by a mirror 'melt-down' later in 2017 as the US Federal Reserves squeezes global liquidity, and rising bond yields puncture the Trump reflation trade.

Michael Hartnett, the bank's investment strategist, says there will be a perfect moment for the 'Big Short' within a few months, but first we must all wait for the speculative fever to pass. The warning signs of a market top are not yet flashing red.

The Bull/Bear ratio is a frothy 3.4, but far from extreme. The cash reserves of money managers have fallen to a 19-month low of 4.8pc. The danger zone is nearer 4pc. Powerful rallies tend to draw all but the most steely resisters into the vortex first.

Bank of America recommends "laggard risk assets", singling out British assets as the ultimate unloved play. We in the UK may think that the headline rise of the FTSE-250 over the last twenty months is not so bad, but for sophisticated investors who think in dollar terms it has been a 20pc haircut. Britain PLC is cheap.

Picking the last pennies off tracks before an incoming train is only for the nimble and brave. Mr Hartnett says bond stress is creeping up on the markets. The peak-to-trough losses for holders of US Treasuries over the last five months are already greater than before the 1987 crash, the Orange County and Mexico blow-ups in 1994, and is not far short of the 'taper tantrum' in 2013.

The great unknown is where the pain threshold lies in a global system with debt ratios that are now roughly 40pc of GDP higher than just before the Lehman crisis. Bank of America fears a further rise in yields of 50 to 75 basis points may be enough to trigger a "financial event".

HSBC's latest global outlook is even darker. Indeed, it is astonishing. The bank expects yields on 10-year US Treasuries to push a little higher to 2.5pc before crashing back to historic lows of 1.35pc by the end of the year, taking global yields with them.

Markets will conclude by the summer that Trumpian stimulus does not add up to much, and that the reflation narrative is a hoax. "We believe that equities are walking a tightrope, and there is a fairly long way to fall," said the bank.

While I do not take a view on stock prices, HSBC's outlook is broadly in line with my own. The world cannot easily withstand the sort of Fed tightening now being etched into forecasts by the macro-economic fraternity.

The Institute of International Finance says debt has reached $217 trillion, a record ratio of 325pc of GDP. What is remarkable is that even in mature economies - trying to 'deleverage' - the ratio jumped by 6pc of GDP to 390pc over the first nine months of last year.

There is almost nowhere left to hide. Corporate debt in emerging markets has risen from $6.5 trillion to $25.5 trillion since Lehman, with the 'credit gap' signalling danger in China, Hong Kong, Singapore, Thailand, Saudi Arabia, Chile, Turkey, and Indonesia. Total off-shore dollar debt has risen fivefold to $10 trillion since 2000.

The financial system is clearly out of kilter. The pattern of the last 35 years is a steadily falling "natural" rate of interest, requiring ever more radical action by central banks at the trough of each cycle.

The policy elites badly misjudged the force of this 'Wicksellian' slide in the build-up to the global crisis in 2008. While the subprime saga makes for electrifying Holywood films, it was not the reason why the Western banking system collapsed.

The trigger of the crash was overly tight money. The European Central Bank raised rates into the teeth of the storm. Hawkish Fed rhetoric from March to August 2008 pushed up US borrowing costs sharply, ignoring warnings from some of their own staff that the money supply was by then imploding. Both banks under-estimated the fragility of the system.

Central bankers are more alert this time but they have not scrapped their infamous 'DSGE' models, and I suspect that political pressure - from Congress, or regional Fed banks, or from Germany - will cause them to over-tighten again. We may find that three US rate rises and even a smidgeon of ECB tapering are all it takes to detonate the next crisis.


Icarus
Matisse's collage of Icarus has a dreamy feel

Markets seem to be betting that Donald Trump's fiscal largesse will be large enough to break the deflationary grip. HSBC says they are "cherry-picking the good bits" from his campaign.

We do not yet know whether his infrastructure plan really exists. There will certainly be tax cuts but circumstances are nothing like the Reagan stimulus of the early 1980s when the US was coming out of recession.

The Fed's Stanley Fischer has hinted strongly that rates will rise by 50 basis points to counter each 1pc of GDP in fiscal stimulus, given the late stage of the economic cycle and the incipient labour shortage.

So either it turns out that Trump is mostly bluster - and therefore little has changed - or we get real stimulus and the Fed goes on the war path. This would push the dollar to nose-bleed levels, squeezing emerging markets until the pips squeak.

HSBC warns that Mr Trump's ‘tax holiday’ for US corporate profits held overseas could make matter worse. A surge in repatriation at the wrong moment would withdrawing yet more dollar liquidity from the Asia, Latin America, and the Mid-East.

The key point is that world has changed since the Reagan era. The US is no longer the economic hegemon or buyer-of-last resort for global imports, but it is still the monetary hegemon through unprecedented levels of dollarisation.

This is a dangerous split. The global economy may face the full brunt of a dollar shock, without the trade benefits that used to offset such strong dollar episodes. This could happen even if Mr Trump resists the urge to start a few trade wars.

"The US now accounts for a much smaller share of global demand than it did over a decade ago and its high income level and ageing population mean that more than two-thirds of US consumer spending is now on services," said Janet Henry, HSBC's chief economist.

Whether you think the deflationary supercycle since 1980 has really touched bottom depends on what you think caused it in the first place. If it was a one-off shock caused by globalisation and the entry of the Communist world into the capitalist system, it will self-correct over time.

The counter view is that it stems from a deeper corrosion of monetary policy. The BIS calls it the bad habit of asymmetry: letting asset bubbles run their course, but pulling out all the stops to deal with busts. This amounts to slow intertemporal poison. It draws prosperity from the future. The trap eventually closes on central banks.

If such thinking is valid, the only way out is repudiation of debt, a jubilee of sorts. These are rarely gentle affairs.






trad auto pour numerusclausus :

https://translate.google.com/translate? ... edit-text=

Citer:
Entreprise

Les périls du commerce d'Icare, le monde manquant de dollars

Ambrose Evans-Pritchard Ambrose Evans-Pritchard

11 janvier 2017 • 20h15

Icare
La représentation étrange de Breugel de la chute d'Icare, inspirée par le poème d'Ovide

B ank of America l'appelle le commerce d'Icare. Les marchés boursiers mondiaux connaîtront une hausse de 10 p. 100 dans un «melt-up» parabolique ce trimestre, proche de la phase finale du boom des dotcoms.

Ce sera suivi par un miroir «fondre» plus tard en 2017 que les réserves fédérales américaines compresser la liquidité mondiale, et la hausse des rendements obligataires percer le commerce Trump rélation.

Michael Hartnett, stratège d'investissement de la banque, affirme qu'il y aura un moment idéal pour le «Big Short» en quelques mois, mais tout d'abord nous devons tous attendre que la fièvre spéculative passe. Les signes avant-coureurs d'un top de marché ne sont pas encore clignotants rouges.

Le rapport Bull / Bear est un 3.4 mousseux, mais loin de l'extrême. Les réserves de liquidités des gestionnaires de fonds ont chuté à un minimum de 19 mois de 4,8pc. La zone de danger est plus proche de 4pc. Les rallyes puissants tendent à attirer tout d'abord les résistants les plus fermes dans le vortex.

Bank of America recommande des «actifs à risque retardé», en désignant les actifs britanniques comme le jeu ultime non aimé. Au Royaume-Uni, nous pensons peut-être que la hausse du titre du FTSE-250 au cours des vingt derniers mois n'est pas si mauvaise, mais pour les investisseurs sophistiqués qui pensent en dollars il a été une décote de 20pc. Britain PLC est bon marché.

P icking les derniers pennies hors pistes avant un train entrant est seulement pour les agiles et courageux. M. Hartnett affirme que le stress lié aux obligations est en hausse sur les marchés. Les pertes de pointe pour les détenteurs de bons du Trésor américain au cours des cinq derniers mois sont déjà plus importantes qu'avant l'accident de 1987, le comté d'Orange et le Mexique a explosé en 1994, et n'est pas loin de la crise de conicité en 2013 .

La grande inconnue est où le seuil de la douleur se trouve dans un système mondial avec des ratios d'endettement qui sont maintenant environ 40pc de PIB plus élevé qu'avant la crise de Lehman. Bank of America craint qu'une nouvelle hausse des rendements de 50 à 75 points de base puisse suffire pour déclencher un «événement financier».

Les dernières perspectives mondiales de HSBC sont encore plus sombres. En effet, c'est étonnant. La banque s'attend à ce que les rendements sur les bons du Trésor américain à 10 ans poussent un peu plus haut à 2.5pc avant de s'écraser vers des bas historiques de 1.35pc d'ici la fin de l'année, en prenant des rendements globaux avec eux.

Les marchés finiront d'ici l'été que le stimulus de Trumpian ne s'ajoute pas à beaucoup, et que le récit de la reflation est un canular. "Nous croyons que les actions marchent sur une corde raide, et il ya un assez long chemin à tomber", a déclaré la banque.

Bien que je ne prenne pas une vue sur les cours des actions, les perspectives de HSBC sont largement en ligne avec la mienne. Le monde ne peut pas facilement résister à la sorte de resserrement de la Fed maintenant gravé dans les prévisions par la fraternité macro-économique.

L'Institut des Finances Internationales dit dette a atteint 217 billions de dollars, un ratio record de 325pc du PIB. Ce qui est remarquable, c'est que même dans les économies développées - en essayant de «désendettement» - le ratio a bondi de 6pc du PIB à 390pc sur les neuf premiers mois de l'année dernière.

Il n'y a presque nulle part à cacher. La dette des entreprises dans les pays émergents est passée de 6,5 billions de dollars à 25,5 billions de dollars depuis Lehman, le «manque de crédit» signalant un danger en Chine, à Hong Kong, à Singapour, en Thaïlande, en Arabie saoudite, au Chili, en Turquie et en Indonésie. Le total de la dette en dollars offshore a quintuplé à 10 000 milliards de dollars depuis 2000.

Le système financier est clairement hors de portée. La tendance des 35 dernières années est un taux d'intérêt «naturel» en constante diminution, exigeant une action toujours plus radicale des banques centrales au creux de chaque cycle.

Les élites politiques ont mal évalué la force de cette glissade «Wicksellian» dans l'accumulation de la crise mondiale en 2008. Alors que la saga subprime permet d'électrifier les films de Holywood, ce n'est pas la raison pour laquelle le système bancaire occidental s'est effondré.

Le déclencheur de l'accident était trop serré. La Banque centrale européenne a relevé les taux dans la tempête. La rhétorique de la Fed de mars à août 2008 a fortement soulevé les coûts d'emprunt des États-Unis, ignorant les avertissements de certains membres de leur personnel selon lesquels la masse monétaire était alors implosée. Les deux banques ont sous-estimé la fragilité du système.

Les banquiers centraux sont plus vigilants cette fois-ci, mais ils n'ont pas abandonné leurs infâmes modèles «DSGE», et je soupçonne que les pressions politiques - du Congrès, des banques régionales de la Fed ou de l'Allemagne - les feront encore trop serrer. Nous pouvons constater que trois hausses de taux américaines et même un smidgeon de BCE effilée sont tout ce qu'il faut pour faire exploser la prochaine crise.

Icarus
Matisse collage d'Icare a une sensation de rêve

M arkets semblent parier que la générosité fiscale de Donald Trump sera assez grande pour briser l'adhérence déflationniste. HSBC dit qu'ils sont "cherry-picking les bons morceaux" de sa campagne.

Nous ne savons pas encore si son plan d'infrastructure existe vraiment. Il y aura certainement des réductions d'impôt, mais les circonstances ne ressemblent en rien au stimulus de Reagan du début des années 1980, alors que les États-Unis sortaient de la récession.

Stanley Fischer de la Fed a laissé entendre fortement que les taux augmenteront de 50 points de base pour contrer chaque 1pc du PIB dans le stimulus budgétaire, étant donné la phase tardive du cycle économique et la pénurie de main-d'œuvre naissante.

Donc, soit il s'avère que Trump est surtout blousse - et donc peu a changé - ou nous obtenons un véritable stimulus et la Fed va sur la voie de la guerre. Cela pousserait le dollar à des niveaux de saignement de nez, serrant les marchés émergents jusqu'à ce que les pépins crier.

HSBC prévient que le «congé fiscal» de M. Trump pour les bénéfices des sociétés américaines détenus à l'étranger pourrait aggraver la situation. Une montée en flèche du rapatriement au mauvais moment retirerait encore plus de liquidités en dollars de l'Asie, de l'Amérique latine et du Moyen-Orient.

Le point clé est que le monde a changé depuis l'ère Reagan. Les États-Unis ne sont plus l'hégémon économique ou l'acheteur de dernier recours pour les importations mondiales, mais c'est encore l'hégémonie monétaire par des niveaux de dollarisation sans précédent.

C'est une scission dangereuse. L'économie mondiale risque d'être confrontée au choc du dollar, sans les avantages commerciaux qui ont servi à compenser ces épisodes de fort dollar. Cela pourrait se produire même si M. Trump résiste à l'envie de commencer quelques guerres commerciales.

«Les États-Unis représentent maintenant une part beaucoup plus faible de la demande mondiale qu'il ya plus de dix ans et son niveau de revenu élevé et le vieillissement de la population signifient que plus des deux tiers des dépenses des consommateurs américains sont maintenant sur les services», a déclaré Janet Henry, économiste en chef.

Si vous pensez que le supercycle déflationniste depuis 1980 a vraiment touché le fond dépend de ce que vous pensez l'a causé en premier lieu. S'il s'agissait d'un choc ponctuel causé par la mondialisation et l'entrée du monde communiste dans le système capitaliste, il se corrigerait au fil du temps.

Le contre-point de vue est qu'il provient d'une corrosion plus profonde de la politique monétaire. La BIS l'appelle la mauvaise habitude de l'asymétrie: laissant les bulles d'actifs faire leur course, mais en tirant tous les arrêts pour faire face aux bustes. Cela revient à ralentir le poison intertemporel. Il tire la prospérité de l'avenir. Le piège se termine finalement sur les banques centrales.

Si une telle pensée est valable, la seule issue est la répudiation de la dette, un jubilé en quelque sorte. Ce sont rarement des affaires douces.
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 18 Jan 2017 15:42 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 18 Jan 2017 15:43 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 18 Jan 2017 15:48 
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ça va partir les mecs nouvelle mission


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