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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 19 Jan 2017 15:05 
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silvercoulous a écrit:
*SCHAEUBLE: ECB STANCE CREATES `POLITICAL PROBLEMS' IN GERMANY


RAUS RAUS §

Shnell :!:

:arrow:


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 22 Jan 2017 01:11 
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http://www.reuters.com/article/us-ecb-eurozone-idUSKBN1542KL

Nimporte quel pays peut quitter la zone euro.... dixit Draghi.... :o :shock: :o :shock:

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"Your keep your US dollars and I keep my Gold" (Marc Faber, janvier 2013)


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 23 Jan 2017 12:09 
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Les grands créanciers de l’Amérique réduisent leur stock de bons du Trésor
Isabelle Couet Le 23/01 à 06:00Mis à jour à 10:50
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Les grands créanciers l’Amérique réduisent stock bons Trésor
Les grands créanciers de l’Amérique réduisent leur stock de bons du Trésor
Les investisseurs publics étrangers, notamment la Chine, réduisent leur exposition à la dette américaine. Une tendance qui peut inquiéter Washington.
Entre avril et novembre, le déclin du stock de « Treasuries » détenu par les étrangers a atteint le niveau impressionnant de 340 milliards. Cela peut-il devenir une source d\'inquiétude pour Washington ?
Entre avril et novembre, le déclin du stock de « Treasuries » détenu par les étrangers a atteint le niveau impressionnant de 340 milliards. Cela peut-il devenir une source d'inquiétude pour Washington ?

Les investisseurs étrangers détiennent désormais moins de 6.000 milliards de dollars d'emprunts du Trésor américains. Un plus bas depuis mai 2014, selon les données du Trésor. En novembre, le stock de dette américaine détenu par ces créanciers a diminué de 96 milliards de dollars, dont 66 milliards imputables à la Chine, qui a vu son portefeuille fondre durant six mois d'affilée.

« Ces données sont regardées de près », souligne Chiara Cremonesi, stratégiste chez UniCredit. Entre avril et novembre, le déclin du stock de « Treasuries » détenu par les étrangers a en effet atteint le niveau impressionnant de 340 milliards. « Les investisseurs du secteur public représentent 300 milliards du total », détaille la spécialiste. En tête, la Chine (qui possède encore 1.000 milliards d'emprunts américains). « Pékin vend ses réserves en dollars pour freiner la dépréciation de sa devise », explique Chiara Cremonesi. Ce mouvement devrait d'ailleurs se poursuivre. Les analystes de Société Générale estiment que la baisse des réserves de change chinoises pourrait s'élever à 300 milliards de dollars en 2017.
« Sources majeures de tensions »

Les autres gros vendeurs de « Treasuries » ont été l'Arabie saoudite, qui réagit à la baisse des revenus pétroliers, le Mexique, obligé de puiser dans ses réserves de change, et la Belgique, qui est l'une des capitales mondiales pour la compensation et le règlement des transactions. « Il est intéressant de noter que même le Japon [premier créancier des Etats-Unis depuis fin 2016] s'est mis à vendre des titres en septembre, même si le rythme est resté très modeste jusqu'en novembre », relève la stratégiste d'UniCredit.

Washington doit-il s'inquiéter ? « Cette tendance a déjà sûrement contribué à la tension sur les taux américains, en plus de l'élection de Trump et de la perspective d'une remontée générale des prix, estime Chiara Cremonesi. Si elle se poursuit, cela pourrait devenir une source majeure de tensions, notamment si les émissions de dette américaine augmentent. » Or, les promesses de relance budgétaire faites par le nouveau locataire de la Maison-Blanche annoncent bien un creusement du déficit extérieur. « Si les réserves de change mondiales continuent à ne pas augmenter, les banques centrales ne pourront pas financer le déficit américain et il faudra donc qu'il le soit par des capitaux privés », indique Patrick Artus chez Natixis. Justement, pour l'instant le secteur privé résident et non résident (hors banques) a permis de limiter les dégâts. Les Etats-Unis n'ont plus qu'à espérer qu'il ne change pas d'avis.


http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 059189.php


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 23 Jan 2017 12:53 
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http://www.latribune.fr/opinions/tribun ... 31732.html

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Trump : les illusions des marchés financiers

Par Robert J Shiller | 23/01/2017, 10:28 | 1093 mots

(Crédits : Reuters)
Les marchés financiers américains s'enthousiasment de l'arrivée de Trump au pouvoir et pour la perspective d'un Dow Jones à 20.000 points. Mais la désillusion guette... Par Robert J. Shiller, prix Nobel d'économie.

Les marchés spéculatifs se sont souvent nourris d'illusions. Mais percevoir la folie des marchés ne donne pas forcément un avantage comparatif, car les le mode d'expression des illusions de marchés reste difficile à prévoir.

Aux États-Unis, les marchés s'illusionnent aujourd'hui de deux manières. D'une part, ils considèrent Donald Trump comme un génie des affaires, capable de rendre sa grandeur à l'Amérique grâce à ses talents de négociateur. D'autre part, ils parient tous sur un Dow Jones proche des 20 000 points. L'indice Dow Jones est au dessus de 19 000 points depuis le mois de novembre et d'innombrables articles évoquent cette perspective des 20.000 points (le Dow Jones se situait à 19.814 vendredi 20).

Trump n'a jamais été très clair sur ses intentions en tant que président. Les réductions d'impôts sont clairement prévues et cela pourrait entraîner une hausse du prix des actifs. Un impôt sur les sociétés réduit est naturellement censé entraîner une hausse des prix des actions, alors que des réductions de l'impôt sur le revenu pourraient entraîner une hausse des prix du logement.
Un président atypique

Mais ce ne sont pas seulement les évolutions fiscales proposées par Trump qui jouent sur la psychologie du marché. Les États-Unis n'ont jamais eu un président comme lui. Non seulement c'est un acteur comme Ronald Reagan, mais il s'est fait un nom dans l'immobilier et il apparaît comme un négociateur coriace. Il pourrait même avoir en définitive réussir dans les affaires.
Un parallèle avec Coolidge

Le meilleur parallèle qui nous vient à l'esprit pour mettre Trump en balance avec d'anciens présidents des États-Unis est peut-être Calvin Coolidge, qui fut extrêmement favorable à une réduction des impôts en faveur des entreprises. « La grande affaire du peuple américain, ce sont les affaires », avait déclaré Coolidge, tandis que son Secrétaire du Trésor Andrew Mellon, l'un des hommes les plus riches d'Amérique, plaidait pour des baisses d'impôt pour les riches, qui devaient « être réinjectées dans l'économie » et bénéficier aux moins fortunés.

L'économie américaine était très prospère durant l'administration Coolidge, mais le boom s'est mal terminé en 1929, juste après la démission de Coolidge avec le krach boursier et le début de la Grande Dépression. Au cours des années 1930, les années 1920 étaient considérées avec nostalgie, mais également comme une époque d'imposture et de tricherie.

Bien sûr, l'histoire ne se répète pas. En outre, contrairement à Trump, Coolidge et Mellon avaient la tête sur les épaules et étaient de tendance modérée.

Mais ajoutez à l'effet Trump toute l'attention accordée au Dow Jones à 20 000 points et vous obtenez tous les ingrédients d'une puissante illusion. Le 10 novembre 2016, deux jours après l'élection de Donald J. Trump, le Dow Jones avait atteint un nouveau record et a depuis établi plus de 16 records journaliers, dont les média avaient abondamment parlé.
Des chiffres illusoires

Il faut cependant relativiser. En fait, le Dow Jones avait déjà établi neuf records avant les élections, quand Hillary Clinton était pressentie comme gagnante. En termes nominaux, le Dow Jones est en hausse de 70 % par rapport au sommet atteint en janvier 2000. Le 29 novembre 2016, on a annoncé que l'indice des prix nationaux américains S&P/CoreLogic/Case-Shiller (que j'ai co-fondé avec mon estimé collègue Karl E. Case, décédé en juillet dernier), avait atteint un record à la hausse en septembre dernier. Le précédent record avait été établi plus de dix ans auparavant, en juillet 2006.

Mais ces chiffres sont illusoires. Les États-Unis ont une politique nationale d'inflation globale. La Réserve fédérale américaine a fixé un « objectif » d'inflation de 2 % en termes d'indice implicite des dépenses de consommation personnelle. Cela signifie que tous les prix ont tendance à augmenter en principe d'environ 2 % par an, soit de 22 % par décennie.
Une hausse du Dow Jones limitée à 19% depuis 2000, en valeur réelle

Le Dow Jones n'a augmenté que de 19 % en valeur réelle (une fois l'inflation défalquée), depuis 2000. Une augmentation de 19 % en 17 ans est décevante et l'indice des prix nationaux américains créé par Case et moi-même est toujours inférieur de 16 % par rapport à son pic de 2006 en termes réels. Mais presque personne n'accorde d'importance à ces chiffres indexés sur l'inflation.

La Fed, comme les autres banques centrales du monde, ne cesse d'affaiblir la monnaie, afin de créer de l'inflation. Une recherche sur Google montre que l'utilisation de l'expression « ciblage de l'inflation » (inflation-targeting), a commencé à croître de manière exponentielle au début des années 1990, quand la cible était généralement bien inférieure à l'inflation réelle. L'idée qu'une inflation positive modérée - la « stabilité des prix », pas l'inflation zéro - semble avoir commencé à prendre forme dans les milieux politiques à l'époque de la récession de 1990-1991. Lawrence Summers a fait valoir que les salariés opposent une résistance « irrationnelle » à la baisse des salaires nominaux que certains devraient subir dans un régime à inflation zéro.

Irving Fisher a appelé cette obsession de la croissance nominale (le PIB ou le Dow Jones augmentent, avant prise en compte de la hausse des prix) une « illusion monétaire » dans un livre éponyme de 1928.
Marches aléatoires

Les variations sur les prix des actions ont tendance à suivre des « chemins aléatoires »: les prix reflètent les petits chocs quotidiens qui ont à peu près autant de chances d'être positifs que négatifs. Quand les marchés se situent sous un record établi précedemment; la probabilité d'aller vers un nouveau sommet est négligeable, tant la marche à franchir est importante. Mais une fois un nouveau record atteint, la probabilité de parvenir à faire encore mieux est plus grande.

Aux États-Unis, la combinaison de Trump et d'une succession de nouveaux records des prix des actifs (appelons cela un effet Trump au carré), maintiennent l'optimisme du marché actuel. Pour ceux qui ne sont pas trop angoissés d'avoir pris des positions extrêmes sur les marchés, il sera intéressant (sinon rentable), d'observer comment l'illusion Trump se métamorphose en une nouvelle perception.

___

Robert J. Shiller, prix Nobel d'économie de 2013 et professeur d'économie à l'Université de Yale, co-auteur, avec George Akerlof, de Phishing for Phools: The Economics of Manipulation and Deception.

© Project Syndicate 1995-2017


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 24 Jan 2017 11:26 
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https://www.research.natixis.com/Global ... R8dI6CSg==


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 24 Jan 2017 13:16 
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Hussman en mode Alerte rouge


https://www.hussmanfunds.com/wmc/wmc170123.htm


trad auto google


Citer:
23 janvier 2017

Rare Signatures

John P. Hussman, Ph.D.
Tous droits réservés et activement appliqués.
Politique de réimpression

La clé pour tirer des informations utiles à partir de données bruyantes est de s'appuyer sur de multiples «capteurs». Seuls, chaque capteur peut capturer seulement une petite partie du signal vrai, et peut ne pas être grandement utile en soi. La puissance vient quand les capteurs sont utilisés ensemble afin de distinguer le signal commun d'intérêt du bruit environnant. Par exemple, un bon médecin diagnostique un patient en recueillant un historique et un ensemble d'observations de divers capteurs (tests, mesures, symptômes, etc.), en recherchant diverses «signatures» ou combinaisons de preuves qui sont compatibles avec une condition spécifique ou un autre. Plus généralement, une «signature» est toute combinaison distincte de caractéristiques qui est associée à une identité spécifique, une condition ou un résultat.

La raison pour laquelle les médecins font signe lorsque les gens se diagnostiquent eux-mêmes en utilisant Internet est que les gens ont tendance à se concentrer sur les symptômes individuels plutôt que de chercher des signatures complètes et bien informées. Un symptôme unique, comme le mal de tête, peut être associé à des dizaines de conditions, alors même s'il peut être une preuve informative, ce n'est pas suffisant. Un seul symptôme est généralement un prédicteur faible en soi et ne devient utile que dans le contexte d'autres preuves. Parce que les patients se concentrent sur les symptômes isolés plutôt que les syndromes, les médecins reçoivent régulièrement des appels frénétiques de patients qui ont auto-diagnostiqué une tumeur au cerveau. Oui, une infime fraction de ces patients peut effectivement avoir une tumeur au cerveau, mais ce diagnostic n'est confirmé que sur la base d'un syndrome d'autres conclusions.

Sur les marchés financiers, les capteurs utiles incluent les évaluations, l'action sur les prix, les mesures de sur-achat / sur-vente, l'ampleur, le leadership, le sentiment, le comportement du marché du crédit, la volatilité, les facteurs économiques et bien d'autres. Avant la récente demi-période d'avancement depuis 2009, notre dépendance à l'égard des «signatures» tirées de plusieurs capteurs nous a permis d'anticiper correctement les effondrements de 2000-2002 et 2007-2009 (avec des estimations de pertes précises pour les deux) À une perspective constructive du marché après chaque baisse du marché baissier sur plus de trois décennies.

Comme je l'ai détaillé régulièrement, l'émergence d'un syndrome «surévalué, surconsommation, surenchère» des conditions du marché a historiquement été un puissant avertissement contre de nouvelles spéculations. Dans les cycles antérieurs de l'histoire, l'apparition de ce syndrome a été régulièrement accompagnée ou suivie de près par la détérioration des marchés intérieurs (une indication de subtil risque sous-jacent de l'aversion chez les investisseurs), et une forte baisse du marché serait généralement suivre. Dans le demi-cycle depuis 2009, notre dépendance à cet aspect de l'histoire s'est révélée coûteuse, car la recherche de rendements induite par la Fed ("il n'y a pas d'alternative!") A encouragé les investisseurs à spéculer longtemps après l'apparition de graves syndromes «surévalués, surconsommés, . Au milieu de 2014, nous nous sommes adaptés en imposant une contrainte supplémentaire à nos méthodes: en présence de taux d'intérêt zéro, il fallait attendre que les marchés intérieurs se dégradent explicitement avant d'adopter des perspectives de marché négatives.

Rares signatures

Actuellement, la politique de la Fed a atteint le «liftoff» du taux d'intérêt zéro lié, et en dépit de la récente post-élection blowoff, nos mesures clés des internes du marché restent défavorables ici. Étant donné cet environnement, je m'attends à ce que les extrêmes surévalués, surconsommés et surchargés que nous observons présentement puissent avoir des conséquences dures, comme ils l'ont fait dans des cycles antérieurs. Nous reporterons nos inquiétudes immédiates si les marchés intérieurs passent à une situation plus favorable, mais en tout cas, nous constatons un net élargissement du nombre de drapeaux rouges et de signaux d'alerte que nous surveillons. J'ai noté ces dernières semaines que notre variante la plus extrême des conditions «surévaluées, surconsommation, surbouchant» a émergé; Un signal secondaire à un niveau sur le S & P 500 environ 4% plus élevé que le syndrome que nous avons observé en Juillet. Mis à part un ensemble de faux signaux à la fin de 2013 et au début de 2014 à la hauteur de l'enthousiasme zéro taux d'intérêt, tous les autres cas de ce syndrome a été associé à un pic majeur du marché, y compris 1929, 1972, 1987, 2000 et 2007 .

La semaine dernière, un ensemble inhabituel de classificateurs que nous surveillons a soulevé des drapeaux rouges, avec deux de nos trois «signatures de collision» maintenant suggérant la probabilité d'une perte de marché de plus de -25% dans les mois à venir (la dernière fois que ces signatures étaient actives Était entre avril et octobre 2008). Cela représenterait potentiellement la salve d'ouverture d'une finition plus étendue au cycle de marché actuel. Aucune variable unique ne pilote ces signatures. Au contraire, ils captent des combinaisons inéquitables de conditions de marché qui peuvent inclure des évaluations offensives, la dispersion à travers les marchés internes, la faiblesse du marché du crédit, un sentiment haussier déséquilibré, le resserrement de la Réserve fédérale ou d'autres caractéristiques. Bien que ces signatures soient quantitatives, j'ai l'impression qu'il y a beaucoup plus de risques de perturbation économique et sociale que ce qui semble se refléter dans le ton spéculatif actuel. Je devrais aussi être clair que ces signatures ne sont pas des prévisions, mais des classifications que nous avons construites pour identifier des événements très inhabituels. La différence est qu'une prévision indique «nous nous attendons à ce résultat particulier dans ce cas précis», alors qu'un classificateur dit «nous identifions la même signature de conditions qui a régulièrement précédé ce résultat particulier dans le passé.» C'est une distinction subtile, mais un Important. Nous ne devons pas compter sur les prévisions. Plutôt, nous continuons à nous aligner sur les preuves qui prévalent à chaque moment, et nos perspectives évolueront comme les preuves le font.


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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 24 Jan 2017 13:28 
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Si un krach boursier doit avoir lieu, il est de l'intérêt de Trump qu'il arrive le plus vite possible afin de pouvoir blâmer l'administration Obama :twisted:

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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 24 Jan 2017 17:23 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 24 Jan 2017 17:24 
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 Sujet du message: Re: la Phase PANIQUE
MessagePublié: 25 Jan 2017 13:03 
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ou la la la cuvée du jour est particulièrement optimiste :lol: :lol: :lol:


https://www.research.natixis.com/Global ... MJVevT8A==
Pièce jointe:
Risque dettes publiques zone euro.pdf [441.59 Kio]
Téléchargé 68 fois


https://www.research.natixis.com/Global ... _agP2C6A==
Pièce jointe:
scenario catastrophe zone euro 2017.pdf [477.55 Kio]
Téléchargé 108 fois



https://www.research.natixis.com/Global ... UWNIYS-g==
Pièce jointe:
draghi irreversibilite qe.pdf [491.89 Kio]
Téléchargé 71 fois


https://www.research.natixis.com/Global ... -vRuzstw==
Pièce jointe:
surchauffe US.pdf [393.35 Kio]
Téléchargé 68 fois


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