Je vous invite à découvrir ce site.....surprenant
http://serviteurdubienpublic.blogspot.f ... uples.html Silence ! On asservit les peuples...
L'ANTI-MONNAIE
Ou le SUMMUM du détournement de l'ART bancaire
Extrait
La « GROSSSSE ASSSTUSSSSSSSE » a consisté, l'année dernière (An satanique 2008) à présenter aux Peuples occidentaux et du reste du monde cette rupture comme effective sous apparence d'une « crise économique » inventée de toutes pièces. Bien sûr, l'organisation mondiale a anticipé sur l'événement de manière a précéder de quelques années ladite rupture du système quasi-monétaire inévitable, prévisible et prévue de longue date qui aurait probablement engendré une vraie « Crise » dans le foutoir actuel ! S'étant ainsi « donné du temps au temps » selon la formule célèbre d'un de nos hommes politiques, le « système bancaire » a ordonné aux Chefs d'Etats d'enclencher la phase quatre de l'évolution quasi-monétaire. Désormais, depuis 16 mois, l'ANTI-MONNAIE succède à la monnaie-crédit, dont elle prolonge la vie : la monnaie est morte, vive la monnaie ! On notera qu'aucune des précédentes formes monétaires n'est totalement abandonnée car il faut d'une part laisser aux Peuples le temps de s'acclimater à la nouvelle formule, d'autre part les anciennes formes servent de berceau à la nouvelle. Une sorte de parthénogénèse monétaire en quelque sorte qui prolonge une gestation de 3.500 ans avant l'accouchement des temps nouveaux bénis par…
XXXX à l'Aurore du XXIème siècle.
L'Anti-monnaie c'est la « Pierre philosophale », l'aboutissement des travaux alchimistes bancaires multiséculaires. C'est le moyen rêvé par tant de dirigeants bancaires, de la transmutation automatique d'autant de monnaie qu'ils veulent grâce à l'ART bancaire, porté à son SUMMUM… de déviance. Les banquiers droguent ainsi toute l'économie mondiale, européenne et française avec leur monnaie-crédit transmutée en anti-monnaie, laquelle refusionne en quasi-monnaie générant de nouveau de la monnaie-crédit en expansion illimitée :
Cela a commencé par « l'introduction de la « Titrisation » dans le contexte institutionnel français par la Loi N°88-1201 du 26 Décembre 1988, complétée par le décret N° 89-158 du 9 Mars 1989. Dans ce premier cadre réglementaire, plutôt rigide parce qu'encore timide, les seuls établissement habilités à céder des créances, de maturité supérieure à deux ans, furent les Ets de crédit et la CDC. Le principe : les créances sont cédées à un Fonds Commun de Créances (FCC), agréé par la Commission des Opérations de Bourse (COB). Ce FCC n'ayant par de personnalité morale, il est géré par une Société de Gestion qui lui fait émettre autant de parts que nécessaires… Cette réglementation première fut modifiée par la Loi N° 93-6 du 4 Janvier 1993 et son décret d'application N°93-589 du 27 Mars suivant. Une précipitation qui en dit long sur la préméditation de l'assouplissement attendu. Dès lors, la COB agit seule et sans consultation de la BDF. Les FCC deviennent rechargeables comme des FCP classiques, la nature et les caractéristiques des créances « titrisables » s'assouplissent. De même, il ne fut plus obligatoire de se garantir contre les risques de défaillances des débiteurs et pour cause comme nous le verrons plus loin… Depuis cette date également, la « titrisation » est désormais ouverte à certains agents non bancaires puisque les Cies d'assurances sont maintenant autorisées à « titriser » les créances qu'elles détiennent ! Des montages complexes permettent de contourner l'interdiction subsistante aux entreprises de « titriser » des créances commerciales… La « titrisation » a donc deux objectifs : 1) alléger le bilan des Etablissements de crédit d'une partie de leurs créances, refinancées par un nombre limité de FCC, (NDLR : moteur de l'expansion quasi-monétaire actuelle). 2) Pour un nombre qui ne cessera de croître de FCC, collecter l'épargne pour racheter des créances interbancaires souvent créées pour la circonstance par les banques en manque de drogue anti-monétaire c'est-à-dire à la veille de la faillite. Par décret N° 97-919 du 6 Octobre 1997, les FCC en sus de l'acquisition de Bons du Trésor (BT), d'actions de SICAV, de parts de FCP, de titres réglementés, peuvent investir dans des comptes à terme >= 1 mois, des Titres de Créances Négociables (TCN), ou même d'autres parts de FCC ! ! (3) »