D'un côté,
celui d'uncle sam, t'as une FED maitre-esclave d'un sytème politique unifié ayant son siège socail à la Maison Blanche, qui fait ce qu'elle veut et manipule tant et plus, pour d'un côté ralentir la descente du $, fournir le max de liquidité à son économie, sans oublier d'engranger le max de bénéf...tout un programme...
de l'autre une BCE coincée dans une charte émise par 27 centres politiques différents, qui se chamaillent encore sur plusieurs plans, dont le fiscal n'est pas le plus déterminant, ayant pour objectif principal le maintien de la stabilité de la monnaie, qu'elle déclare hypocritement "stabilité des prix", n'obeissant à aucun pouvoir politique central et unifié, donc pouvant dire merde à tous, pour peu que ceux qui la dirigent aient les cojones de le déclarer...
Donc, ayant ces deux pujileurs sur le ring, c'est comme si le premier est libre de jouer des pieds et des poings comme cassius clay, contre le second qui aurait une main liée dans le dos.
C'est ce qui s'est passé depuis le début de la crise grecque. Et vas-y je te mets un upercut, un coup de genoux, et tt le reste.
Mais là, avec le coup de Moodys dégradant le Portugal (Bourtoukal = orange

) la haute magistrature de la BCE a dit assez. Et du coup, voilà le Trichet qui se révèle dans le rôle de Zorro: Moodys fait ièch, a-t-il déclaré quasi in-extenso, Moodys peut aller se rhabiller, "le Portugal a guichet ouvert chez la BCE" au taux normal de max 4%. Et en prime, on va relever une des bretelle du taux BCE.
L'effet de cette annonce de TRichet, passé complètement sous silence par tous les média zavisés et non avisés, est d'un effet désastreux sur la devise unique d'uncle sam. C'est quasiment une condamnation à mort.
A trop vouloir, on n'a rien, aurait du savoir les manitous du $.
En français: qui trop embrasse, mal étreint (vesrion Brotome). Une autre version: qui trop embrasse, manque le train (version sncf).
Pas besoin de dire que j'ai encore engrangé des rondelles jaunes ce matin.
