Le dimanche 10 juillet 2011, à 10h 56
La crise des signatures publiques est mondiale et
l'Europe n'est que son épicentre, a déclaré dimanche le président de la Banque centrale européenne, Jean-Claude Trichet.
(je croyais qu'à l'épicentre d'un seisme rien ne résistait? qu'il était la zone originelle et de fait la plus touchée?)Outre le redressement de leurs finances, la quasi-totalité des grandes économies doivent se réformer pour accroître leur croissance, a-t-il ajouté, citant parmi les bons élèves le Canada, l'Australie et des pays scandinaves.
"Nous avons maintenant une crise des signatures publiques, qui
n'est pas d'ailleurs une crise européenne, les Européens sont à l'épicentre d'un phénomène mondial",
(ah ça se complique !) a-t-il dit lors des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), en évoquant la vigueur du débat budgétaire aux Etats-Unis.
(donc en clair nous sommes à l'épicentre mais c'est pas une crise européenne !)Le renforcement de la résilience et de la gouvernance du système financier et de l'économie est une nécessité car
les Etats ne pourront faire face à une nouvelle crise systémique (donc 2008 en était bien une !) en raison de leur situation financière, a-t-il souligné.
(là au moins: "ITE MISSA EST" ! la messe est dite !)"Il est clair que nous sommes absolument contraints au succès", a dit Jean-Claude Trichet.
(comme les athlètes soviétiques de la grande époque contraints de revenir avec une médaille ou direct le goulag! ... "contraint au succès" ! ça donne envie !)Globalement, "nous avons au niveau des pays avancés un problème absolument majeur : tout ce qui va dans le sens de la flexibilisation de nos économies, de la capacité de renforcer le potentiel de croissance est nécessaire".
Il a précisé que ceci concernait "tous les pays avancés, sauf le Canada et peut-être l'Australie". "Il y a quelques pays scandinaves qui ne sont pas dans ce cas, me semble-t-il, ou en tous cas qui nous montrent la voie", a-t-il poursuivi.
Jean-Claude Trichet avait souligné samedi que
la zone euro dans son ensemble était dans une situation meilleure que d'autres zones économiques ( donc à l'épicentre c'est moins grave que dans la périphérie) mais qu'elle souffrait de gros problèmes de gouvernance.
( une façon polie de dire que les gouvernants de la zone sont des incapables! ... le seul problème c'est qu'il est de toutes les réunions !)Les interventions du président de la BCE s'inscrivent dans un contexte de crainte sur les marchés financiers concernant une possible contagion de la crise des dettes souveraines en Europe.
Jean-Baptiste Vey et Cyril Altmeyer, édité par Elizabeth Pineau
(qui a franchement du se dire que c'était plus sympa dans les Charentes qu'à la BCE!)Ben dis donc ! on est pas rendu avec des discours pareils !!! plus de 10.000 € /mois pour dire ça ! ... je crois que j'ai, sans beaucoup de prétentions, "l'étoffe des zéros" pour prendre sa place !
