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Tradosaure
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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 15:38 
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je ne suis pas analyste, ni d'ailleurs certains autres ici, et c'est exactement ce qu'on dit depuis belle lurette ! Le fait que ce monsieur soit analyste financier le rend il plus crédible ? :mrgreen: :mrgreen:

_________________
"le magnétisme et magnétiseurs survivront, ainsi que les radiesthésistes et sourciers. Si la science pouvait tout expliquer et la médecine tout guérir, c'en serait fait du magnétisme et des capteurs d'ondes. Mais, tant mieux, ce n'est pas le cas


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 15:41 
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destin a écrit:
je ne suis pas analyste, ni d'ailleurs certains autres ici, et c'est exactement ce qu'on dit depuis belle lurette ! Le fait que ce monsieur soit analyste financier le rend il plus crédible ? :mrgreen: :mrgreen:

Tout à fait !
Ne pas confondre analyste et Antéchrist :lol: :lol: :lol:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 15:53 
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En fait personne n'en sait que dalle.
Mais les salades, mêmes de peu de protéine, peuvent faire vivre. Alors on en met.

L'histoire est quand mm simple: tous les pouvoirs sont entre les mains de la fed, et la fed, qu'on le veuille ou non, c'est le nec le plus ultra des banquiers anglo-saxons. Et les bankster anglo-saxons ne sont ni des demeurés du bulbe rachidien, ni des philanthropes, ni des poussins de la dernière couvée. Adonc, ces gentlemen sont spécialistes de l’événement que personne, absolument personne ne peut prévoir, ni même envisager, ni même voir en rêve. Quand décideront-ils de faire tomber le rideau ? Celui qui le dira gagnera une grosse médaille, en chocolat dans le meilleur des cas...

Faites-moi pas rire avec ces prévisions à la noix de coco ...


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 16:40 
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Ludo33 a écrit:
En fait personne n'en sait que dalle.
Mais les salades, mêmes de peu de protéine, peuvent faire vivre. Alors on en met.

L'histoire est quand mm simple: tous les pouvoirs sont entre les mains de la fed, et la fed, qu'on le veuille ou non, c'est le nec le plus ultra des banquiers anglo-saxons. Et les bankster anglo-saxons ne sont ni des demeurés du bulbe rachidien, ni des philanthropes, ni des poussins de la dernière couvée. Adonc, ces gentlemen sont spécialistes de l’événement que personne, absolument personne ne peut prévoir, ni même envisager, ni même voir en rêve. Quand décideront-ils de faire tomber le rideau ? Celui qui le dira gagnera une grosse médaille, en chocolat dans le meilleur des cas...

Faites-moi pas rire avec ces prévisions à la noix de coco ...

par contre ce qui est sur, c'est que le rideau va tomber....et je ne sais pas, mais je le sens bien pour 2014 :mrgreen:

_________________
"le magnétisme et magnétiseurs survivront, ainsi que les radiesthésistes et sourciers. Si la science pouvait tout expliquer et la médecine tout guérir, c'en serait fait du magnétisme et des capteurs d'ondes. Mais, tant mieux, ce n'est pas le cas


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 16:44 
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moi j'aime bien quand les gens se mouillent sur des dates :D

un "analyste" qui annonce un date c'est quand même classe et là au moins on joue sur le suspense :P

Citer:
Tom DeMark reconnaît toutefois qu’il pourrait avoir tort mais «n’en a pas peur, [il] di[t] juste que c’est une possibilité à considérer».


tiens Ludo33, même pas peur d'abord ! :lol:

Citer:
et je ne sais pas, mais je le sens bien pour 2014 :mrgreen:


je ne sais pas non plus pourquoi mais moi aussi :)

_________________
"si vous voyez un banquier suisse sauter par la fenêtre, sautez derrière lui, il y a de l'argent à gagner"


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 17:00 
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Il va faire froid en 2014, et la France verra le bout du tunnel...

http://www.flora-medium.com/pages/testg ... s2014.html

Enfin, pour le deux j'ai un doute ! :)


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 30 Nov 2013 19:08 
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:lol: :lol: :lol:


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 01 Déc 2013 10:41 
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La DGAC s’alarme de l’état financier des compagnies aériennes françaises
Elisabeth Studer

Le devenir de certaines compagnies françaises serait-il menacé ? C’est en tout cas le cri d’alarme lancé récemment par le directeur de la Direction générale de l’aviation civile, Patrick Gandil, lequel s’inquiète de l’état de santé financier de plusieurs sociétés de l’Hexagone.
« La situation économique de plusieurs compagnies aériennes françaises m’inquiète franchement », a-t-il ainsi la semaine dernière lors du congrès annuel de l’Alfa-ACI, l’association des aéroports francophones.

Selon Patrick Gandil, une des solutions envisageables serait de d’étudier la possibilité de mettre en œuvre « un partage différent du surplus économique ». Il estime en effet que » la situation économique des acteurs de l’aviation est contrastée », avec d’un côté les avionneurs et les aéroports et de l’autre les compagnies aériennes confrontées à d’importantes difficultés.

La semaine dernière, a été votée une hausse de 2,95% des redevances versées à Aéroports de Paris (ADP) aux compagnies aériennes présentes sur les aéroports de Roissy Charles-de-Gaulle et d’Orly. Vote établi à l’issue d’une réunion de la commission consultative économique (cocoeco), composée des représentants de différents ministères, de la DGAC, de plusieurs associations professionnelles, dont plusieurs représentants les compagnies aériennes.
Si cette augmentation prévue pour 2014 est certes inférieure au plafond autorisé par le contrat de régulation économique (CRE) 2010-2014 passé entre l’Etat et ADP (+3,74%), elle n’en est pas moins refusée par l’ensemble des compagnies aériennes françaises, notamment Air France.

Alain Battisti, le président de la FNAM (fédération nationale de l’aviation marchande), déplore pour sa part une hausse « quatre fois supérieure au niveau d’inflation retenu (+0,689%) ». Pour lui, le secteur est «en mode survie » … mais surtout inéquitable.

traitants des compagnies aériennes, il estime au final inacceptable que – d’une manière indirecte – ces sociétés continuent « de financer les excellents résultats financiers d’ADP, contrôlé majoritairement par l’Etat ». Et ce, alors même « que le ministre des Transports avait constaté que la chaîne de valeur dans le transport aérien était mal partagée ».

Faisant ainsi allusion aux propos du ministre des transports, Frédéric Cuvillier, lequel a notamment déclaré en octobre dernier au micro de France Info qu’il fallait « rééquilibrer la richesse que génère le transport aérien, une richesse mal répartie« . Ajoutant par ailleurs que « la politique du gouvernement » était « de conforter les compagnies aériennes, donc l’emploi« , précisant à cet égard qu’un million de passagers, était générateur de 1.000 emplois, et constituait donc « un facteur de croissance très important« .

Il y a quelques jours, le Scara ((Syndicat des compagnies autonomes) avait lui aussi tiré la sonnette d’alarme sur la situation du transport aérien français. « On va inévitablement entrer dans le dur, avec moins de développement et des plans sociaux » avait ainsi déclaré Jean-François Dominiak, vice-président du Scara et PDG d’Europe Airpost.

En février dernier, Frédéric Cuvillier avait présenté en Conseil des ministres son plan de soutien au secteur aérien en vue de renforcer de la compétitivité de l’économie française. Une politique visant à permettre au secteur aérien français, qui représente 800 000 emplois et 4% du PIB, de maintenir son rang dans la compétition internationale.
Le ministre avait indiqué à cette occasion que le secteur aérien, « vecteur essentiel d’une économie moderne et internationalisée », se caractérisait par « des situations contrastées ». La construction aéronautique, premier contributeur national aux exportations avec un solde positif de 18 milliards d’euros et 13 000 créations d’emplois en 2011, connaissant une situation favorable, tout comme les aéroports. Les compagnies aériennes françaises, malgré l’augmentation du nombre de passagers, étant en revanche « confrontées à un déficit de compétitivité qui leur fait perdre des parts de marché et hypothèque leur avenir ».

Sources : La Tribune, France Info, Ministère des Transports

Elisabeth Studer – 28 novembre 2013 – http://www.leblogfinance.com


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 01 Déc 2013 10:47 
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L'Islande va annuler jusqu'à 24 000 euros de dettes par ménage
Le Monde.fr avec AFP

Le gouvernement islandais a annoncé samedi 30 novembre un plan pour alléger les dettes des ménages qui ont contracté un emprunt immobilier, à concurrence d'un peu plus de 24 000 euros chacun.

Ce plan était la principale promesse du Parti du progrès (centriste) du premier ministre Sigmundur David Gunnlaugsson, victorieux aux élections législatives d'avril avec son allié conservateur, le Parti de l'indépendance.

Après de longs mois de tractations, le gouvernement de coalition a présenté des mesures d'un coût évalué à 150 milliards de couronnes (plus de 900 millions d'euros) sur quatre ans.

La mesure-phare est la réduction du principal de la dette pour les ménages ayant contracté un emprunt immobilier indexé sur l'inflation (ce qui est le cas dans la grande majorité des cas), sans conditions de revenus. Cet allégement de dettes, qui dépend du montant emprunté, est plafonné à quatre millions de couronnes (24 400 euros).

AUCUN DÉTAIL SUR LE FINANCEMENT

Les banques en Islande ne proposaient pratiquement que des emprunts indexés avant l'effondrement du système financier en 2008. Or, la profonde crise financière traversée par ce pays a fait chuter la couronne islandaise, alimentant une inflation qui a fait grimper la dette des ménages.

« Actuellement, la dette des ménages équivaut à 108% du PIB, ce qui est élevé au plan international. (...) La mesure va doper le revenu disponible des ménages et encourager l'épargne », a affirmé le gouvernement dans un communiqué.

Ce dernier n'a fourni aucun détail sur son financement.Depuis qu'il a pris ses fonctions, le premier ministre a assuré que le plan ne devrait pas augmenter la dette publique. Il a d'abord promis une ponction sur les créanciers étrangers des banques islandaises, que de nombreux économistes ont jugée impraticable, puis a laissé planer le doute sur l'origine des fonds nécessaires. Les allégements de dettes doivent commencer « vers la mi-2014 », a précisé le gouvernement. http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... r=RSS-3208


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 Sujet du message: Re: REVUE DE PRESSE 2
MessagePublié: 01 Déc 2013 10:54 
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Baisse du taux directeur de la BCE : pourquoi l’Europe a besoin de vraies réformes
Par Alex Korbel

Ce monde est de plus en plus étrange.

Même les plus ardents défenseurs de la baisse du taux directeur de la Banque centrale européenne (BCE) opérée la semaine dernière prétendent que cela n’aura aucun effet.

Ils estiment en revanche que cette baisse est un signal psychologique lancé aux marchés plutôt qu'un changement significatif de politique monétaire. Selon eux, l'engagement de Mario Draghi à faire « ce qu’il faut » pour sauver l’euro est ainsi réaffirmé.

En effet, même si la réduction du taux de la BCE à 0,25% est historique, ce taux était d’un niveau déjà faible de 0,5%. Il est donc peu probable que cette baisse aura un impact significatif sur les conditions de prêt dans les pays les plus touchés par la crise.

Diversité des analyses

Certains analystes pensent que ce signal psychologique destiné à apaiser ceux qui craignent une déflation ne fera qu'augmenter le risque de déflation étant donné que cela signifierait que la BCE prend le risque de déflation au sérieux !

D'autres analystes pensent que le résultat à long terme sera une inflation, peut-être pas dans les prix à la consommation, mais au moins dans les prix des actifs.

D'autres encore considèrent que la BCE a outrepassé son mandat une fois de plus.

Bref, les analystes financiers pensent que cette baisse du taux directeur de la BCE pourrait conduire à la déflation. À moins que cela ne conduise à de l'inflation. Ou que cela ne conduise à rien. Ou simplement à envoyer un bon signal aux acteurs économiques. Ou pas.

Pourquoi les commentateurs sont-ils si divisés ?

Parce que cette baisse du taux directeur de la BCE conduit la banque centrale en territoire inconnu.

Bien sûr, le monde a déjà connu des taux directeurs nuls dans le passé. Mais, de par la diversité des situations économiques qu'elle abrite et le manque d'innovation des pays d'Europe du Sud, la zone euro d'aujourd'hui n'est pas le Japon des deux dernières décennies.

On touche ici au cœur du problème.

La crise des dettes publiques européennes est structurelle. Les problèmes sont bien connus mais rapidement oubliés dès que la discussion s'engage sur le terrain monétaire.

Il n'est pas nécessaire de baisser le taux d'intérêt de la BCE pour déréglementer le marché du travail en Italie, mettre un terme à la corruption en Grèce, accroître la productivité du Portugal et réduire la bureaucratie en France.

L'Europe ne s'engageant toujours pas sur la voie de telles réformes économiques structurelles, la BCE tente de contrer le malaise économique résultant de ce statu quo à l'aide d'une nouvelle dose de politique monétaire agressive. Ce ne sera pas la dernière et les prochaines prescriptions (un quantitative easing, par exemple) seront peut-être plus fortes. Mais l'interrogation perdurera : n'est-ce pas de l'acharnement thérapeutique sur un malade en phase terminale ?

Une politique monétaire agressive, faute de mieux

D'une certaine façon, c'est de manière indirecte que la politique monétaire semble être devenue le dernier espoir de l'Europe. Pendant des décennies, de nombreux pays européens ont eu recours à toutes sortes de politiques visant à stimuler la croissance économique sans réformes structurelles.

La recette classique pour obtenir un petit sursaut de croissance sans mécontenter personne est le déficit budgétaire.

L'Europe a beaucoup fait appel à cet expédient depuis le milieu des années 1970. À l'époque, la plupart des États européens avaient une dette publique égale à 30% de leur PIB. Aujourd'hui, dans la zone euro, elle flirte avec les 90%. Quarante années de feu de paille de déficits budgétaires a conduit à l'incendie de dettes publiques actuel.

Une autre recette miracle était la dévaluation. En Italie, la dévaluation était un moyen bien commode de rester compétitif sur les marchés d'exportation sans aborder aucun des problèmes réels du pays. Et puisque la racine du mal n'était jamais traitée, la dévaluation suivante n'était jamais loin.

Ces deux politiques - déficit budgétaire et dévaluation monétaire - ont fait leur temps. Le niveau d'endettement des États est si élevé que le financement des dettes publiques supplémentaires devient impossible. Dévaluer est non seulement impossible en raison du taux de change fixe entre les économies de la zone, mais aussi parce que d'autres pays non membres de la zone euro sont en train d'affaiblir leur monnaie.

Que reste-t-il comme moyen indolore de stimuler un peu la croissance sans réformer les États ? Une politique monétaire accommodante. Exactement ce que fait la BCE.

Lost in monetarization

On le voit, le problème fondamental de nombreux pays européens est qu'ils ont oublié comment générer une croissance économique sans dette publique, dévaluation ou argent gratuit.

Aidons-les à se souvenir. Comment retrouver une croissance économique soutenable ? En réformant.

Des droits de propriété bien définis et stables, des États à taille limitée, des taxes moins élevées et plus prévisibles, un fardeau réglementaire moins lourd : comme le nouveau rapport Doing Business 2014 le montre, l'Europe est encore loin de satisfaire à ces critères. La France est actuellement classée 38ème, l'Espagne 52ème et l'Italie 65ème.

Êtes-vous économiquement myope ou astigmate ?

Tout cela explique la diversité des commentaires face à la baisse historique du taux directeur de la BCE.

Si vous êtes surtout préoccupé des chiffres de la croissance du prochain trimestre, voire du marché boursier de demain, alors peut-être que la BCE a fait le bon choix à vos yeux.

Si toutefois vous vous posez la question plus fondamentale de savoir si Mario Draghi a fait quelque chose pour résoudre les problèmes structurels de l'Europe, la réponse est sans doute négative.

Pendant des décennies, l'Europe a essayé toutes les alternatives possibles aux réformes structurelles. Les taux directeurs quasi nuls ne sont que le dernier épisode de ce déni permanent. Ils échoueront comme tous les autres pseudo-solutions précédentes.
http://www.24hgold.com/francais/actuali ... 5716G10020


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