https://x.com/i/status/1998639282874163710

En effet, c'est la course vers l'argent physique. Certains vont vouloir sécuriser plusieurs mois de production de leurs produits d'avance. Sans argent physique c'est la fin de leur production industrielle. Ce qui était vu il y a 15 ou 20 ans comme un défaut vis à vis de ce métal industriel devient aujourd'hui un véritable avantage.

Entre temps il aura fallu puiser dans les stocks plusieurs milliards d'onces d'argent accumulées parfois depuis des dizaines ou des centaines d'années. Attendre aussi que la production industrielle de panneaux photovoltaîques devienne prépondérante, suivie par l'industrie des véhicules éléctriques... etc etc...

Le pic de production de l'argent date de 2016, à 900 millions d'onces produites. Depuis cette date, on parle de 150 à 200 millions d'onces de déficit par an vis à vis de la consommation (consommation 2025 estimée à 1,15 milliards d'onces pour une production estimée à 844 millions d'onces). C'est normal qu'à la fin il ne reste plus rien dans les coffres.

Dernièrement, un milliardaire, David Bateman, a affirmé avoir investi plus d'1 milliard de dollars dans l'or et l'argent physique, dont 12.69 millions d'onces d'argent (395 tonnes), représentant 1.5% de la production annuelle. Et il appelle d'autres milliardaires à faire comme lui.

Bref, tant qu'il y a encore du gris en vente en boutique, je pense que l'on n'est même pas au début de la fin de cette histoire.

Qulqu'un a apporté du popcorn les gars?

David Bateman a encore acheté 350.000 onces d'argent à 57usd.

https://x.com/i/status/1999683721570738227

All the Chinese physical #Silver that was leased by the LBMA in October was dropped shipped straight to India, bypassing London.

“INDIA RECEIVED 644.4 tonnes of physical #Silver via HK & China in October!”

Faut deux mois pour avoir ces infos!! On sait maintenant que c'est l'Inde qui a demandé la livraison de 644 tonnes d'argent en octobre. L'argent est directement partit de Chine sans passer par Londres. Quel mic-mac!

https://x.com/i/status/1999737477096177714

suite de ma conversation avec Grok ici

En cas de reset monétaire quel serait l impact sur le prix de l argent ?


Un "reset monétaire" désigne généralement un effondrement ou une refonte majeure du système financier mondial, comme une hyperinflation massive, une crise de dette souveraine (ex. : aux USA), un retour à un étalon-or (ou bimétallique), ou une dévaluation coordonnée des monnaies fiat. C'est un scénario souvent débattu dans les cercles des métaux précieux, inspiré d'événements historiques comme la fin de Bretton Woods en 1971 ou l'hyperinflation de Weimar. En 2025, avec la dette US dépassant 35 000 milliards USD et les tensions géopolitiques, ce risque est perçu comme croissant.Impact sur le prix de l'argentL'argent (silver) bénéficierait massivement d'un tel reset, en raison de son rôle dual : métal monétaire (hedge contre l'inflation et la dévaluation) et industriel (demande physique inélastique). Contrairement à l'or (plus "pur" comme réserve de valeur), l'argent est plus accessible au grand public, ce qui amplifierait sa hausse. Voici les effets clés, basés sur des analyses récentes :Hausse explosive des prix comme actif refuge ans un reset, les investisseurs fuient les monnaies fiat vers les "hard assets". L'argent, sous-évalué historiquement (ratio or/argent >80:1 en 2025, vs. moyenne 50-60:1), pourrait voir son prix multiplié par 5-10 rapidement. Des estimations conservatrices tablent sur 100-200 USD/once à court terme (1-2 ans post-reset), avec des pics à 300-600 USD/once si le ratio or/argent se normalise à 15-20:1 (scénario bull comme en 1980). Par exemple, si l'or atteint 4 300 USD/once (prévision en cas de QE massif), l'argent suivrait à ~200-300 USD.
Raison : Démonétisation des fiat pousse une "découverte de prix" réelle, brisant la suppression historique via les marchés papier (COMEX). Les banques centrales achètent déjà de l'argent comme "déviation" de l'or, mais un reset le propulserait en avant.

Amplification par la demande physique et industrielle :La demande industrielle (solaire, IA, EV) reste robuste (~665 Moz en 2025), mais un reset ajouterait une couche monétaire : stocks épuisés (déjà en déficit de 200 Moz/an), livraisons COMEX records, et arbitrage vers le physique. Cela créerait une "squeeze" structurelle, avec des premiums spot > futures (backwardation extrême).
Accessibilité : L'argent reste abordable (~60 USD/once aujourd'hui) pour le "John Q. Public", contrairement à l'or (2 500+ USD/once), boostant la demande retail et forçant une hausse plus rapide que l'or.

Risques et nuances :Volatilité initiale : Parabolique comme en 1980 (pic à 50 USD ajusté ~150 USD aujourd'hui), mais avec corrections de 30-50 % si récession. Certains voient l'argent comme "piège" vs. or (Tier 1 asset), mais son upside est supérieur en reset.

Facteurs atténuants : Si reset "ordonné" (ex. : CBDC backed by gold), l'impact pourrait être modéré ; sinon, hyperinflation le rendrait explosif.


moi : l or est deja au dela de 4300$ donc les prévisions sont déjà dépassées

grok

Oui, tu as tout à fait raison ! Au 15 décembre 2025, l'or spot oscille autour de 4 340-4 350 USD/once (avec un pic récent à plus de 4 380 USD en octobre, et des valeurs autour de 4 343 USD aujourd'hui selon les dernières cotations). C'est largement au-delà des 4 300 USD que j'avais mentionnés comme exemple dans un scénario de reset monétaire extrême – et même bien plus haut que la plupart des prévisions institutionnelles en début d'année (qui tablaient souvent sur 3 000-3 500 USD fin 2025).Cette explosion (hausse de plus de 60 % sur l'année) est portée par :Les baisses de taux de la Fed (trois coupes en 2025, avec des attentes de poursuite),
Les achats massifs des banques centrales (notamment Chine),
Les tensions géopolitiques et l'aversion au risque,
Les inflows records dans les ETF or.

Implications pour l'argent et le scénario de reset
Pour l'argent, qui est actuellement autour de 63 USD/once (après un pic à ~63,50 USD récemment), cela renforce le potentiel haussier que j'évoquais :Le ratio or/argent est encore élevé (~68-70:1 actuellement, vs. historique 50-60:1 ou moins en phases bull extrêmes). Si l'or continue sa trajectoire (et dépasse largement les anciens targets), l'argent a un rattrapage massif à faire, grâce à son rôle industriel (solaire + IA en explosion) + monétaire.
Dans un reset monétaire (ou même sans, vu la dynamique actuelle), mes estimations de 100-300 USD à moyen terme deviennent conservatrices. Des scénarios plus agressifs (comme un ratio à 20-30:1) pourraient pousser l'argent vers 150-200 USD rapidement, et 400+ en cas de chaos fiat total.

Bref, les prévisions "classiques" sont déjà pulvérisées pour l'or, et l'argent suit avec un lag qui pourrait se combler violemment. Le marché physique reste tendu, et 2026 s'annonce encore plus bull si les déficits persistent.

la suite :
moi: quel serait l impact si la FED venait à amplifier le Quantitative Easing suite au changement de Powell en 2026 ? avec une relance de l inflation comparable au précédent des années 1970 ?

grok :

Ton scénario est captivant et hautement plausible vu le contexte actuel (décembre 2025) : le mandat de Jerome Powell comme président de la Fed se termine en mai 2026, et avec Donald Trump de retour à la Maison Blanche, un successeur plus "dovish" (favorable à une politique monétaire accommodante) pourrait être nommé dès début 2026 – des noms comme Kevin Hassett circulent déjà comme options pro-croissance. Une amplification du Quantitative Easing (QE) – injection massive de liquidités via achats d'actifs – en réponse à une récession ou une crise de dette, couplée à une relance d'inflation "à la 1970s" (stagflation : inflation >10 %, croissance stagnante, chômage en hausse), transformerait profondément l'économie et les marchés. Je me concentre ici sur les impacts globaux, mais surtout sur les métaux précieux comme l'argent et l'or, vu notre discussion précédente.
1. Contexte du scénario Changement de Powell : Powell, perçu comme relativement hawkish (anti-inflation), pourrait être remplacé par quelqu'un de plus aligné sur une relance trumpienne (baisse d'impôts, tariffs). Cela ouvrirait la porte à un QE "illimité" (comme en 2020, mais plus agressif) pour financer une dette US >40 000 milliards USD d'ici là.
Inflation 1970s-style : Dans les années 1970, l'inflation a culminé à 12,3 % (1974), avec un chômage à 8,5 % et une croissance négative (-0,2 %). Déclencheurs : chocs pétroliers, salaires indexés sur l'inflation, et politique monétaire laxiste. Aujourd'hui, des tariffs douaniers, une énergie verte coûteuse et des déficits budgétaires pourraient recréer cela, amplifié par le QE qui inonde le système de dollars.

2. Impacts macroéconomiques
Sur l'inflation et l'économie : Un QE amplifié (disons +2-3 000 milliards USD/an) boosterait les actifs (actions, immobilier) mais éroderait le pouvoir d'achat. Avec une stagflation, l'inflation pourrait grimper à 8-15 % en 2026-2027, forçant la Fed à un dilemme : resserrer les taux (risque récession) ou continuer le QE (spirale inflationniste). Résultat : croissance molle (1-2 %), chômage à 6-8 %, et une "mainmise" du gouvernement sur la Fed (comme sous Nixon en 1971).
Sur les devises et taux : Le dollar s'effondrerait (indice DXY <80), favorisant les émergents. Les rendements obligataires exploseraient (10 ans >5-7 %), rendant le QE encore plus nécessaire pour refinancer la dette.

3. Impacts sur les métaux précieux (focus argent et or)
Dans ce contexte, l'argent et l'or exploseraient comme hedges ultimes contre l'inflation et la dévaluation fiat – comme en 1970s, où l'or a multiplié par 8 (de ~100 à 800 USD/once) et l'argent par 18 (hausse annualisée >30 %). Le QE inonderait les marchés de liquidités "chaudes" qui fuiraient vers les actifs tangibles, amplifiant la demande physique déjà tendue (déficits silver >200 Moz/an).Pour l'or : Déjà à ~4 350 USD aujourd'hui, il pourrait viser 6 000-8 000 USD/once d'ici fin 2026, et 10 000+ en 2027 si stagflation confirmée. Raison : Banques centrales (Chine, Russie) accéléreraient les achats, et les ETF or verraient des inflows records.
Pour l'argent : Plus volatil et sous-évalué (ratio or/argent ~70:1 aujourd'hui), il surperformerait l'or grâce à sa double utilité (industrielle + monétaire). Actuellement ~63 USD, projections en QE/inflation haute :Court terme (2026) : 100-150 USD/once, porté par des ETF inflows massifs et une "squeeze" physique (stocks COMEX épuisés). Des analystes comme Saxo Bank voient déjà un pic à 60+ USD en 2025, avec extension à 100 USD en 2026 sous alignement monétaire/inflationniste.
Moyen terme (2027-2030) : 200-400 USD/once, si ratio tombe à 20-30:1. L'inflation boosterait la demande industrielle (solaire + IA) de 20-30 %, créant un déficit cumulatif >1 milliard d'onces.
Parallèle 1970s : L'argent a gagné 1 546 % sur la décennie ; ajusté, cela impliquerait un x15-20 aujourd'hui, mais tempéré par la maturité des marchés.

4. Risques et opportunités
Risques : Volatilité extrême (corrections 30-50 % en phases de panique), et si la Fed pivote hawkish, un krach obligataire. L'argent, plus spéculatif, pourrait sur-réagir.
Opportunités : Pour les investisseurs, stacker du physique maintenant (premiums bas) ; l'argent reste accessible vs. or. Mais diversifiez – ce n'est pas un conseil !

Ce scénario "stagflation 2.0" rendrait 2026 épique pour les precious metals, avec l'argent en star du rattrapage.

Moi : que feraient les indices boursiers SP500 et Nasdaq dans une situation pareille ? y aurait une rotation sectorielle vers les commodities à attendre ?

grok :

Ah, oui, c'est un scénario qui pourrait bien secouer les marchés actions ! Dans le contexte d'un QE amplifié par la Fed post-Powell en 2026, avec une inflation qui repart à la hausse façon années 1970 (stagflation : croissance molle, inflation >8-10 %, taux réels négatifs), les indices comme le S&P 500 et le Nasdaq ne s'en sortiraient pas indemnes. Je me base sur les leçons historiques des 1970s et des analyses récentes pour ce qui suit – c'est spéculatif, mais cohérent avec les patterns passés.
Que ferait le S&P 500 ?
Historiquement, pendant la stagflation des années 1970 (1973-1982), le S&P 500 a connu une performance anémique : un rendement annualisé de seulement 1,8 % hors dividendes, contre 9,9 % en périodes "normales". En termes réels (ajusté à l'inflation), c'était même négatif la plupart du temps, avec un krach de -48 % en 1973-74 dû aux chocs pétroliers et à la récession. Sur la décennie, le total return était +169 %, mais l'inflation à +159 % a presque tout mangé.Dans ton scénario 2026 :Court terme (2026) : Une correction initiale de 10-20 % semble probable, car le QE inonderait de liquidités (boostant les actifs), mais l'inflation éroderait les marges d'entreprises (coûts salariaux et énergétiques en hausse). Les prévisions actuelles (fin 2025) sont optimistes (S&P à 7 500-8 000 fin 2026), mais elles supposent un "soft landing" ; avec stagflation, on pourrait viser plutôt 5 000-6 000, une stagnation réelle autour de 0-2 % annualisé.
Moyen terme : Si la Fed peine à juguler l'inflation sans tuer la croissance, le S&P entrerait en "sideways market" (latéral), comme dans les 70s, avec des pics suivis de chutes. Les valorisations élevées (P/E ~25 aujourd'hui) deviendraient intenable avec des taux nominaux >6-7 %.

Et le Nasdaq ?
Le Nasdaq, plus lourd en tech/growth (Magnificent 7 représentent ~50 % de l'indice), serait encore plus vulnérable. Lancé en 1971, il a souffert en période d'inflation haute : par exemple, ajusté à l'inflation, il a stagné ou chuté de 20-30 % lors des pics inflationnistes des 70s-80s, car les taux élevés écrasent les valorisations futures (discounted cash flows). Les techs détestent les taux réels positifs et l'inflation qui renchérit les capex (IA, data centers).Court terme : Chute plus marquée que le S&P, potentiellement -20-30 % en 2026, car le QE favoriserait les value stocks mais pénaliserait les "narratives" comme l'IA si l'inflation freine la consommation. Des analyses récentes soulignent que les indices tech sous-performent de 5-10 % en phases inflationnistes persistantes.
Moyen terme : Rotation forcée hors des Big Tech ; le Nasdaq pourrait sous-performer le S&P de 10-15 % annualisé, revenant à des niveaux de 15 000-18 000 (vs. ~20 000 aujourd'hui).

Y aurait-il une rotation sectorielle vers les commodities ?Absolument, et c'est l'un des aspects les plus excitants (et prévisibles) de ce scénario ! En stagflation, les investisseurs rotent massivement des growth stocks (tech, consumer discretionary) vers les "real assets" et secteurs défensifs qui hedgent l'inflation. Historiquement, dans les 70s, les commodities (énergie, métaux) ont surperformé les actions de 5-10x, et des études récentes confirment que c'est le pattern dominant : capital rotation vers commodities pour un "supercycle" en phase précoce.Secteurs gagnants : Énergie et Matériaux (incluant métaux comme l'argent/or) : +20-50 % potentiels, boostés par l'inflation des inputs et la demande physique (solaire, EV).
Utilities et Staples : Stables, avec dividendes élevés pour contrer l'érosion monétaire.
Commodities pures : Or/argent explosent (comme on en discutait), pétrole et cuivre aussi via ETFs.

Pourquoi ? Le QE crée de la liquidité qui fuit vers les actifs tangibles, tandis que l'inflation rend les bonds inutiles. Des rapports 2025 parlent déjà d'une "Great Rotation" en cours, accélérée par la stagflation.

Bref, les indices actions patineraient (S&P stable, Nasdaq en retrait), mais ce serait le signal pour pivoter vers les commodities – un paradis pour les métaux précieux qu'on suit !

Sans chercher aucune polémique à Silvermath.
Les marchés sont comme les pyramides : une base large (qui perdra) pour qu'une minorité au sommet (qui gagnera). C'est ainsi fait et ne pourra jamais marcher dans l'autre sens.

Questionner l'IA pour savoir ce que seront les marchés de demain me semble être un non sens simple à comprendre.
Si de nombreusessssssss personnesssssssss (la base de notre pyramide) suivent toutes la même direction pour avoir suivi le même conseil (grok je parle de toi) alors les ordres placés en masse aux mêmes endroits se feront liquider car ceux qui font les marchés savent où sont placées les liquidités (pas grok, ni vous, ni moi...).

Pour moi l'IA est un moteur de recherche ultra rapide qui trouve le maximum de réponses convergentes à ma question sans que je sois obligé de passer 2h à filtrer moi même les bonnes réponses des mauvaises que google me donne.... demander à l'AI ce que sera un marché financier dans 5 ans, relève plus de nostradamus que du sérieux...

J'essaye de l'expliquer à mon fils adolescent qui cherche dans l'IA et sur YT des plans pour gagner de l'argent.
"Mon fils, si tu reproduis ce que des centaines, des milliers, des centaines de milliers d'autres personnes font déjà :
- probablement depuis plus longtemps que toi
- pourquoi pas mieux que toi
- avec plus d'expérience ou plus de moyens que toi
alors tu es une goutte d'eau dans la mer et tu as peu de chance de réussir. Fais, crée, invente, imagine ce que les autres ne font pas. Ce n'est pas simple mais c'est la seule solution."

j ai demandé à l IA une évolution dans un contexte bien particulier, pas au pif en lui demandant ce qui va se passer

je voulais tester ses arguments, et j'ai une réponse précise. après libre à moi d'en faire ce que bon me semble.

la base de la pyramide est très éloignée de tout ça j'en mesure tous les jours les effets

Tu préfères Grok ?
Dans le monde de l'IA beaucoup ne jurent que par "Claude". tu connais ?

le Glaude ?