La BCE a changé de chef, Mario Draghi, formé dans le milieu par Don Corléone, qui lui aurrait dit:
"Oui petit! tu y vas à la banca, et tu me le finis le tlravaille!!! "

http://www.lesechos.fr/economie-politiq ... 238811.php

http://www.lemonde.fr/crise-financiere/ ... 81613.html

http://www.youtube.com/watch?v=aC19fEqR5bA
La vérité sort de la bouche des traders...

un rappel pour les nuls comme moi

http://tempsreel.nouvelobs.com/economie ... -nuls.html

Hier, le 19:45 de M6 présentait la nouvelle en introduisant le sujet par un genre de "La présidence de la BCE confiée à un ancien directeur de Goldman Sachs, Goldman Sachs, cette banque d'affaire accusée d'avoir pris part au trucage des comptes grecs et donc à l'amplification de la crise que nous traversons aujourd'hui"
J'étais estomaché par tant de.... vérité avouée.

10 minutes plus tard, par curiosité, je jette un oeil au Jt de Lolo Ferrari, même sujet, CV de Super Mario sur l'écran, mais pas de ligne sur son passage à GS.
La voix off du reportage se contentera d'un oral genre :"Mario Draghi, Super Mario comme on l'appelle est passé par la grande banque d'affaire GS, ce qui dit-on lui permet de mieux connaître les marchés et leurs pratiques..." puis d'enchaîner en disant qu'en Italie, il est vue comme un modèle de rigueur et de sérieux, opposant à l'affreux Berlusconi ... etc.

Enfin je m'estime heureux, je pensais voir le point de vue de Tf1 sur toutes les chaînes.
Mario Draghi est fortement pressenti à la BCE depuis presque 1 an, mais l'info et son passé "sulfureux", n'apparaîssait que sur des sites "complotistes".
Hier, dans "C dans l'air", on a parlé ouvertement de projet US de torpiller l'euro ...
Le remplaçant de Calvi s'écrie pris d'effroi :" mais vous êtes en train de parler de complot ?"

oui, les vérités sont dites et écrites de plus en plus, mais cela n'empêche pas aux tireurs de ficelles de faire ce qu'ils veulent avec leurs marionnettes, et en plus comme chacun a son propre intéret à défendre , on n'est pas arrivé
(On le voit à l'instant avec l'idée farfelue du référendum en Grèce pour que le premier ministre sauve son honneur, et la perte immédiate de confiance des bourses, même les Mpx vont encore trinquer!

Ce referendum grec est une réelle démonstration : jamais démocratie et bourse n'ont paru aussi en flagrante opposition. La dictature c'est bon pour le Cac, c'est clair. Nos "démocraties" sont très, très malades.
Je ne crois pas que ce soit populiste de dire que, à un moment donné, même si le peuple n'est pas très au fait de l'économie (de ce qui "est bon pour lui"), il doit pouvoir décider de son futur.
C'est comme si Papandréou venait d'avoir un petit relant de démocratie soufflé par sa bonne conscience, après tout ce qu'il a fait subir aux grecs, le pistolet sur la tempe.

Elle est pour la postérité celle-là, bravo.